pleure (pv Troy)

Le ciel était bleu foncée et des milliers d’étoile briller dans le ciel, c’était une soirée fraîche mais peu venteuse ! La jeune serpentarde serrer contre sa cape noir avait enfiler sa capuche cachant ses longs cheveux bond, elle marchait d ‘un pas lent et fatiguer, elle en dormait presque plus ses temps si et passer son temps a pleurer ! Sa cousine, sa confidente lui manquait trop ! Elle ne pouvait pas changeait de chambre, toutes els autres était pleine pourtant Kaley ne supportait plus de dormir entre sa cousine et Misha qui tellement heureuse de se marier avec Lucas, ne faisait même pas attention au malaise de la jeune femme. Elle avait comme a son habitude a cause de son insomnie de sortir prendre l’air. Sous ses grand et magnifique yeux clair on voyait quelque cerne qui n’ôtait rien a sa beauté. Le ciel s’assombrit et ils e mita pleuvoir, Kaley marchait sous la pluie, ses joue ruisselante de larmes. Elle se mita courir, courir pour oublier jusqu'à se qu’elle trébuche et se retrouve sur le sol dur en larme, elle se laissa tomber sur le sol a genoux lâchant son chagrin et sa colère quand une voix résonna derrière elle, une voix qu’elle connaissait bien, elle se releva et sécha ses larmes d’un coup de manche.

Troy était assis, par terre, au beau milieu du doirtoire des garçons, le coeur battant. Il avait étalé sur la moquette quatre enveloppes. Toutes lui étaient adressées. Il tenait dans sa main un bout de parchemin froissé. La lettre qu'il voulait envoyer à Kaley. Mais, que pouvait-il lui dire...Il ne l'avait pas revut depuis la soirée de Noël. Ca l'inquiétait. Il voulait tant lui dire, mais sa plume refusait de bouger sur le parchemin.
Il regarda par la fenêtre. Il commençait à pleuvoire. Le ciel était lourd, pourtant on pouvait appercevoir les étoiles. Troy les observa.
Au fond, se dit-il, je suis un peu comme elle, plein de doute et seul suspendu dans l'univers.
Il leva un peu plus la tête vers elles. Ses idées le menère d'elles-même vers Kaley. Ses yeux, sans doute. Deux joyaux. Lumineux. Deux Océan. Le Poufsouffle repensa à son sourie, ses lèvres si fines, son odeur...
Il se releva et jeta d'un air rageur je bout de parchemin à l'autre bout de la pièce. Troy sortit un autre bout de parchemin et avec sa plume y inscrivit d'une écriture inclinée mais gryffée:
Alors je plongerai mes yeux dans les tiens,
J'entrelacerais nos doigts,
Pour devenir en une seule nuit,
qu'Un.
Même si nous savons,
Toi et moi,
Que demain n'existera pas...

Il ouvrit le premier livre qui lui tomba sous la main - Métamorphose- et y glissa la feuille. Le jeune homme ne prit même pas soin de prendr eun menteau, il sortit dehors, se changer les idées. Il resta, vague-à-l'âme, sous la pluie. Au loin, une masse noire gisait au sol. Troy s'en approcha et leva sa baguette. Cette masse poussait d'étrange cris. Le jeune homme découvrit une jeune femme en pleurs. Il l'a reconnut. Elle. Celle qui occupait ses pensées. Elle qui consumait son coeur à petit feu. Celle qu'il aimait de toutes les fibres de son être.

- Kaley, murmura-t-il.

Troy s'aprocha d'elle et la prit dans ses bras.

- Mais qu'est ce que tu fais là ?

Demanda-t-il dans un murmure, alors qu'il prenait entre ses doigts le menton de Kaley.

Les larmes ruisselaient sur le visage d’ange de la jeune princesse. Elle ne se remettrait donc jamais de la mort de sa cousine ? Si biensure mais il lui fallait le temps. Du temps pour s’en remettre. Elle se sentait submerger de souvenir et de sa cousine et elle a poudlard, elle l’aimait tellement, mais a présent tout son amour se faner. Elle senti des bras autours d’elle puis une voix familière. Une voix qu’elle n’avait pas attendu depuis Noël, Une voix qui avait hanter ses nuit quand elle pouvait encore dormir, une voix qu’y l’apaiser tellement. Elle leva ses yeux embuer par les larmes et même si la pluie ruisselait sur son visage et qu’elle ne voyait rien, elle savait que face a elle se trouvait son petit ami Troy Bolton. Elle serra el jeune homme dans ses bras puis déposa ses lèvres sur els sienne, elle avait besoin de sa présence a ses coté de l’homme qu’elle aimait. Elle se sentait si seul et si perdu dans le monde sans ses attache qu’elle devait tenir a quelque chose et Troy était se qu’elle avait de plus beau ! Les larmes couler encore sur ses joues. Après avoir retirer ses lèvres de celle de Troy elle le regarda dans les yeux d’un regard intense et triste.

Tu…tu ma manquer….

Troy serra la jeune femme dans ses bras, enfouissant, au passage son visage dans ses cheveux blonds. Respirer son odeur, il n'avait besoin que de ça pour être en paix avec lui même. Il savait pour la cousine de Kaley. Et il se maudissait intérieurement de ne pas avoir été là pour elle. Quel égoïste et parfait crétin il avait été ! Ne pas avoir pu la soutenir en ces moments difficils...Enfin, il était là à présent à ça allait changer. Pour Kaley. Parce qu'elle était le seul être au monde qu'il chérissait de tout son coeur. Troy prit le baiser de la jeune femme comme la chose qu'il avait de plus précieux au monde. Oui à présent, il était sur, Aimer, c'était sa peau si douce, ses yeux qui brillent, sa moue boudeuse quand les choses ne vont pas comme elle le voudrais. Aimer, c’est quand elle s’endort contre son épaule et qu'il a des fourmis dans le bras mais que pour rien au monde il ne bougerais de peur de te réveiller. Aimer, c’est la voir tous les jours et savoir qu'elle serait près de lui enocre très longtemps.

- Toi aussi Kaley...

Doucement il l'a réanbrassa. Il ne voulait pas la bruquer, surtout maintenant. Il l'a releva, presque en l'a portant. Il aurait voulu lui dire qu'il savait tout et combien il avait été bète de ne pas être la pour elle, mais les mots ne franchirent pas la frontière de sa bouche.

- Il vaut mieux rentrer...Je ne voudrais pas que tu tombes malade.

Les larmes ne cesser de couler sur les lèvres de la jeune fille, une boule se former dans sa gorge la faisant suffoquer, comme plonger dans un lac elle avait l’impression de se noyer dans un torrent de larmes, heureusement Troy était la ! Mais elle ne voulait pas qu’il la voit comme sa ! Elle Kaley la femme forte qui ne pleure jamais ! Elle regarda Troy comme si il était le seul important pour elle ! Elle se demander pourquoi était t’il venu lui et pas quelqu’un d’autre ?? Elle avait si peu penser a lui ses temps si trop occuper a se morfondre sur elle-même ! Elle se demander bien depuis Noël si Troy avait pensé a elle ou si il avait refait sa vie avec une autre fille ! Elle chassa cette idée de sa tête ! Elle se fit soulever par Troy et se retrouva sur ses deux jambes, sous la pluie qui tomber a torrent, la jeune fille suffoquait, grelottait, tremblait de tristesse et pourtant elle se sentait moins triste en la présence de Troy. Elle suivit le jeune homme jusque dans le grand hall de Poudlard. La elle s’écroula sur un banc. Le noir couler de ses yeux la rendant encore plus rayonnante que d’habitude pleurer la rendait belle mais rire encore plus ! Elle regarda Troy et le serra dans ses bras, il venait de s’asseoir a coter d’elle.

Oh Troy…pourquoi c’est si dure ??? Pourquoi je ne m’en remets pas ? Pourquoi elle est pas moi ??

Elle avait poser difficilement ses 3 questions mais Troy savait t’il se qui c’était passer ?? La raison de son chagrin ?? A son avis oui tout le châteaux le savait.

Troy avait fait assoir Kaley sur un banc de la grande Salle. Un peu à l'écart, il ne voulait pas être dérangé. Il s'accroupie en face d'elle et sortit de sa poche un mouchoir. Il éssuya les larmes de Kaley, enlevant au passe le noir. Même triste, ça accentuait ça beauté. Troy fut déstabilisé quelques secondes. Il ecouta Kaley, il fallait qu'au fur et à mesure elle vide son sac. Il lui donna une bise sur le front, comme pour lui donner du courage.

- C'est dur, parce que tu aimais ta cousine, peut-être parce que tu t'en veux de ne pas lui avoir dit certaines choses. Kaley, la mort n'a rien d'agréable, laisse tes blessures se cicatrisées...Je suis sûr qu'avec le temps, tu guériras. Et puis, tu peux compté sur tes amis...Et sur moi, on ne te lâchera pas Kaley.

Troy lui sourit, puis finit par s'assoir à côté de la jolie blonde. Il se dit que c'est dans ses moments comme ça, qu'on se rend compte à quel point on aime les gens...a quel point au fond de nous, il nous manque quelque chose.

- Pourquoi elle et pas toi ? Kaley, ces choses là nous dépasse...C'est..comme la fatalité du destin. C'était sa destinée Kaley...Mais dis toi qu'a présent, Jess est heureuse. Mais tu sais, il ne faut pas vivre dans les souvenirs. Les souvenirs, c'est beaux c'est important, mais il faut penser au présent. Mais ne regrette pas tes choix. On est ce qu'on choisit d'être. On se construit au jour le jour. Ton existence sur cette terre est dûe au génération de Vendetta qui t'on précédé, mais ton essence, ce que tu choisis d'être intresequement, c'est le résultat de tes seuls choix, ceux d'hier, mais surtout ceux d'aujourd'hui. Quand à ceux de demain, qui sait ce qu'il feront de toi...C'est à toi d'en décider Kaley, Mais quelqu'un dont je n'aurais pas à rougir, ça c'est sur.

Une larme roula sur sa joue et vint s’enfouir dans le creux de ses lèvres fine et rose. Un goût salé vient à la bouche de la jeune femme. Celle-ci écouter Troy qui d’une voix réconfortante et douce lui glisser des mots gentils essayant comme il le pouvait de calmer son chagrin. Submerger par la tristesse la jeune femme regarder ses pied, il était si petit elle se concentra sur leurs balancement 1.2.3.4.5.6.7.8.9.10……. Elle les comptait comme un enfant qui s’ennui dans la salle d’attente chez le médecin ! Puis elle sortit de sa torpeur en entendant, « Jess est heureuse. » Mais Jess était heureuse vivante ! Elle ne s’était pas suicider ! Kaley aurait eu sans doute moins de chagrin si sa sœur c’était suicider ! Mais non sa cousine ne voulait pas mourir ! Elle était bien sur terre et c’était si soudain, leur dernière discussion avait porté sur un jeans, que Kaley avait volé à Jess. La jeune fille était en colère contre elle de lui a avoir voler mais elles c’était réconcilier. Le baiser sur al joue que Kaley avait donnée à Jess pour se faire pardonner avait était le baiser d’adieux de deux cousines inséparables !

Mais Jess était heureuse vivante alors pourquoi est t’elle morte ?

Kaley vouait une haine sans retenu envers la personne qui l’avait tuer et si elle mettait la main dessus elle allait sans aucun doute le tuer et lui faire payer au centuple sa tristesse. Mais pour l’instant elle devait faire son deuil et elle n’était pas sortit ! Heureusement comme le disait Troy Kaley avait certes beaucoup d’ennemi mais aussi beaucoup d’amis et la elle en avait énormément besoin ! Troy était la pour elle, lui qui avait était absent depuis Noël elle en lui en voulait pas c’était en partit de sa faute si Troy et elle ne se voyait plus ! Elle était resté enfermée dans son dortoir a se morfondre et a crier sa tristesse. Elle regarda Troy puis décida de le remercier d’être la pour elle :

Merci...Merci d’être la !

Dans sa voix résonnait la sincérité d’une jeune fille perdu dans sa peine, la petite fille enfoui au plus profond de Kaley celle qui ne sortait jamais, on pouvait lire dans ses yeux a qu’elle point elle était perdu et qu’elle avait peur. Peur de l’avenir sans son ange gardien, peut on vivre sans son ange gardien ? Sans la personne qui veille sur nous ?? Sûrement pas et Kaley devait faire avec.

Troy sourit faiblement. Ça lui faisait le la peine de la voir aussi triste. Mais, il savait que Kaley était forte, même si elle était fragile ces temps si. Il ne saurait l'expliquer, mais une force émanait d'elle. Peut-être ne s'en était-elle jamais rendu compte. Elle s'en remettrait. Mais ça, seul le temps pouvait le dire. En tout cas, il ne l'a laisserait pas tomber ! Certainement pas !

- Tu feras ton deuil Kaley, parce que l'être humain est capable de s’adapter à tout, même au silence et à l’absence d’une personne sans qui on ne pouvait pas imaginer la vie...

Cette phrase lui était plus destiné qu'a Kaley. Quand il avait perdu Kristin. Sa demi-soeur. Elle l'avait quitté beaucoup trop tôt. Le pire, c'est quand il avait entendu sa belle mère dire : « Mon seul regret sera de ne jamais l'avoir vu monter sur l'estrade des diplômés de Poudlard. ». Oui, elle était partie beaucoup de trop tôt. Elle aurait dû vivre. Encore longtemps. Troy se souvenait encore de leur après-Midi à Près-Au-Lard ou il pouvait lui acheter des tonnes de glaces. Il pouvait bien se ruiner pour elle. Parce qu'il l'a considérait comme sa soeur. La soeur qu'il n'avait jamais eu.
« Mais Jess était heureuse vivante alors pourquoi est t’elle morte ? »
Troy ne sût quoi répondre. C'était la fatalité du destin. Mais il connaissait le genre de Kaley. Le genre de personne qui se dirait que si elle avait été là, la victime ne serait pas morte. Elle avait maintenant les larmes aux yeux et l'une d’entre elles finit par s’échapper pour aller s’échouer à la commissure de ses lèvres. Troy suivit attentivement du regard cette perle et il se surprît à rêver d’être elle pour pouvoir connaître le goût et la douceur de la peau de Kaley. Il aurait tant voulut suivre le conseil que sa mère lui avait donné avant de partir mais c’était si dur d’écouter son cœur au lieu de sa raison.

- Je pense que s'était écrit. Quelque part, même si ça semble étrange. C'est le destin. J'ai appris la cause du décès de ta cousine. Toutes mes sincères condoléances. Je ne l'ai pas connus mais elle méritait de vivre. C'est dur à dire, mais la vie continue.

« Merci...Merci d’être la ! »

Le basketteur serra sa jolie blonde dans ses bras. Il inspira fortement. Elle ne savait pas à quel point il était désolé pour elle. Mais Troy ne maniait pas les mots. Il aurait voulu la réconforter. Lui dire qu'il l'aimait à la folie. Merlin, Kaley, ton but dans la vie était-il de le rendre fou de toi jusqu’à ce que mort s’en suive ?

- Je t'en prie Kaley. Je serais toujours là pour toi, quoi qu'il arrive. La vie est si courte que tu n’as pas le temps de t’attarder sur la mort. Demain, il se pourrait que toi aussi tu disparaisses et c’est justement la fragilité de nos existences qui fait que nous sommes obligés de continuer à avancer malgré nos chaînes et nos douleurs passées...Lorsqu’un de nos parents meurt, on comprend et on finit par accepter aussi grand que soit notre amour pour lui car c’est dans l’ordre naturel des choses. Mais aucun parent qui se respecte ne devrait avoir à enterrer son enfant…C’est tellement inhumain pour eux de devoir survivre à leur progéniture et leur douleur est tellement plus forte que la nôtre…Les plus vieux partent pour céder la place aux plus jeunes. C’est le cercle de la vie et il en a toujours était ainsi.

Le regard de Troy s'était perdu dans ses souvenirs. Au bout de quelques minutes, il secoua la tête et ajouta d'une voix qu'il espérait rassurante et sûre :

- Alors Kaley, tu vas me promettre d'avancer dans la vie, de ne pas faire de grosse bêtise, comme de retrouver l'assassin de ta cousine et de le tuer. Tu seras aveuglé par ta colère. Réfléchit bien à tout ça, prend du recule. Je ne voudrais pas que tu termines ta vie à Azcaban. Je tiens trop à toi pour ça.

Le jeune blonde avez la tête poser dans le creux du coud e Troy, elle laisser les larmes coulait sur ses joues rose, elle ne suffoquait plus, ne gémissait plus elle était d’un calme presque affolant. Seul quelque perle salée naissait de ses yeux, perlait sur ses joue et s’échouait sur ses lèvres laissant a la bouche de Kaley un goût salée. La jeune femme était sereine elle pensait a sa cousine au moment passer, elle plongea son regard dans celui de Troy puis ferma les yeux, elle ne voulait plus penser, car chaque penser aller vers Jess. Elle voulait vivre le moment présent avec Troy. Elle l’aimait plus que elle-même, sa en devenez presque apeurant pour elle, elle ne voulait pas le perdre aussi, elle se mit a avoir peur qu’il se face tuer aussi. Elle rouvrit les yeux comme pour se rassurer de sa présence ! Elle le serra dans ses bras elle ne voulait pas le lâcher, cette tristesse la rendait parano, elle allait devenir folle. Elle regarda Troy dans les
Yeux et dit :

Promet moi que jamais tu ne me laissera !

Elle ne voulait pas perdre la personne qui comptait le plus pour elle ! Elle regardait celui ci els yeux emplie de larmes et de pitié. Comment Kaley avait pus finir ainsi ?? C’était impossible, elle l’arrogance, la méchanceté avait un cœur oui mais que Pour Troy !Elle regarda le jeune homme et déposa un baiser sur ses lèvres avant de se remettre sur son épaule et de refermer els yeux comme pour oublier. Elle les rouvrit 10 minute plus tard et dit au jeune homme une fois que toutes les larmes avait cessé de couler laissant son visage humide et froid.

Troy, je t’aime, je t’aime plus que moi-même je ne veut pas te perdre tu est el seul qui compte réellement pour moi !

Troy serra Kaley dans ses bras. Il sentait ses larmes dans son cou. La savoir si près de lui le rendait fou de joie. Et si elle n'avait pas été là, il aurait sans doute sauté comme un cabris.

Et doucement, ses hocquaitements cessèrent. Ses larmes disparurent à la commissure de ses lèvres, le silence retomba laissant Troy plonger dans ses pensées. Il avait eu tellement peur pour Kaley quand il avait appris la mort de sa cousine Jess. Peur qu'elle aille retrouver son assassin et se fasse tuer elle même. Il avait conscience qu'il aurait pu la perdre à tout jamais. Et ça, il ne pouvait s'y résoudre. En fait, Troy avait réellement compris. Quand il avait vu Kaley, seule, dehors, et sous la pluie qu'il était tombé amoureux d'elle. Ou plutôt raide dingue amoureux d'elle.
Cet amour il aurait pût en crever. Troy s'était rendu compte qu'il avait toujours aimé Kaley. Depuis le jour ou ils s'étaient rencontrer dans un arbre, en 1ère année. Chaque jour, ils se croisaient et à chaque rencontre, ils discutaient, de tout et de rien. Et pendant ces quelques minutes, Troy vivait parce que Kaley le regardait. Il existait parce qu'elle lui parlait même si c’était pour salir le nom de Gryffondor, ou encore d'autres élèves de sa maison. Pendant ces quelques instants Troy volait, se sentait heureux puisque que la jeune blonde s'intéressait à lui. Mais plus que tout quand elle lui parlait, il avait l’impression de redevenir un être humain. Grâce à elle, le Poufsouffle n'était plus plus cet être froid et indifférent à tout.
Pourtant, Troy n'osait pas imaginer la réaction que Kaley aurais si elle apprenait ses véritables sentiments.
Si un beau matin, elle arrivait à percer le masque du jeune homme pour plonger dans les profondeurs de son âme tourmentée. Est-ce qu'elle, la si noble Serpentard, elle pourrait se moquer de son amour ? Troy se le demandait à chaque fois qu'il était à deux doigts de tout avouer. Pourrait-elle continuer à l'aime en sachant qu'il l'aimait à en mourir ? Oui, Kaley, pourrais-tu lui en vouloir de cacher tout ça au plus profond de lui par peur ? Par crainte du ridicule mais surtout par crainte que tu le repousses ?
Elle le regarda, et le jeune homme se sentit se noyer dans ses deux grand yeux d'un vert émeraude. Ses deux joyaux, qu'il pourrait pendant des heures, contempler.
«Promet moi que jamais tu ne me laissera !»

- Je te le promet Kaley. Jamais je ne te laisserai.

Il lui sourit et l'embrassa.

«Troy, je t’aime, je t’aime plus que moi-même je ne veut pas te perdre tu est le seul qui compte réellement pour moi !»

Il sourit de plus belle et l'a serra un peux plus fort dans ses bras. S'était sans doute le meilleur moment pour le lui demander. Ce qui le travaillait depuis des mois déjà...Temps pis s'il se trompait quelque part, Kaley l'aimait et c'est tout ce qui comptait à ses yeux.

- Tu sais Kaley, depuis que je te connais, j’ai lu beaucoup de textes écrits par des Moldus. Il y en a un qui m’a touché, je l’ai appris par cœur. C’est un extrait d’une lettre de Georges Pétin, poilu de la Grande Guerre, qui a écrit à sa femme le 6 juin 1918 : « Aimer, c’est se donner corps et âme, c’est s’identifier à l’être aimé, c’est souffrir quand il souffre, c’est être joyeux quand il rit, aimer, c’est aussi posséder, c’est aussi triompher de la joie de sentir un autre vibrer comme toi… Aimer… C’est tout ce qu’on peut s’imaginer de plus doux, de plus fort, de plus beau. C’est le sacrifice et la possession réciproque de deux êtres unis pour la vie… » Moi, aujourd’hui, je voudrai ajouter quelques mots à cette définition. Mes mots à moi.

Troy continua de la regarder dans les yeux et serra un peu plus fort ses mains dans les siennes, tandis qu’il reprenait :

- Aimer, c’est quand je me réveille avant toi et que je te regarde dormir, avec ton petit sourire et la lumière du soleil qui joue avec tes cheveux. Aimer, c’est avoir le goût de tes lèvres quand je te vole un baiser en public alors que je sais que tu n’aimes pas ça. Aimer, c’est ta peau si douce, tes yeux qui brillent, ta moue boudeuse quand les choses ne vont pas comme tu voudrais. Aimer, c’est quand tu t’endors contre mon épaule et que j’ai des fourmis dans le bras mais que pour rien au monde je ne bougerais de peur de te réveiller. Aimer, c’est te voir tous les jours et savoir que tu seras près de moi toutes les nuits pour le reste de nos vies. Aimer, c’est construire une vie à deux, même si c’est pas toujours facile. C’est se fabriquer un nid confortable, un cocon protecteur où personne d’autre ne peut entrer, ni nous atteindre.

Alors, devant toute la Grande Salle, Troy Bolton, l’ex-abominable Poufsouffle devenu doux comme un agneau, fléchit un genou au sol, devant Kaley, sortit de la poche arrière de son jean une petite boite en écrin au velours bleu nuit. Il l'ouvrit délicatement et présenta la bague à Kaley.

- Je t’aime. Veux-tu m’épouser ?

La jeune serpentarde écouta un moments se que lui disait Trou puis elle se perdait dans ses penser elle regarder Troy et se perdez dans ses yeux. Elle oublier tout ses soucis et ne penser qu’a une chose l’embrasser encore et encore ! Elle aimait Troy et se laisser bercer par ses paroles même si elle n’écouter pas vraiment ses mots voletait dans son esprit, ils vagabonder se perdait dans sa tête. Kaley avait a présent plus peur que tout de le perdre, Kaley devenez tellement accro a Troy qu’elle ne voulait plus le voir s’échapper de sa vie. La jeune serpentarde ferma les yeux, les paroles du jeune homme était comme des pansement au blessure que lui avait causer la mort de Jess. Elle se sentait mieux, et Troy continuer dans son discours il parlait, parlait et Kaley aurait voulut le faire taire pour coller ses lèvres contre els sienne et rester dans ses bras le reste de la nuit mais quelque chose l’en empêcher comme si Troy allait lui dire quelque chose qui allait changer sa vie !
Troy avait toujours surpris Kaley du jours ou ils s’étaient rencontrer sur l’arbres dans le parc, au jours heureux qu’ils avaient passer ensemble revint enfin le souvenir du bal de noël la plus belle soirée que Kaley n’est jamais passer de sa vie, Kaley se soir la avez offert a Troy un pendentif avec leurs deux initial. Kaley regarda le coup de Troy et aperçut le pendentif. Un sourire s’afficha sur son visage quand elle entendit des mots qui la firent instantanément fondre en larmes de nouveaux.
« Je t’aime. Veux-tu m’épouser ? »
Kaley ouvrit brusquement,t els yeux qui se remplir de larmes… des larmes de joies cette fois si ! Troy voulait l’épouser, même dans ses rêves elle ne l’avait imaginer, Troy était touts e qu’elle possédait et biensure que oui qu’elle voulait l’épouser ! Il était l’homme de sa vie et elle ferait tout pour être avec lui dans n’importe qu’elle moment les bon comme les mauvais. Elle regarda le jeune homme dans les yeux :

Oui ! Oui je veux t’épouser !

Elle regarda autours d’elle, elle venait de se rendre compte que toute la grande salle les regardaient tout les deux et elle était si heureuse a présent ! Elle regarda de nouveaux Troy un genoux au sol puis lui sauta dans les bras et l’embrassa avec passion.

( dsl pas d'inspi....)

Il avait attendu une réponse, la regardant droit dans les yeux, le genou au sol, le coeur battant à 100 a l'heure. Faut avouer que c'est assez stressant ce machin...
En fait, il n'avait pas attendu cette réaction. A présent elle était dans ses bras et elle l'embrassait. Ben...il était ravi. Non, même pas ravi. Savoir qu'il passerait sa vie aux côtés de sa blondinette préférée, qu'il pourrait la voir dormir, l'embrasser, ça le rendait fou de bonheur, tandis qu’un tonnerre d’applaudissements s’éleva dans la Grande Salle. Troy se surprit à voir quelques filles qui furent tellement émues qu’elles en pleurèrent de joie.
Mais il s'en fichait complètement d'être applaudi ou pas, il avait Kaley dans ses bras et c'est tout ce qui comptait. Il l'embrassa avant de lui souffler à l'oreille un «je t'aime». Le Poufsouffle passa tendrement la bague au doigt de sa jolie blonde.

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