Entre ou n'entre pas?(Pour qui veut)

A euhh..
Pas grave sa arrive des fois mon petit ange!

Elle souria doucement et laissa sa main dans celle de son cousin adoré elle déposa encore un doux baiser sur son frond maintenant et rabaissa la tete pour fermer les yeux et respirer la bonne odeur des cheveux de Ran elle soupira doucement soulagée et se laissa aller tout en caressant les cheveux de son cousin...

Invité

« Nan sérieux désolé. »

Ran soupira une nouvelle fois en caressant distraitement la main de Vitaline et ajouta d'une petite voix, tout de même un peu amusée.

« Peut être que je t'adore un peu trop. C'était pas nul au moins, hein ? J'me suis jamais en entrainé. Allez, je déconne... »

Le jeune homme se mit à rire tout seul, et laissa Vitaline faire ce qu'elle voulait. Ran sentait une drôle d'envie lui monter à la tête, et rougit tout à coup, gêné de penser ça. Sa respiration s'accéléra quelque peu et il tenta de se détendre. Pas très à l'aise, le Gryffondor ne fit rien et n'ajouta rien, de peur de se laisser prendre à son envie.

* Oh mais quel con je suis... *

Un grand sourire malicieu et heureux se fit voir et elle lui releva la tete pour l'embrasser non sur la joue mais sur la bouche pour retirer sa main de son menton et de refermer les yeux rigolant aussi toute seule dans sa tete elle dit:

Si tu crois que je t'enttend pas tu es formidable et non un con comme tu le dis tu m'aime un peu de trop j'pense aussi mais tes mignon quand tu rougis et puis laisse toi aller a tes envi je ne t'en voudrais pas mais j'te comprendrais!

Elle lui caressa les cheveux et serra un peu plsu sa prioes dans ses bras pour le regarder dans les yeux sourire aux lèvres elle le regarda un bon moment..

Invité

Ran leva les yeux et observa Vitaline à la dérobée, l'air un peu perdu. Il allait baisser la tête mais la jeune file la lui releva, et apporcha son visage. Les joues de Ran s'enflammèrent et il se bloqua instantannément, ne sachant quoi faire. Le Gryffondor sentit les douces lèvres de Vitaline se poser sur les siennes, lui offrant un baiser. Lorsqu'elle recula sa figure, l'expression du jeune homme laissait voir qu'il aurait été possible qu'il ait eu une attaque en cet instant précis.

Tout en le serrant avec force contre elle, Vitaline lui parlait, lui murmurant de se laisser aller à ses envies, en gros...d'aller plus loin, pensait -il. Leurs regard se croisèrent et ne se lachèrent plus. Ran ne savait absolument pas quoi faire, il semblait bloqué sur la situation. Dans quel pétrin c'était il encore fourré ? Que devait-il faire ? Il n'en avait pas la moindre idée. Détournant ses yeux bleu glace, il murmura :

« Peut être me suis-je laissé envahi par des sentiments qui ne sont pas les miens. Pourquoi faudrait il que je cède à une envie, qui ça se trouve n'est pas la mienne...mais la tienne. On est pas des...enfin on est des humains, pas des bêtes ! On est sensé se conduire en responsable, pas en agissant tête baissé sans réfléchir à s'il y a un obstacle devant nous... ou pas. »

Ran prit une profonde inspiration et ajouta dans un souffle :

« Je ne crois pas être prêt à ça. Tu peux le comprendre, j'imagine. »

Mes envies?Tu rigole je ressent et enttend les pensées des gens tu en avait envi et non moi si j'en n'aurait eu envi j'aurait fait bien plus que se petit baiser j'ai jamais dit que tu me voulait ou que je te voulait non plus je t'aime d'accord mais entre nous c'est un peu normal sa non? moi je epnse que si c'est normal je ytaime tu m'aime et ont se comprend mais je croit que tu essiye de rejeter les envis et tes sentiment sur moi j'me trompe.?

Elle le regarda et lui rmeonta le visage doucement pour le fixait dans les yeux bien droitement ils restèrent tout les deux ainsi un long moment elle attendait sa réponse..

Invité

Ran ferma carrément les yeux lorsque Vitaline parla, les traits de son visage crispés. Il soupira longuement, d'incertitude, et fut contraint d'ouvrir les yeux et releva son beau visage vers elle lorsque la jeune fille lui remonta le menton et le fixa avec intenisté dans les yeux. La respiration saccadée, il murmura :

« Ca t'amuse de lire dans les pensées, hein ? »

Cette révélation qu'elle lui avait faite était loin de lui plaire. Ses pensées, c'était..personnel. Un coffret dont la clef n'appartient qu'a son propriétaire. Et cette clef que Vitaline avait volée pour lire ses sentiments. Il ne pouvait pas le croire. Il la regardait maintenant avec une expression horrifiée et même un peu haineuse. Ran ne savait même plus quoi répondre, mais était ce vraiment nécessaire ? Elle pouvait lire ne lui à livre ouvert...

Ran sentit les larmes lui monter aux yeux. Il ferma les paupières et s'écarta de façon brutale de Vitaline, et se remit debout rapidement. Tout en restant à côté d'elle, il rouvrit les yeux, puis retira sa veste ainsi que sa chemise, les jetant par terre.

« Peut être que je t'aime. Mais est ce que ça en vaut vraiment la peine. »

RAN!
Elle se releva et alla près delui le voyant un peu pleurait elle déposala tete de cleui ci sur son épaul le serrent bien fort dans ses bras c'est vrai elle n'aurait pas du faire sa mais elle ne sait pas quesqui lui a pris elle le regarda un peu désolée baisa les yeux et essiya de parler mais sa voix vener d'étre enfermer pour combien de temps une fois elle avait 5ans et sa mère avait était tuer quand elela avait 5ans alors elle avait plus parler jusque ses 8ans mais là pour combien de temps autant d'année ou pour l'éternité elle laissa son cousin faire se qu'il voulait mais elle prit un instant son esprit pas pour lire mais pour lui parlait et elle pensa:
*Ran je nes pas lu tes pensées j'ai resenti quelque chose jsute avec ta voix je ne lirait jamais dans tes pensées sauf si tu me l'ordonne et la je lis pas j'ai pris controlent juste pour pouvoir te parler et ceci sera mais dernier mot

Moi aussi je t'aime mais dans quel sens la où les là question!*
Elle finti ses phrases et commença a se rasseoir paissiblement..

Invité

« QUOI ? »

La réponse de Ran à ce que Vitaline avait dit en prononçant son prénom avait tonnée d'une voix forte. Il se sentait maintenant d'humeur légèrement susceptible et peu pacifiste. Lorsque la jeune fille le serra dans ses bras, il la repoussa sans ménagement et lui jeta un regard lourd de reproche. Il lui tourna le dos et ne la regarda plus.

Il entendit dans son esprit ce que disait -enfin pensait - Vitaline. Il aurait préféré qu'elle parle, parce que rien qu'en faisant ça, la Serpentard mettait encor un peu plus en boule le jeune homme, qui paraissait au bord du pétage de cable. Elle se rassit ensuite. Les yeux de Ran virèrent à l'orange flamboyant , et il lui asséna :

« AH TU M'AIMES ? VRAIMENT ? T'ES UN PEU EN TRAIN DE TE FOUTRE DE MA GUEULE, LÀ ? ARRÊTE DE ME RACONTER UN TISSU DE CONNERIES ! J'Y CROIS PAS UNE SECONDE ! COMMENT J'AI PU CROIRE UN NSTANT QUE C'ÉTAIT POSSIBLE, TOUT CA ? JE SUIS VRAIMENT CON ET TOI TU EST UNE MANIPULATRICE ! T'AS PAS LE DROIT DE VIOLER MON ESPRIT ! FICHE MOI LA PAIX ! J'AI RIEN DEMANDER, SAUF UN PEU D'AMOUR ! MAIS LÀ JE CROIS QUE CA M'EST COMPLÈTEMENT ÉGAL...

En enttendent son cousin lui gueuler dessus et lui dire quel le manipuler sa la fit penser a quelqu'un qui lui avait dit la meme chose les yeux de la dmeoiselle se changèrent en larmes elle se leva brutalement et parti loin de lui loin de se quelle pouvait faire pourquoi vélane et manipuleuse une vrai putin en gros mais non elle ne l'avait pas lue elle avait pas toucher au secret de son cousin et quand elle ler egardait dans les yeux s'était pas pour lire dans ces pensées mais pour voir sa réaction là c'était trop Vita commença a bien se décider de quitter une bonne fois pour toute la vie d'ici donc dispâraitre du monde des vivant et aller rejoindre le paradis ou plutot l'enfer avec ce quelle avait fait,elle éclata en sanglot mais aucun son ne sorti de sa bouche juste des larmes de sang coulèrent sur ses joues,mais a ce moment là quelque chose de tout noirs donc qui portait une cape l'envoya dans le mur et se dérigeat vers son cousin mais non elle se releva courageusement et bloqua le passage a l'inconnut qui essiya de la tuer mais non la petit était coriase et elle prit sa baguette pour soupirer un bon coup et faire un avadra kedavra sur son ennemis et le personnage enface fit de meme alors tout deux se firent propulser a une cinquantaine de mètre et elle se relva doucement pour serrer sa baguette dans sa min et se soigner ave cun sort mais l'autre personnage s'enfuiat alors elle regarda les certaine personne qui était aproché de se spectacle pourrons nous dire,et elle fit juste un coup de pied arrière pour envoyer valcer un serpent de deux mètre très très loin d'eux alors elle fit déguèrpir le monde de merde et recommença a partir jetant un regard a son cousin assez perdu et il pu voir meme sentir qu'une bétise aller se produire et elle parti en courant mais monta dans un arbres en cachette est attendit qu'il arrivent p'et pour la retrouver..

Je t'aime mais toi tu ne le vois pas Adieu Ran..

Invité

Ran se demandait si en cet instant précis il pourrait encore éprouvé un quelconque sentiment pour Vitaline. D'ailleurs, l'avait-il aimé ? Non, il le savait. C'était trop tôt, et le jeune homme ne pouvait pas se permettre d'avoir une relation pour l'instant, que ce soit avec sa cousine ou une autre personne. Il avait ses raisons, et il voulait les garder, mais même s'il était en colère contre la Serpentard, il ne voulait pas la blesser. Un de ses grands principes.

Mais sans qu'il ait pu faire quoi que ce soit pour rattraper son geste, Vitaline disparaissait dans les brousailles. Ran ne pouvait pas la voir pleurer, ou autre, et d'ailleurs, il semblait maintenant préoccupé par une chose bien plus grosse qui se dirigeait vers lui. Le jeune homme ne cromprit pas et fit quelque pas en arrière. Il ne vit pas la moitié de ce qui se passait, et resta impuissant, à regarder ce qu'il ne voyait pas. Soudain, quelque chose de puissant lui frappa le torse et il se sentit soulever de terre, lui coupant le souffle, et projeter au loin contre le tronc dur d'un arbre. Il resta sans bouger quelque secondes, et se releva, le souffle court. Une grande coupure peu profonde s'était faite d'un bout à l'autre de son torse nu en diagonale.

Mais c'était pour l'instant le dernier de ses souçis. Ran se mit à courir et eut juste le temps de voir Vitaline s'enfuir. Sans prêter aucune attention à la foule, il attrapa sa veste et se chemise, filant dans la direction qu'avait prit la jeune fille. Un peu plus tard, il perdit sa trace et s'arrêta, impuissant. Il marmonna pour lui même :

« Chuis vraiment le roi des cons...la prochaine fois, mon vieux, tourne la langue sept fois dans ta bouche avant de causer... »

Il soupira, l'air contrit, puis commença à s'éloigner en trainant des pieds.

Un sifflement se fit enttendre quand le jeune homme commença a partir donc surement pour dire je suis là,et elle sauta de l'arbre pour regarder son cousin elle était a présent habiller d'un panta-court noir et un dessus sen manche noir avec une tete de mort sur le tee-shirt elle le regarda et commença a s'éloigner pour bien lui dire quelle n'était pas blesser appart quelque égratinur et une profonde niveau ventre mais non rien meme pas un mot rien le vide le silence le noir de la nuit était là mais la parole n'y était pas...Et la jeune fille pensa:

*Ran tu es mon cousin je t'aime bien,aprend a aimer et ont t'aimeras es confiance en moi et confiance en toi tu serat bien plus fort avec l'amour que tu donn et qu'ont t'offre aurevoir..*

Invité

Le sifflement léger qui retentit fit stopper Ran, qui se retourna. Ses sourcils se froncèrent, et il rebroussa chemin. Vitalien Longitivinus venait de sauter de l'arbre à côté duquel il était passé, et elle se tenait à présent devant lui, habillé en noir de pied en cap, tout comme le jeune homme. Il se sentit soudain tellement impuissant et faible qu'il faillit en tomber à genoux. Lentement, Vitaline commençait à s'éloigner de lui. La respiration de Ran s'accéléra, et sans bouger d'un millimètre, il la suivit du regard.

Un faible vent s'était levé, et les cheveux noirs de Ran se soulevait légèrement, ses mèches voletant, renforçant l'aura mystérieuse qu'il dégageait. Il aimait beaucoup sa cousine, et la voir ainsi le déplaisait beaucoup. Le jeune homme baissa les yeux, en sentait les pensées de Vitaline effleurer les siennes, mais il les écouta attentivement. Non..il ne voulait pas qu'elle s'éloigne. Peut être qu'il avait du vrai et du faux dans ce qu'elle disait, mais dans tous les cas, Ran ressentait le besoin de sentir la présence de sa cousine à ses côtés, de pouvoir à tout moment la serrer dans ses bras ou lui sourire.

Était ce de l'amour ? Non. C'était un sentiment bien plus particulier, bien plus fort et qui nécessitait beaucoup de volonté et d'esprit. Ce sentiment signifiait un quantité de chose, et liait les deux personnes d'un certaine façon, de sorte de qu'une d'elle ne puisse pas se passer de l'autre, d'une certaine façon. Ran avait besoin de Vitaline. Et pas de la façon dont on pourrait le penser.

Ran se sentait tout à coup étrangement vide. Le jeune homme leva les yeux vers Vitaline, qui s'éloignait. Avec des geste lents, il renfila sa chemise et sa veste, et les ajusta. Puis il se mit à courir. Le vent lui giflait le visage, mais il n'y prêtait aucune attention. Ran rattrapa la jeune fille, et lui prit la main, ne la laissant pas continuer. D'une voix suppliante, il murmura :

« Me laisse pas...tout seul... »

Le vent soufflait et fessait voler les cheveux de nos deux jeunes gens une parter l'autre rester planté la a regarder sa cousine partir elle marcher d'un geste lents et gracieu et son cosuin la rattrapa lui demandent de pas le laisser tomber et de juste le laisser aller dans ses bras elle le regarda et le plaqua dans ses bras déposent sa téte sur celle de celui*ci elle le serra dans ses bras comme uen grande-soeur protectrice mais c'était plutot cousine elle le serra le plus possbile jsuqu'à l'étouffer mais ce n'était pas grave elle elle disa d'une voix douce:

Je te laisse aps seule n'y tomber mais croit moi tu te décrochera vite de moi quand tu me connaitra mieux tout se que tu as dis et vrais je me déteste moi meme alors sa ne change rien appart que ej susi inutil..

Invité

Alors, le regard de Vitaline croisa le sien. Auucn son ne sortit de la bouche de la jeune fille, mais elle prit Ran dans ses bras, le serrant avec une force surhumaine, à lui écraser les os. Le jeune homme se laissa aller à cette étreinte, et passa également ses bras autour de la taille de sa cousine. En atille, il était plus grand qu'elle, mais là, il se sentait encore gamin et petit. Il fourra sa tête contre le cou de Vitaline et l'écouta parler doucement.

Il ne savait pas tellement quoi répondre à la jeune fille. Ran préférait garder ses sentiments pour lui et tenter dans sa solitude de faire un point sur lui même et ce qu'il ressentait à l'égard de tout et de rien. Il se sentit peu à peu tomber et il finit à genoux devant Vitaline, serrant les jambes de celle-ci. Le jeune homme, tremblant, murmura :

« Nan, nan....dit pas ça. C'est pas vrai...Si tu t'aimes pas, et bah moi je ferais tout pour changer ça... »

Lentement, Ran se relevait, et il continuait de parler en même temps, cette fois ci avec sincérité.

« Tu sais, chaque être est unique, et même s'il est méchant ou vide de tout sentiment, il a le droit de vivre... Et parce que je ne te déteste pas...je sais que tu ne peux pas te détester »

Le jeune homme était maintenant à nouveau debout, et il avait mis ses bras autour des épaules de Vitaline. Son front était posé contre le sien, et il fixait de ses yeux bleus glace le regard de la jeune fille.

« Vitaline...Que ressens tu...pour moi ? »

La jeune fille l'écouta et le regarda tomber a genoux et se relever mais il lui déposa ces mains sur ses épaules et il déposa son frond contre celui de la serpentarde en lui demandent se quelle ressentais pour lui elle le regarda et une rose noir apparut dans sa main elle regarda la rose et regarda son cousin et elle serre d'un coté la rose et l'autre la main de Rab alors ellee ssiya de se taire mais la rose représenter là personne qui l'avait peu-étre aimer et trahis alors elle se dit que cette fichu promesse de l'oublier mais c'était le bon choix quelle venait de faire ou non?Vitaline regarda son cousin et fit disparaitre la rose pour embrasser le jeune griffondor et se taire elle l'entraina sous un arbre il s'était désormer seuls tous les deux personnes ne pouvait les dérangers elle décida de se laisser aller contre le jeune homme le serrent la nouveau dans ses bras elle déposa sa tete a elle meme dans le coup de celui-ci et lui donna un léger baiser dans le coup puis frolà les lèvres de celui-ci et l'embrassa..

Maintenant tu sais se que je ressent pour toi j'ai du faire un choix que je sentait arriver et se choix parmis sa il y avait le propriétirare de la rose noir et toi et je tes choisit toi effacent la promesse que j'avait faite si débile et inutil!

Invité

Le fait qu'un sentiment si profond qui naisse en si peu de temps relève de l'impossible. Peut être même que cette passion n'existe pas, qu'elle est juste fondée sur des faits irréel ou des gestes dont la signification a été mal exprimée. On craint toujours la réaction de l'autre par rapport aux sentiment qu'il éprouve par rapport nore personne. Nous, on éprouve pas toujours la même chose. C'est pour ça que c'est compliqué. On se trompe parfois soi même sans le vouloir. L'amour est un tourbillon qui est sans cesse ne mouvement, jusqu'à ce qu'il s'arrête à un moment précis : celui où on a trouvé enfin celui ou celle qui complèterait notre âme. Ca n'arrive pas deux fois dans notre vie. C'est tout simplement impossible. Comme il est impossible pour moi d'aimer une personne pour laquelle je n'ai pas d'amour.

Ran observait du coin de l'oeil la rose apparue dans la main de Vitaline. Il n'avait aucune idée de ce qu'elle voulait dire, mais il craignait d'avoir encore fait une erreur, comme il en avait déjà fait. C'était déjà si compliqué, pour une chose si simple à dire, mais il ne parvenait pas à prononcer ce simple mot. Il serra les poings imperceptiblement. Avant qu'il n'eût le temps de réaliser quoi que ce soit à ce qui venait de se passer, les lèvres de Vitaline s'étaient posées sur les siennes. Ran se sentit emmener, et quelques secondes plus tard, il était allongé sur le sol, avec sa cousine qui l'embrassait sans retenue, et qui en plus lui avouait ses sentiments pour lui. Et qu'elle l'avait choisit...

Merde, merde, merde ! Dans quel pétrin s'était il encore fourré ? Était-il dont incapable de s'exprimer correctement ? Lui qui ne voulait faire souffrir personne, c'était exactement ce qu'il allait faire à cet instant ! Quel imvécile il était....Ran leva les yeux vers Vitaline, et, doucement, la repoussa. Sans rien dire encore, le jeune homme se leva et resta debout devant sa cousine. Ses yeux bleus glace la fixait, puis il murmura :

« Vitaline, je ne t'ai jamais dit que je t'aimais. »

(HJ:connecte toi sur msn et j'ai po dit que je t'allonger et t'embrasser comme si tu était mon mec non plus ok le prmeier elle la pas fait expré mais les autres c'était sur le frond les joues enfin pas sur les lèvres quoi juste sur le frond et les joues!! Rolling Eyes

)

Je sais ,et moi non plus je ne tes pas dit sa j'ai dit que je tes choisit mais j'ai pas dit dans quel sens je le disait et puis ont s'ame comme cousin-cousine rien de plus enfin a se que je pense sauf si tu me cache quelque chose ?

Vita regarda son cousin droit dans les yeux le regard froid également elle ne parla plus et le laissa parler mais il sembler hésitait a répondre alors elle grimpa a l'arbre et s'assia sur une branche le regardent elle ferma les yeux..

Invité

[Mééé j'avais pas compris U_U Faut mieux expliquer ]

Ran poussa un soupir à la réponse de Vitaline. Il mit les mains dans ses poches et tourna les talons pour se mettre dos à sa cousine. Cette situation l'énervait plus que tout et il n'avait aucune envie de continuer la conversation. Pour l'instant, il préférait retourner au bal pour boire un peu et avoir la paix. Comme quand il était énervé ses yeux virèrent à l'orange flamboyant, illuminant l'expression furieuse de son visage.

« Écoute Vitaline. Arrête de dire n'importe quoi. Qui est ce qui m'embrasse ? Qui est ce qui ma caresse ? Tu ne m'écoutes pas. Qu'est ce que je t'ai dit tout à l'heure ? On a l'impression que tu n'as rien entendu. »

Il se tourna vers elle, le regard menaçant. En cet instant, le Gryffondor était prêt à dire tout ce qu'il avait le coeur.

« Ne me dit pas que tu es comme tout ces cons dans l'école qui s'imagine qu'une histoire entre deux personnes naît dix minutes après qu'ils se sont rencontrés ? Non, non. Ca c'est pas de l'amour, c'est du n'importe quoi. Quand est ce qu'on se décidera à comprendre.... C'est pitoyable. »

Le jeune homme ricana et rejeta ses cheveux noirs en arrière. Il leva la tête vers la branche où était grimpée Vitaline. Il continua avec dédain :

« Tu te caches ? T'es incapable de voir la vérité en face ? Et tu m'as choici....par rapport à quoi ? Et qu'est ce que je te cacherai ? EXPLIQUE, BORDEL DE MERDE ! SINON COMMENT VEUX TU QUE JE TE RÉPONDE ? »

Par cette douce nuit tu te voilera en laissent place à cette couche de sang.
Un poignard dans la main de la jeune femme apparut et d'un geste doux et précis la flèche atteignis sa cible le poignard entra dans la poitrine de la serpentarde qui laissa qu'un dernier mot "pardon"avant de s'écrouler au sol les yeux a moitier ouvert elle entendit les dernier mot de se cosin ceux qui était "EXPLIQUE, BORDEL DE MERDE ! SINON COMMENT VEUX TU QUE JE TE RÉPONDE ? " elle pu à peine entendre ces mot qu'elle ferma les yeux..

La nuit était douce et un léger vent froid passer sur notre visage ses cheveux voler un peu a cause du vent,une tache de sang apparue peu à peu en dessous de Vitaline les yeux clos étant allongée sur le sol la douleur montait mais elle ne la sentait plus sone esprit oui mais elle non Vita était évanouit trop de sang s'épencher sur l'herbe,était-elle morte ou simplement évanouit par la perte important de sang?

Qu'elle réaction aller toucher Ran de la peur de la haine de lasouffrance ou simplement de la tristesse?

Invité

La dernière parole de Ran se noya dans le flot de sang qui émergeait de la blessure béante de Vitaline. Mais cette blessure était-elle..réelle ? Était ce vraiment le couteau ou alors le coeur de la jeune fille qui avait fait le geste ? Et était ce utile de se poser autant de questions dans un moment pareil ? Hein ? Probablement ne trouverait la réponse à cette question là.
Le jeune homme s'était figé devant l'action de Vitaline, et il la regardait saigner sans rien faire. Pourquoi avait-elle fait cela ? À quoi ça pouvait lui servir ? Se faire du mal ne contribuait en rien à ramener le bonheur, Ran en était convaincu, et il ne le savait que trop bien, par ses propres expériences. Le corps de Vitaline étant tombé sur le sol à ses pieds, une large flaque de sang commençait à s'étendre. L'esprit serein et l'expression insondable de tout sentiment, le Gryffondor s'accroupit auprès de Vitaline et observa la blessure. Il sortit sa baguette magique et la posa sur la plaie. Ce qu'il allait faire allait lui demander toute sa concentration et son énergie. Il ferma les yeux, et prononça en ouvrant à peine les lèvres une incantation, puis un rayon lumineux de couleur bleu pâle se projeta vers la blessure. Ran ne bougea pas d'un pouce, concentré.

Peut être qu'au moins une heure avait passé. Mais Ran n'était pas un sorcier confirmé, et l'utilisation de ce charme était compliqué pour lui. Lorsque le jeune homme rouvrit les yeux et écarta sa baguette, il ne restait plus qu'une simple cicatrice qui ne saignait pas. Le Gryffondor soupira et rangea sa baguette. Puis, avec des gestes précautionneux, Ran la prit dans ses bras. Il la transporta en peinant un peu, et finit par s'asseoir par terre, exténuer et dénué de toute force. Il maintint Vitaline contre lui, la serrant dans ses bras, espérant qu'elle se réveille bientôt. Ran était plus que fatigué, le sort lui avait tout demandé. Il savait qu'il devrait attendre avant de se remettre en marche, alors, doucement, il caressa les cheveux de sa cousine, les yeux rivés vers les étoiles.

La douce serpentarde était toujorus entre la vie la mort allait-elle mourir ou survivre?La flaque de sang se fessait de plus en plus grosse elle se fit transporter mais ne le senti pas il la soigna comme il pouvait mais rien ne fit elle réponder pas alors il s'assia avec elle sur ces jambes mais toujours rien ses lèvres s'entrouvir pour laisser éhcaper un "Pourquoi" et de suite elle referma la bouche est les yeux toujours clos quelque larme descendit sur son visage pale et elle se fessait caresser les cheveux mais la douleur restée encore un peu et continua tout tout tout bas a parler "Pourquoi m'enpècher vous toujours de mourir laissez moi crever a la fin!
Tu veut quoi que je t'explique quoi a part que je réve de crevée de dormir a jamais est de m'empecher de faire du mal mais bordel laisser moi crevée!"

Invité

« Tu dis n'importe quoi. »

La phrase qu'avait prononcée Ran avait résonné simplement. Ce qui se passait en ce moment ne semblait pas l'émouvoir un seul instant. Il était froid, distant, et aucun sentiment ne transperçait le mur de sa personne. Pourquoi ? C'était une question à laquelle il ne fallait mieux pas répondre. D'ailleurs, le jeune homme savait qu'il ne donnerait aucune réponse à Vitaline...Ce n'était pas nécessaire, et elle aurait bien mieux fait de réfléchir avant d'agir. Mourir, ça ne servait à rien.

Il essuya d'un geste distrait les larmes coulant doucement sur les joues de sa cousine, puis, toujours l'air absent, l'allongea par terre, se servant d'un tas de feuille et de mousse pour lui faire un oreiller à peu près confortable. Puis le jeune homme se leva, chancela, et se rattrapa de justesse à une petit arbre planté à côté de l'endroit où ils étaient. Il se posait des questions : Pourquoi Vitaline voulait elle mourir ? Était ce vraiment utile ? Est ce que ça allait lui servir à quelque chose ? Et les autres, elle y pensait ? Il soupira : Vitaline ne semblait comprendre rien à rien. C'était décevant. Tenant toujours l'arbre, il murmura :

« Tu comprends rien à rien. »

Ses yeux bleus glace se tournèrent vers elle et la toisèrent. Un sourire sadique s'étal sur son visage et il ajouta :

« Ca m'étonnerait que tu ais déjà compris quelque chose, d'ailleurs. »

Ici sais bien toi qui comprend pas le message la prochaine fois j'menterre et j'me jete un avadra kedavra ainsi personne ne pouras me sauvé!
Elle se releva comme elle le pouvait la amin sur la poitrine elle regarda le poignard le serra dans sa main et le fit disparaitre se retournant vers Ran elle l'obliga a s'asseoir enfin a s'allonger et elle s'assia a coté de lui le regardand sen gentillesse mais jsute du regret et de la froideur elle dit:
J'ai mes raisons et si j'veut crevée j'creve et tu sais pas se que c'eest toi de..de..

» Attend quelqu'un pour un duel.( pv avec qui le veut^^)
» J'entre ou pas ? ^^
» Entre
» Entre, seule.