Une nouvelle année scolaire s'écouler pour les élèves du collège Poudlard, alors que l'été quant à lui, venait d'arriver depuis maintenant quelques semaines. Les jeunes sorciers s'étaient donc mis, pour la plupart, à esquiver les quelques cours restant, en allant au choix, se dorer au soleil ou jouer les têtes brulés dans la secrète et tourmentée forêt interdite. Il faut dire que le moment s'y pretait parfaitement, les professeurs étant pour la plupart occupés pour les passages en années supérieurs, ajouté à cela aux épreuves de fin d'années de certaines sections d'élèves. Buses et Aspics prenaient donc une grande partie d'une minorités d'étudiants, et les autres pouvaient ce que bon leurs semblaient...
Un élève lui, se sentait particulièrement hors de tout ces complexes. On pouvait d'ailleurs, apercevoir sa silhouette de cinquième année dans un endroit des plus simples, sur les escaliers. Il ne bloquait aucun passage, et n'était pas déranger par le vacarme des élèves normaux, festoyant dignement la fin de l'année scolaire magique. Duncan O'Connor, toujours un peu en retrait avec les autres personnes, était installé à son aise, sur les escaliers, enfin, l'un d'entre eux se situant entre le rez-de-chaussée et le premier étage. Son sac était à ses pieds, et le jeune homme avait un livre en main, certainement un bouquin de magie au vue des ecritures communes aux grimoires. C'était là, le livre de sortilège qu'utilisait le professeur de cette matière. Celui-ci était fort instructif pour ceux et celle qui souhaitait apprendre des sorts, histoire de savoir lequel lancer lors de diverses situations...
Le jeune O'Connor referma alors brutalement le manuel d'instructions, expirant un long soufflement d'ennuis. Il était ici depuis maintenant près de deux heures, et le temps commancait à se faire long pour le serdaigle. Il devenait quelque peu maussade, et Duncan possédait une expression de désespoir quelque peu dissimuler sur son visage, laissant avoué ainsi son manque de contact au chateau de Poudlard. Bien sur il souhaitait avoir des amis, et qui sait, peut-etre un petit groupe de potes avec lequel il pourrait exprimer toute sa joie, jusqu'alors inactive et imperceptible pour les autres. Mais pourquoi ne pouvait-il abordait les autres, si ce n'est pour obtenir quelque chose. Des amis ? Il n'en avait donc pas. Sa famille ? Elle n'était pas présente là ou Duncan avait cours, et même si elle avait été dans las parages, cela n'aurait rien changé. Le jeune homme se calla alors encore plus confortablement sur les marches, et porta son regard vers le haut. Les escaliers bougeait, mais pas celui sur lequel il se trouvait. Ses pensées se tournèrent alors vers d'autres émotions, mais Duncan fut sortit de ses rêveries par des bruits de pas claquant, approchant de sa position...