Perdues dans ses sentiments [( Libre deux personnes )]

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Il était assez tard, autour des 2heures du matin je dirait. L'ombre d'une fine silhouette se déplacait à une incroyable vitesse dans les couloires. C'étais une de nuit de mi-septembre. Voici quelques semaines que la rentrée était passer et que les élèves se noyait sous leurs devoirs. Cette nuit la, on pouvait sentire quelques gouttes d'eau dehors. Il pleuvait tout simplement. Eleonore, un pas devant le précèdent avancait assez paniquer dans les couloires. Pourquoi ? Disons que le stresse peut faire paniquer n'importe qui et sa à n'importe qu'elle moment. La jeune fille n'avait pour une foie pas mis les écouteurs de son balladeur CD. Alors qu'il faisait assez bon ce soir la elle se balladait avec de grande botte en cuir par dessus un Jean et était véttue d'un menteau avec capuche à fourrure. Faut dire que quand on viens d'Espagne, la fraicheur de l'angleterre peut surprendre. Les cheveux détacher volant à chaque pas aussi dinamique les unes que les autres, la capitaine des verts prenait la direction des escaliers. La jeune fille regardait de ses grands yeux noir les tableau qui s'annimait à son passage puis s'enfoura dans un couloirs trés sombre qui la mênerait au escalier.

Quelques heures plus tôt elle était assise à la table des Serpentard, entourer de toute son équipe de Quidditch. u départ ils voulaient parler de leurs prochain matchs dans la salle commune mais personne n'avait réellement envie d'aborder le sujet à 10heures du soir. Lancant quelques regard au préfèt des verts : Serve Middle ; Eleonore ne pouvait pas parler de ses projets, trop occuper à admirer le jeune homme parler à sa cousine. Tout en froncant les sourcils Eleonore était jalouse si l'ont peut dire sa comme sa. Elle était entourer de toute son équipe pendant que le garçon qu'elle aimait comme une folle était entourer des cousines de cette derniere. Faut dire que Jessica et Kaley attirait pas mal de monde. Même so Eleonore savait qu'aucunes de ses cousines ne serait capable de tenter de lui "voler" son chéri, elle ne pouvait pas rester tranquil. Elle avait besoin de savoir ce qu'elles voulaient faire. Pourtant elle avait confiance en ces cousines. Et confiance en Serve qui était la seul rare personne qui savait tout d'elle. Alors que le repas avait toucher à sa fin Eleonore était comme tout le monde rentrée à la salle commune. Tête baisser. C'étais super rare sa. Arriver à la salle commune, assise sur un fauteuil devant les regards inquiet de Serve elle voulait s'isoler. C'est pour cela qu'elle se leva et passa à côté du jeune homme en lui lancant un faible sourire. Puis quitta la salle sans même se retourner.

Sa y est, Eleonore avait monter les escaliers perdues dans ses pensées avec la seul envie de tout oublier ses tracas. Elle avait les yeux remplis de larmes sans pour autant les lacher. Pourtant tout s'arrangeait autour d'elle. Elle oubliait son ex, réussisait les cours et avait même presque retrouvé l'amour dont elle rêvait. Même si rien n'étais officiel toute l'école était au courant qu'elle était raide digue de son meilleur ami aprés que celui ci lui ai fait confiance. Donc à présent, à chaque foie qu'elle passait dans les couloires et qu'elle croisait Serve, tout les élèves les regardaient avec des sourires au lévres. Même ci eux ne se disait qu'un simple salut. Eleonore en avait tout simplement marre de tout sa. Toutes les générations l'ont véccu mais elle détestait affronter sa. C'est comme les stars qui affrontent les paparazzis. Elles ne sont jamais tranquil ! Alors qu'Eleonore passait trois foies devant la salle sur demande elle se demandait ce qu'elle pouvait faire pour être tranquil. Elle entra dans la piéce et tout se transforma en une piéce de manoir luxueux. La jeune fille s'avanca devant un miroire sur lequel était accrocher une photo. Celle de son pére mort il y à plusieurs années. C'étais sa chambre dans laquelle elle se trouvait. Celle ci remplis d'or, d'argent, de marbre ! Les Kreuk sont trés loin d'être une famille pauvre. La jeune fille passa sa main sur la photo en sentant une larme couler sur sa joue. Elle autta son menteau qu'elle posa sur un fauteuil puis se regarda dans le miroire en mumurant quelques mots.

<< Papa, regarde ce que ta fille adorer est devenue ... rien du tout. J'ai honte de moi, je suis désolée papa je me deccoi moi même. Pardon ... >>

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Une ombre au beau milieu d'un couloir éclairé par la pale lueur de l'astre lunaire...

Ashley marchait tranquillement dans les couloirs d'un pas sur et vif. Où allait elle ? Elle n'en savait strictement rien mais elle ressentait un impérieux besoin de s'aérer. L'ambiance dans la salle commune l'étouffait. On eût dis que les Sepentards, loin de faire briller le nom du fondateur de leur maison, n'avait plus autre chose à faire que de se comporter en vulgaires Gryffondors. Colporter des ragots...N'avaient ils donc pas conscience que leur conduite misérable vulgarisait leur noble maison ? Non...Vraiment, en ce moment rien n'allait plus chez les Verts. Dans son lit depuis un moment elle n'avait cessé de se retourner en vain, cherchant sans succès le sommeil qui l'emmènerait loin la replogeant peut être de nouveau dans son enfance violentée. Soupirant, elle avait fini par se relever, seulement vétue d'un pyjama rouge peuplé de petits Pikachu. Et oui, seize ans, mais toujours immature ! Revétant une cape noire par dessus, elle dissimula ses claires mèches sous le capuchon du dit vêtement, enfila ses Converses bleu fluo et s'élança silencieusement à l'assaut des couloirs endormis.

Les faibles rayons de lastre nocturne nimbait les couloirs de lueurs éphèmères qui disparaissaient au coin des murs sombres. Un éclat se posait parfois sur l'ombre mouvante qu'était l'adolescente dont les chaussures glissaient silencieusement sur le sol de pierre froide. Une mèche de sa chevelure s'était échappée de son couvre tête et renvoyait l'éclat de la lune, tandis qu'un halo argenté s'en emparer comme pour mieux en rehausser la couleur. Tout autour, les tableaux protestaient, lui hurlant de leurs voix desséchées de baisser sa baguette. Ce qu'elle ne faisait bien évidemment pas, sauf lorsqu'elle reconnaissait quelque sorcier de sang pur parmis les vieillards poussiéreux et ronchons. Mais elle leur trouvait toujours moins de rides, plus de noblesse, moins l'air abruti... Dans ces cas là, elle souriait poliment et abaissait la lumière qui émanait de sa baguette, unique lumière dans la noireceur infernale des corridors sans fin du vieux chateau.

Après un instant d'errance pensive, elle se décida à donner une quelconque destination à ses pas, n'ayant que peu envie de se retrouver collée pour avoir enfreint le réglement dans l'un de ses principaux points. Interdit, peut être mais c'était bien là tout le charme de cette petite promenade de nuit. Qu'y avait il de plus grisant que l'idée que personne, hormis vous n'était éveillé, que vous profitiez dans sa grande majorité du vétuste chateau pour vous seule ? Rompant là le paisible cheminement de ses pensées, elle s'arrêta devant une porte qui venait d'apparaitre sous ses yeux ébahis. Avait elle eût conscience de passer par trois fois déja devant ce pan de mur, songeant à un lieu où aucun professeur ne viendrait la chercher ? Bien sur, ces trois passages n'avaient pas été consécutifs, mais disséminés parmis les diverses directions qu'elle avait empruntés. Finalement, elle posa la main sur la poignée, pénétra dans la pièce et s'arrêta net.

Là, sous son regard éberlué était recréée une chambre éblouissante de luxe et de bien aisance. Etait il possible que la maison de son beau père se retouva ainsi transportée à Poudlard. Non...Il y avait une autre explication ! S'avançant de quelques pas encore, elle remarqua devant la glace une jeune fille aux londs cheveux sombres qui semblait s'absorber dans la comtemplation de son reflet que lui renvoyait une immense et magnifique glace. Mais l'attitude de cette adolescente qu'elle ne reconnaissait pas encore la frappa. Ce n'était pas une comtemplation narcissique mais plutôt empreinte d'une tristesse indicible. S'approchant doucement, la Serpy ne mit guère de temps à reconnaitre Jess Eléonore Kreuk, capitaine de leur équipe et égalemment ictime d'une grande partie des ragots qui circulaient dans l'école, et plus précisément dans la sombre salle commune de leur maison. Elle n'avança pas plus, laissant sa condisciple tranquille. Bien qu'étant de la même année, elles n'avaient jamais réellement engagé la conversation, ayant chacune leur cercle de connaissances. Pourtant quelque chose disait à la demoiselle que le destion ne les avait pas réunies là par hasard...

Bien que méprisant toutes ces superstitions stupides qu'étaient la divination, la magie des esptrits, les illusions idiotes, autrement dit tout ce qui n'avait pas trait à l'eur forme de magie, la seule, la vraie, elle ne pouvait s'empécher de penser en cat instant à Tanatos, cette fameuse divinité mineure de l'antiquité grecque qui selon les légendes réglait le destin de chaque homme. Mais qu'elles étaient donc ces pitoyables réveries auquel son imagination se laissait soudainement aller ? Reprends toi ! Tu n'es pas une vulgaire moldue, friande de comptes et légendes divers, mais une sorcière, l'une des dernière sang pur, tu es Ashley Parker !

La conscience de celle ci la rabrouait sévérement. Préférant laisser sa camarade à l'écart de sa curiosité, elle se plongea quelques instants dans l'étude du décor qui les entourait avec tant de luxe. Elle se revoyait soudian enfant, subissant dans une chambre certes moins belle, les traitements ignobles dont son beau père l'avilissait bien trop souvent. Cette pièce aurait put appartenir à la somptueuse villa en bord de Londres dans laquelle elle avait grandi...Mêmes pierreries, même gout pour les objets couteux, même harmonie grandiose...La chambre d'Ash' mise à part, il n'y avait rien quiç ne coutat trois sous dans la demeure splendide de son enfance. Un lieu qu'elle avait pourtant haï, lui préférant sans équivoque le modeste appartement de son père dans lequel elle avait vécut par la suite. Non pas que la richesse extériorisée la choqua, bien au contraire, mais les souvenirs douloureux attachés à ce type d'habitations lui restait douloureusement en travers de la gorge...Forcée de subir les atttouchements de cette homme dont elle avait cru être la fille si peu de temps. Mais quand l'enfant de jadis c'était elle transformée en une adolescente méprisante des sangs mélés, fière de son héritage magique et légèrement sure d'elle ? La question restait sans réponse, bien qu'étant la clé de la vie de cette jeune fille, d'abord enfant blessée, maintenant ado révoltée...Ashley Parker...

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Cela faisait dix bonne minute qu'Eleonore était devant son miroir à se regarder. Et je ne vous cache pas que la honte prenait le dessus. Le temps semblait s'être arrêter se soir la. Seul la solitude envahissait la jeune fille. En passant sa main sur le miroire elle put quand même comprendre une chose. Elle venait de tomber réellement amoureuse de Serve, alors la vie lui sourirait surment un peut plus. Mais d'un côtés, Serve était son meilleur ami, et si leurs relations amoureuse ne marchait pas ? Toute leur amitiée serait fichue en l'air. C'était ce que redoutait la capitaine des verts depuis plusieurs jours. Cependant elle ne pouvait cesser de pensée au préfèt qui venait de perdre son grand frére il y avait un peut plus d'une semaine. Eleonore se rendait petit à patit compte de la chance qu'elle avait d'avoir deux grandes soeurs. Mais si elle avait ses soeurs, elle n'avait plus ses parents. Comme quoi, la mort de certaines personnes pourrait peut être en faire vivre d'autres ? Si ses parents étaient encore la, peut être que Gabirella n'orait jamais sus l'existence de Kristin et Eleonore et se serait réciproque.

Pas un bruits, toujours perdue dans ses pensées... Eleonore leva la tête pour voir la chambre dans laquelle elle se trouvait. Tout simplement superbe. Des tableau d'une incroyable valeure se trouvaient attacher au mur. Jess' commenca à marcher dans la salle, ses cheveux volant légèrement derriere elle. La jeune fille sasseya sur le lit en tirant le tiroire d'une petite table basse. Elle ne ressortie plusieurs lettres, des photos, des piéces, des billets ... Eleonore s'amusait à lire chacunes des lettres adresser à ses parents. Découvrant à chaque lignes des choses dont elle n'était pas au courent. Notemment que le grand pére de cette derniere avait été poursuivit en justice pour tentative de meurtre sur un sorcier. Sa n'étonnait guére la jeune fille. Dans sa famille tout le monde était à Serpentards, riches et surtout du côtés de Lord Voldemort. Donc je ne saurais vous dire combien de meurtre avait fait les Kreuk depuis des années et années. Eleonore lacha un soupire en jettant la lettre sur le sol puis en ouvrit une autre qu'elle commenca à lire en baillant.

<< Mon chére Mathéo, j'ai le regret de vous apprendre que votre fille Gabriella Kreuk à été placée dans une maison ou seul des Poufsouffles s'y trouve. Je sais à quel point sa vous tenait à coeur que cette derniere grandisse au milieu d'une famille de Serpentards mais sa n'aurat pas été possible. J'aimerais aussi que vous méclairier un peut sur le fait que Kristin qui ne serat pas à Serpentard reste chez vous. Vous que ne voulez que Eleonore pour vous succéder pourquoi garder l'ainée de vos trois filles avec elle ?

J'attend avec impatience votre réponse, merci. Tibault, votre fidéle ami. >>

Eleonore qui était apparement visé par cette lettre la jetta sur le sol comme la derniére et continua de fouiller dans la petite table. Encore des lettres, toujours des lettres ... enfait la jeune fille mis plusieurs minutes avant dans lire la moitiée du tiroir. Et encore il devait en avoir dans la seconde petite table ! Eleonore soupira donc et se leva cette foie ci en se concentrant plus sur des tableaux accrocher au mur dans des cadres d'or. L'un d'eux montrait Poudlard mais d'une maniére un peut plus sombre. Un autre représentait une sorte de bar, encore un autre la famille Kreuk. Et étrangement, on ne pouvait pas voir la mére de la jeune fille sur les oeuvre d'ar se trouvant devant elle. Eleonore haussa les épaules, sa mére était à Poufsouffle, c'était la seul explication. Elle alla se replacer devant le miroire en continuant de se contempler. A trevsr son visage et la photo accrocher contre le bord de la vitre, elle esseyait de trouvait les différence et les ressemblance entre son visage et celui de son pére. Ce qui sautait le plus au yeux était justement leurs yeux. Ils étaient d'un noir, noir comme le pelage d'un corbeau. Eleonore lacha un sourire mais celui ci disparut quand une ombre passa derriere elle. Elle put voir celle ci dans le miroire. La jeune fille ne se retourna qu'au bout de quelques minutes en enttendant les pas de la personne se trouvant derriére elle. Et la, elle se retrouva face à face avec une serpentarde qu'elle avait croiser des centaines de foies. Voyant que la jeune fille regardai avec attention le décor Eleonore eut un sourire en caressant la cheminée elle aussi remplis d'or.

<< C'est beau non ? >>

La Serpentarde se retourna en regardant la capitaine. Celle ci regarda autour d'elle puis s'avanca de l'inconnu à petit pas. Elle regarda celle ci de haut en bas, assez méfiante mais savait que c'était quelqu'un de confiance au fond d'elle. Alors au lieux de l'envoyer ballader elle lacha un sourire en tendant sa main vers elle.

<< Eleonore et toi ? >>

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Les miroirs...Qu'étaient ils au juste ? Qui leur avait permis de renvoyer aussi cruellement l'image ? De simples objets...Pourtant bien plus puissants qu'on eut put le penser. Sans eux, le monde aurait il été le même ? Les visions du physique humain avaient elles consiences de pouvoir être aussi douloureuses ? Leur pouvoir n'était jamais plus fort qu'à l'adolescence où tous doutent de leur physique et par la même de la raison de leur existence terrestre. Tant de suicides de jeunes étaient dûs à leurs incertitudes quant à la vie à venir. Et toujours ou presque, ce mal être était causé par un physique souvent charmant mais qu'ils abhorraient. Fort heureusement, Ashley ne faisaient pas parti de ces adolescents complexés. Au contraire, ils faisaient plutôt parti des nombreuses personnes qu'elle méprisait. la nature les avaient fait tels qu'ils étaient, alors pourquoi se plaindre sans cesse ? Il est vrai aussi qu'elle n'avait guère à se plaindre sur ce plan. Mais même ainsi, elle n'essayait pas en vain de se trouver des défauts, et même la cicatrice dans son dos ne lui apparaissait pas comme une tare.

Cependant, comme je le fis remarquer précédemment, la douce comtemplation de la Serpentard dans le miroir ne semblait pas un geste d'autosatisfaction. Cessant d'épier la jeune fille, Ash' détourna le regard. Elle se ré-abima dans le détail du luxe ambiant. Jess aussi semblait plongée dans ses souvenirs et pensées. A présent assise sur un lit aux aspects moelleux, elle lisaient divers feuillets recouverts d'écritures changeantes qui n'appartenaient probablement pas à la même personne. Mais celà importait peu à la jolie brune qui ne pouvvait s'empécher de frissoner devant la magnificience de ce cadre. Tout ici lui fiasait penser à sa demeure enfantine. Non...Ce n'évait jamais été sa maison, elle n'y était pas la bienvenue. Mais pourtant, les souvenirs tenaces de ces trois années subsistaient, douloureuses traces d'un passé qui la marquerait à jamais. Accpeterait t'elle seulement d'aller plus loin que de simpels baisers avec un homme ? Pas sur...Avec les petits amis qu'elle avait eut jusqu'à lors, celà n'avait jamais été plus poussé que de simples baisers, la petite peste préférant rompre avant, les blessant d'autant plus qu'elle était restée inaccessible. Elle soupira. Ces jours étaient hantés par la fantômes de son passés que l'on pouvait parfois voir briller dans ses yeux lorsque ses pensées s'égaraient loin de cette réalité si décevante. Mais peu de gens pouvaient se targuer de les avoir décelés tant ces instants de relachement étaient rares. Pourtant, à ce moment préics, tandis qu'elle observait sans rien dire les murs couverts d'oeuvres d'art toutes plus couteuses les unes que les autres, au fond de son regard d'émeraude, on pouvvait voir la trace de la douleur qu'elle avait endurée...

Finalement, le bruit de ses pas tandis qu'elle visitait discrètement cette pièce, source de souffrance à ses yeux, elle sentit derrière elle se retourner Jess. Cette dernière, revenue près du miroir compaurait son visage angélique à celui d'un homme au regard sévère qui lui ressemblait en de nombreux points. Probablement son père...songea avec tristesse la Serpy qui n'avait connu le sien qu'à partir du moment où sa mère avait compris le danger que représentait pour elle son beau père. Chassant ses sombres pensées, elle se fit de nouveau violence. jamais sa carapace de dureté ne devait se craqueler ! Elle rejeta ces mauvais souvenirs. Ashley se retourna doucement et sourit chaleuresement à sa condisciple. C'ets premières paroles concernèrent la beauté de la pièce...Mais la Serpy svaait que jamais elle ne réussirait à oublier la douleur liée à ce type d'endroit. Puis jess se présenta, bien inutilement. Comment pouvait on ne pas connaitre la fameuse Capitaine de l'équipe de Quiddtich de Serpentard, cible privilégiée de rumeurs du moment. De plus, les deux adolescentes étaient en sixième années et se cotoyaient dans chaque cours bien que n'étant jamais côte à côte. Un nouveau sourire, un vra cette fois éclaira le visage doré de la jeune fille qui prit la main de jess entre les siennes, préférant ce geste à une simple poignée de main.

- Ashley Parker. Je suis étonnée que tu ne le sache pas, bien que je ne sois pas d'aussi grande notoriété que toi !

Aucune agressivité, aucune froideur, aucun mépris dans sa voix. Celà n'arrivait qu'extrèmement rarement. Seuls les membres de sa famille bénéficiaient de ce traitement de faveurn aisni que quelques rares privilégiés qu'elle considérait comme ses amis. Mais ceux ci se comptaient sur els doigts d'une main. Cependant, la réputation d'2léonore était trop glorieuse pour qu'elle la snobe, et par ailleurs, son allure franche lui inspirait confiance.Finalement, elle répondit à sa première interlocution.

- Beau...Peut être...Personellement, j'ai du mal à apprécier ce type de décoration...

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