Je suis perdue ???

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Lucie voulait visiter l'extérieur de Poudlard en fin d'après midi.Alors elle alla dehors vers 19h00 du soir et elle se dirigea vers une forêt qu'Albus Dumbledore avait interdit à tous élèves d'y pénétrer.En faisant ça,Lucie fit une énorme bêtise car elle est à présent perdue au milieu de la forêt interdite.Alors elle cria.

-Y a quelqu'un ? Répondez,s'il-vous-plait.

Lucie repensa à l'histoire du pique-nique dans la forêt avec l'ours.

*J'espère qu'il n'y à pas d'ours dans cette hénoble forêt toute bizarre*.

Zoheir resté allongé sur son lit a ne pensait a rien... Si en faite! Il repensait à la mort de son père! Qui l'a tué! Voldemort? Un mangemort? Soudain il se souvenus que son père aimait se dirigeait vers la foret interdite. Autrefois elle ne s'appelait pas "Foret interdite" mais "Salive de licorne"! Pourquoi? Ben avant il y avait énormément de licorne. Enfin bref...Zoheir décendit de son lit, prit la carte magique de la Foret interdite de son père et partis à la recherche d'indice. Il risquait sa vie mais il s'en moquait. Soudain il entendit des cris venant de la foret. Alors il s'y précipita. Zoheir vit que c'était une fille. Alors il lui demanda

Salut! T'es perdu?

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Luice se tourna et vit un jeune homme de poufsouffle,elle vit son insigne jaune sur la robe de sorcier du jeune homme.Elle le regarda en le dévisageant.

-Ouf,tu n'es pas un mangemort.

Puis le garçon lui posa une question et elle lui répondit avec une vois mélodieuse et douce.

-Oui,malheureusement...

Zoheir sentait la peur dans les yeux de la fille alors il lui dit

N'ai pas peur! je la connait par-coeur! Ah oui! Je m'appelle Belhadj Zoheir^^Je suis a poufsouffle^^

Invité

Lucie lui souria,il était courageux,donc ? Lucie aussi mais elle ne voulait pas le montrer.

-Moi,c'est Lucie Homary,contente de faire ta connaissance,Zoheir.

Elle était contente de voir qu'elle n'était pas la seule dans cette horrible forêt interdite.

Invité

C'est le soir.
Où Sharrigan se montrer enfin. Avait-il des élèves à cette heure ? Sûrement comme d'habitude. Elle galopait, d'air calme. Elle était très discrète... Qu'un expert en la matière savait que Sharrigan était dans la Forêt Interdite, entrain de courir... Enfin, de galoper.
Sa corne, et oui elle en avait une, qui muserait maintenant 4 centimètres, était noire. Elle sentit l'odeur de deux Sorciers... Et des bruits, des paroles incessantes...

Elle avait raison, il y avait bel et bien des Sorciers aujourd'hui, ce soir... Dans la Forêt. Mais quelle risque prenait-il ? Ce sont des idiots...
Elle galopait jusque cette odeur... Vue deux élèves. Toujours cacher dans l'ombre, elle resta là, à les observer.

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Laiyniah était sortie, à la recherche d'un peu d'air nouveau.
Elle n'arrivait plus à dormir, elle se retournait toute la nuit, sa saletée d'alergie lui prenait le nez et lui grattait la gorge.
Elle avait préférée sortir de son dortoir, pour laissé aux autres, un peu de répis.
Elle avait envie de passer sa nuit dehors, elle ne supportait plus les révisions pour ces exams, et tout ce qui allait avec.
Pourquoi une serdaigle est-elle sans arrét obliger de bosser ? Pour étre bien vu aux yeux des autres ? Foutaise.
Elle en avait marre, marre de ses allures de miss parfaite, qui se controle sans jamais rien dire.
Elle avait laissé ses pensées s'échapper et en avait presque oublier que trainer dans les couloirs la nuit était interdit.
Désormais, elle s'en moquait du réglement.
Elle toucha du bout des doigts le mur du hall, son coeur battait faiblement.
Elle se sentait complemement pommée et naze. Comment fera-t-elle dés que les cours auront repris.
Passé ses nuits à révasser, ça va pendant les vacances, quand on peut rattrapé son sommeil la nuit, mais prochainement, elle ne pourrait plus.
Elle repensa à la petite boite qu'elle garde toujours sur elle, et la chassa de son ésprit. Trop douloureux.
Elle actionna la poignée de la porte, et entendit un grincement venant du chateau. Elle sortit précipitament.
Elle ne portait qu'un petit débardeur blanc aux motifs de cerises rouges et un bas de pyjama trop large pour elle.
Elle frissona, elle ressentait comme une mise en garde, mais elle n'écouta pas son intuition, et commença à marcher.
Elle regarda le chateau de loin, et repéra la tour nord. Heureusement pour elle, aucun membre du club astro ne semblait passé la nuit dehors.

Elle se baladait tranquillement quand elle entendit des voix venirs de la foret.
Elle avança timidement, serrant sa baguette dans sa main seche.
Elle aperçut deux ombres avec une lanterne. Un garçon et une fille.
Machinalement, elle s'approcha d'eux d'un pas plus vif mais entendit un bruit prés d'eux.
Rien qui pouvait ressembler a un bécotage, une ombre malsaine qui semblait les entourer.
Elle trembla, elle avait deux choix, un, celui d'aller voir, deux , retourner au chateau.
Mais Laiy', qui était complétement nunuche et folle, voulait voir a qui appartenait cet ombre, quitte à passer pour une dingue psychopathe qui suit les couples la nuit.
Mais rapidement, elle se rendit compte que ça ne semblait pas étre quelque chose d'humain, le souffle de la béte était plus rapide. Trop rapide.
Elle éclaira la chose à l'aide d'un sortilége, et écarquilla les yeux en grand, le coeur battant puissance mille.

Zoheir Belhadj : Deux lignes complète minimum

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Les fortes chaleurs de la journée s'étaient dissipé peu à peu. De nombreux animaux sortaient de leur sièste ; celle-ci n'étant dûe qu'à leur instinct : en effet, la forêt interdite coupait tellement du monde que les températures ne changeaient guère, ainsi les animaux ne dormaient pas par fatigue ou par trop de chaleur, ils dormaient juste.

Il y avait de l'agitation dans la forêt interdite. Beaucoup de créatures préféraient fuir ou ne pas s'occuper de cela, par peur ou par flemme, mais quelques uns avaient tout de même la curiosité et l'envie de voir ce qu'il se passait...

C'est ainsi que deux énormes fauves marchaient en direction des bruits de voix. L'un d'eux était un énorme tigre qui devait mesurer la taille d'un troll sur ses pattes arrières. L'autre, un animal légèrement plus petit, très ressemblant mais dont les rayures étaient moins nettes et qui possédait une petite crinière : un tigron.

Le tigre était nommé Raja. Il était très courrageux et connaissait la forêt aussi bien que les plus sages centaures. Ne connaissant pas la peur pour lui-même et étant à moitié domestique, et ainsi gentil, il était en quelque sorte comparable à Albus Dumbledore.

Le tigron, lui, s'appelait Rao. Il s'agissait du fils de Raja que ce dernier avait eu avec une lionne. La plus petite taille de Rao venait d'ailleurs du sang de lion qui parcourait ses veines : mi-tigre mi-lion, Rao était d'une taille intermédiaire ; ce jeune fauve mesurait tout de même trois mètres de long ! Il a hérité de son père son courrage et sa gentillesse, mais a encore beaucoup à apprendre avant de devenir aussi mûre que son père...

Les deux animaux sentirent alors une odeur qu'ils connaissaient beaucoup : il y avait des humains, comme leur maître, Seifer. Raja et Rao n'avaient aucune peur des humains. Leur expérience leur avait dévoilé que, malgré leur réputation, ces animaux étaient d'une faiblesse sans égale.
C'était une autre odeur qui fit brusquement s'arrêter les animaux. Il y avait un autre animal. Ils connaissaient cette odeur : il s'agissait de celle d'une licorne, l'une de leurs proies favorites. Rao se lécha les babines mais Raja semblait peu rétissant à l'idée de ce festin.

Rao regarda son père avec étonnement. Pourquoi donc ne se préparait pas à l'attaque, comme habituellement ? Ce n'était qu'une licorne après tout...

Raja fixa Rao d'un regard si clair et compréhenssible qu'il était presque facile de le traduire pour un humain : il ne fallait pas s'attaquer à l'inconnu, hors là, il s'agissait de l'inconnu. L'odeur de cette licorne était en effet très légèrement différente de celle des autres. C'était une autre espèce que celles qui se trouvent habituellement dans la forêt, et quelque chose disait à Raja que cette licorne ne serait pas une proie aussi facile que les autres...

Les fauves reprirent cependant leur marche et virent bientôt les humains discuter. Un regard de Raja en direction de l'ombre des arbres, non loin de là, lui permit de voir cette licorne. Sa vue percante parvenait à la repérer alors que de simples humains devaient en être incapables.

Etait-ce un effet de l'ombre ou bien cette licorne était particulièrement foncée ?

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