Los Angeles, ville de rêve situer en Amérique, attirant beaucoup de monde nottement des tourristes. Ce n'était pas pour visiter que la ministre du département des Mystères c'était aventurer dans cette magnifique ville, non. Elle avait été envoyée par le ministère de la magie chercher et signer des papiers importants. Le soleil frappait fort en se beau jours de Février. Malgrès le fait que son employ de ministre lui permette de voyager souvent, Selene avait toujours été impressioné par la chaleure de se genre de ville en pleine hiver. Parfois, elle ferait même presque n'importe quoi pour ne pas avoir à quitter le lieu dans lequel elle se trouvait. Demander à n'importe qui de choisire entre le soleil de la Californie et la pluie de Londres, tout le monde vous répondra la même chose. Après des semaines passée sous les épais nuages d'Angleterre, la jeune ministre était vraiment ravie de retrouver un peut de couleure et de lumière. Le sable chaud, l'océan, les fêtes, l'alcool, le luxe ... tout ce qui lui permettrais d'oublier ses soucis et dieu seul sais qu'elle les collectione.
Selene sorti d'un immeuble, assez grand sur lequel était écrit le nom d'un grand coiffeure en lettre d'or. Malheureusement, elle n'eut pas ce qu'elle avait prévue. A la place d'avoir des mèches bleu nuit sur ses magnifique cheveux noir, la jeune fille c'était retrouvé avec des cheveux d'une couleure rose vive. Ses yeux caché derrière de grosse lunette de soleil noir, elle arrivait à voir les gens se retourner à son passage. Il ne faut jamais aller chez un coiffeur qui ne comprend pas ce que vous dites, vous risqueriez de vous retrouver avec des cheveux rose. Grace à ses chaussures à fins talons, on pouvait entendre les pas de la jeune femme se déplasser bruyement, comme les femmes d'affaire. Elle portait un slim noir avec une ceinture à clou gris et blanc, un tee-shirt rose pettant avec des rayures noirs et un sac à main noir à lanière doré qui semblait très remplit. Ses poignets était décorés de magnifique bracelet en or d'une valeure inéstimable pour l'époque. Et c'est habillé de cette façon très chique que Selene longeait la plage en se demandant ce qu'elle allait faire de sa fin de journée.
Il était 18 heures et elle avait eu le temps de faire pleins de choses. Seulement, les papiers qu'elle était censé signer avec le ministre du pays n'étaient pas près, chose qui eut dont de l'agacer. L'homme avec qui elle était censé collaborer l'informa qu'elle devait revenire le lendemain. Enervée, la ministre avait quitter le bureau en claquant si fort la porte derrière elle qu'un des tableau accroché au murs se retrouva sur le sol. La première chose qu'elle voulut faire à sa sortie, pour se détendre, c'était s'acheter une bonne glace au magasin du coin. Tandis que le soleil se couchait et qu'elle longeait des immeubles plus hauts les uns que les autres, les pensés de la jeune femme se portait vers une personne : Benjamin Landon Barker. L'homme dont elle était tombé amoureuse, celui dont elle avait longtemps rêvé. Jamais elle n'aurait penser tomber amoureuse mais il faut croire qu'elle c'était trompé.
Quelques minutes après être sortie de ses pensées, elle arriva devant une sorte de marchand vendant des glaces très peut chère. Un sourire releva les lèvres de la jeune femme quand elle enleva ses lunettes de ses yeux pour voir tout les parfums qui se trouvait à sa portée. Très vite, elle trouva celui qu'elle voulait. Selene rangea ses lunettes dans son sac et se dépêcha de demander ce qu'elle voulait. Le vendeur était quelqu'un d'aimable, de très gentil même. Il lui en avait donner une moitié prix. Décidement, si sa journée avait mal commencer, elle allait bien se terminé. La ministre remercia l'homme qui se trouva en face d'elle et s'apprêta à reprendre la route. Elle n'eut pas le temps de faire 10 mettres qu'elle percutta quelqu'un et manqua de renverser l'espece de goblet en plastique dans lequelle sa trouvait la fraiche matière. Selene releva la tête et se trouva face à une jeune homme qu'elle n'avait bien sur jamais vue.
« Veuillez m'excuser, je n'ai pas regarder où je mettais les pieds. »