Le souffle de Hurlevent [Termine]

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Poudlard offrait quand même un certain nombre de petits avantages qui étaient fichtrement els bienvenues ; on pouvait bien entendu critiquer l’épouvantable règlement qui obligeait les professeurs à donner des cours aux élèves, on pouvait maudire les même professeurs d’être pour la plupart de vieux barbons à 60 ans bien sonnés qui maudissait le moindre décibel un tant soit peu élevé, on pouvait hurler au scandale de l’obligation d’être rigoureusement chaste à l’intérieur du château, enfin bref on pouvait trouver que décidément la vie était un enfer on était bien obligé d’admettre que vraiment, t’avait quand même des bonnes choses.

Par exemple, simple exemple, Henri appréciait particulièrement le fait de pouvoir utiliser la grande salle de bains avec ses 4 baignoires et ses 6 douches plaquées or, sans avoir à se préoccuper de la présence d’un collègue ou d’un élève ; encore qu’avec ses derniers, le quiproquo eusse pu être divertissant, mais bon le règlement disait que….. enfin vous savez bien.
Or donc Henri De Hurlevent, très respectable professeur d’astronomie à Poudlard, profitait amplement de tout le confort qu’offrait la salle de bain ; une vraie petit merveille ce bain moussant, et ne parlons pas du règlement automatique de la température : c’était magique ! Evidemment, certains esprit chagrins eussent pu s’interroger sur les nouvelles cicatrices qu’abordait le dos nus et musclé du professeur : marques d’un combat récent et intense, qui s’en iraient d’ici quelques semaines, mais en attendant…., en attendant il y avait là matière à se questionner sur les occupation soi-disantes « banales et d’un ennui à mourir » du professeur. C’était également pour cela qu’il apprécia tant l’intimité qui lui offrait l’endroit. On ne viendrait pas s’étonner sur les marques de ces petites activités, de même qu’on ne s’étonnerait pas de sa musculature fine et prononcée, même si il veillait à entretenir cette dernière par quantité de marathon autour du château : la forme, c’était important.

Henri se sentait bien, fringuant et plein d’énergie : le bain l’avait bien revigoré, ce qui était plutôt un exploit ; ces petites séances d’entraînement particulier dans la forêt interdite étaient plutôt du genre à l’épuiser et à lui donner envie d’aller se coucher le plus tôt possible. Cela dit, il maîtrisait de mieux en mieux son flux magique, ce qui lui permettait d’économiser de ces forces. Néanmoins, si sur ce terrain il avait fait des progrès importants, il savait qu’il devait prendre garde à un entraînement plus terre-à-terre, notamment à un entraînement de combat ; bien sur il n’allait pas appeler un mangemort pour lui demander aimablement un petit duel sympathique histoire de garder la forme. Par contre il pouvait toujours descendre à la salle de duel, histoire de s’émousser les réflexes ; il y avait quantité d’élèves très doués dans le château, et même si il était hors de question qu’il se mette à utiliser ses pouvoirs à pleine puissance il était toujours possible de venir émousser ses réflexes et sa rapidité avec eux. Il ne connaissait pas leur niveau véritable, mais Henri calculait qu’à son propre niveau, et comme tenu de sa cuisante défaite à Azkaban, il se devait augmenter d’au moins 50% sa rapidité de sortilège, et être capable d’en jeter 3 dans le même intervalle de temps où actuellement il n’arrivait qu’à jeter 2 sortilèges….

C’est donc un pas guilleret et tonique qu’il se dirigea dans la salle des duels. A son entrée il remarqua que plusieurs élèves étaient là, s’exerçant à jeter quelques sorts, et s’échauffant à accomplir avec dextérité leurs mouvements ; mhhhh, ils étaient sérieux ces élèves, sérieux et efficaces on dirait. Henri fit un signe affectueux à son collègue le professeur en charge des duels, puis il monta sur le podium principal et s’adressa à la cantonade.

« Mes enfants, c’est votre jour de chance ! Je me sens de bonne humeur et j’ai besoin de vous pour un petit entraînement, qui est partant pour un ticket à l’infirmerie ? Notez, vu qu’il parait que le niveau a augmenté vous allez peut-être m’y envoyer plus vite que ce je ne croirai…. Alors, qui est partant ? »

Henri était curieux de voir qui se sentait les épaules, ou le désir, d’aller affronter un professeur dont il avait entendu dire qu’on disait de lui qu’il surprenait parfois… ; lui qu'on appelait dans une autre partie du monde, "le Fléau de Hurlevent".

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John mangeait tranquillement dans la grande salle de Poudlard,il y avait de nombreux de ses camarades a ses cotés.Au bout d un certain moment,quand il eut fini il entendit une certaine agitation dans la salle ou avait lieu les duels.Le professeur de sortileges,Henri de Hurlevent était debout sur l estrade et apparament cherché un adversaire pour selon lui lui donné un ticket pour l infirmerie.

John trouva que cela était une excellent idée pour tester des nouveaux sorts et un bon moyen de s améliorer que de faire face aun professeur.Il s avança donc,baguette a la maison et monta sur l estrade.Le professeur ne fut aps étonné de voir John une nouvelle fois se démarquer des autres.

Pret a relever le défi,professeur

Il alla ensuite se placer a l autre bout de l estrade,retira son uniforme qui le génait et se retrouva alors en t shirt.Il se mit ensuite en position de garde,pret a contrer les sorts ou meme attaquer.

Cours de duel.

Tout élève un tant soit peu ‘‘normal’’ aimait cette matière. C’était celle où l’activité pratique était la plus abondante, là où tous pouvaient se défouler en tout légitimité. On y apprenait à se battre, se défendre surtout, en ces temps obscurs où le doute, l’indécision et la peur perçaient chaque jour davantage. La plupart du temps, les sorts étaient intéressants, et devenaient par la suite, accessible à tous les étudiants. Bref, comme vous l’aurez comprit, cette matière ne semblait pas faire de malheureux.

Alors pourquoi? Pourquoi n’arrivait-elle pas à s’y intéresser comme les autres?

Siam n’était pas une rebelle.
....
Siam n’était pas une rebelle pendant les cours.

Elle aimait apprendre, avide de saisir des notions lui étant encore inconnues. Elle, qui souhaitait devenir assez forte pour ne jamais dépendre de qui que ce soit, s’exerçait à chaque instant. Elle apprenait consciencieusement à la bibliothèque toutes sortes d’informations qui lui seraient utiles, les sortilèges, les notions non vues au programme, les détails qui n’avaient pas été évoqués en cours, les noms importants et l’histoire de certains sorciers. Elle farfouillait souvent les vieux registres de présence, jonglait entre concoctions de défenses, enchantements et maléfices. Les livres de potions n’avaient, pour certains, plus de secret pour elle, et surtout... Surtout, elle devait tout connaître de la vie de la bibliothécaire! Cette dernière, à force de la voir, s’était intéressée à elle. Siam s’était déjà sentie mal à l’aise en sa présence lors des fêtes de fin d’année, lorsqu’elle l’avait croisé aux trois balais, alors maintenant, elle ne savait plus réellement quoi faire. Mais finalement, s’étant montrée prudente, elle avait changé la donne en la poussant à lui faire confiance.

Sur le plan physique, elle s’entraînait également. Sakura lui faisait froid dans le dos parfois, mais, c’était une bonne prof, et ses leçons, étaient plus qu’utiles. Elle avait fait d’énormes progrès, bien que cela ne soit jamais suffisant à ses yeux, et aux yeux de Sakura par la même occasion. Oooh, bien sur que Siam s’était longuement demandée si un jour jamais, la poufsouffle serait satisfaite de son élève, mais lire sur son visage, était peine perdue, et elle n’en saurait jamais rien.

Et puis, la préfète, bien que devant montrer l’exemple, passait de longs moments dans la forêt interdite, seul endroit où elle pouvait s’exercer en toute sécurité. Oui, il est vrai que la salle sur demande n’était pas à oublier, mais elle avait apprit, avec le temps, que se faufiler dans les couloirs en pleine nuit, était un risque pour se trouver avec quelqu’un en face à face. Or, passer la nuit dans la forêt, lui évitait de fâcheuses rencontres... enfin des fâcheuses rencontres avec des êtres humains évidemment. Elle n’était pas prête d’oublier les espèces de bestioles de la dernière fois. Rien qu’à y songer, un frisson lui parcourut l’échine, et lui fit lever la tête.

La jeune fille balaya du regard la pièce bondée d’élèves. La foule, ce n’était pas son truc, encore moins quand il fallait faire démonstration de sa magie. Elle préférait cent fois se faire discrète, et ne pas provoquer d’incidents involontaires. Elle devait bien s’avouer que ces derniers temps, elle avait passer ses moments de libres à éviter les gens, préférant s’enfermer dans sa bulle, comme d’accoutumée. Au pire, elle se déguisait, et il n’était pas rare de voir une blonde inconnue, se balader à pré au lard par exemple. C’était un de ses passes temps favoris depuis quelques jours, en fait... depuis qu’elle était partie du château pour ses recherches personnelles et que cela lui avait servi de couverture. Personne ne l’avait reconnu, et c’était bien mieux ainsi, elle n’avait jamais lancé le sortilège d’amnésie, pas même sur Sangjin. Peut-être aurait-elle du... elle ne le saurait jamais.

Un brouhaha attira son attention, et elle tourna son regard sombre en direction de l’estrade. Dessus, un professeur s’y trouvait. Le prof de sortilèges pour être plus exacte. En 6 mois, c'est-à-dire, depuis son arrivée, elle avait rencontré de nombreux professeurs, tous différents, et elle n’avait pas pu se pencher sur le cas de monsieur De Hurlevent. Elle l’observa intensément, cherchant à percevoir quelles étaient ses motivations pour faire un tel appel. Avait-il envie de faire progresser ses élèves? De s’amuser? Ou juste de se défouler? Ce n’était certainement pas pour progresser lui-même, trop d’adultes considéraient les élèves de ce château comme de simples étudiants inoffensif. Cette pensée la fit regarder ailleurs. Autrefois, elle aurait sûrement sourit ou peut-être même grincer des dents en serrant le poings, mais ce n’était plus le cas. Elle restait impassible, comme si peu de choses la touchaient à présent.

Cependant, elle reporta de nouveau son attention sur le couple qui venait de se former. Un préfet, John Sheppard, venait de se proposer. Elle lui jeta un coup d’œil. I avait souvent fait face à des attaques de mangemorts, et elle se demandait ce qu’il vaudrait face à un prof... de sortilèges qui plus est! Un sentiment d’orgueil, qu’elle s’empressa de refouler monta en elle, lorsqu’elle songea qu’elle était arrivée deuxième dans un tournoi de duel dans sa dernière école, après un septième année et qu’elle avait obtenu un optimal à ses buses en enchantements. Elle chassa ces pensées malsaines de son esprit, détestant son ego qu’elle aurait aimé détruire depuis longtemps.

Elle s’approcha malgré elle, attirée par le futur spectacle, et ne quitta plus les deux personnes de vue. Elle en apprendrait peut-être un peu de leur duel, qui sait. Elle attendit ce qui lui sembla être un long moment, alors qu’une seconde à peine venait de s’écouler, puis prise d’une certaine impatience, elle se posta entre les deux concurrents, sans faire attention à leur regard. Le sien, vide d’expression, n’était fixé nulle part précisément. Elle fit un pas en arrière, laissant le champ libre, tout en restant sur l’estrade. Puis, elle leva les mains en direction de chacun des concurrents. Siam tourna la tête vers le professeur, puis voyant qu’il était prêt, tourna ensuite la tête vers John. Celui-ci semblant prêt également, elle prononça les paroles demandées lors d’un véritable duel d’une voix claire, juste avant de s’écarter davantage.

Bien. Vous êtes prêt? Alors, à trois, vous commencerez. Un... deux... trois.

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Henri regarda d’un air un peu déçu l’assemblée des élèves qui se tenait dans la salle de duels ; il avait pensé que sa proposition soulèverait un peu plus d’enthousiasme : de son temps il n’aurait pas manqué de volontaires pour venir affronter un professeur en duel. Hélas, la nouvelle génération avait l’air de tenir à son petit confort, à moins qu’une crise de flémingite aigue n’est terrassée tous les illustres membres.
Toujours était-il qu’il avait en ce moment la désagréable impression de prendre un méchant bide en pleine face ; question ridicule il allait faire fort là….

C’est donc avec une certaine joie qu’il eut la satisfaction de voir deux élèves se présentaient devant lui en annonçant finalement qu’ilsse sentait de taille à affronter le défi. Pour un peu il les en aurait chaleureusement remerciés, mais on ne faisait pas cela en public ; bah, il manifesterait son approbation d’une autre manière.

« Approchez mes enfants; Siam et John n’est-ce pas ? Oui, j'ai entendu deux trois petites choes sur vous...." inutile de leur préciser que les deux "deux trois petites choses" en question venaient des dossiers de Rusard ; tout le monde avait été jeune, et finalement lui-même.... "Merci d’être volontaires, je vois que les gryffondors n’ont rien perdu de leur légendaire courage…., vous relevez le niveau ma chère ; quand à vous John j'attends que vous faisiez honneur à l'intelligence des aigles » Il fit un petit signe de tête à son collègue professeur, responsable du bon déroulement de la séance, pour lui annoncer qu’ils allaient commencer.

« Vous êtes respectivement en 4ème et 6ème je crois bien, n’est-ce pas ? et bien je vais en tenir compte, n’ayez crainte je n’ai encore jamais tué personne par accident » l’affirmation peu rassurante fut souligné par un clin d’œil taquin « Nous allons donc essentiellement nous concentrer sur la rapidité des sortilèges et non sur leur puissance ; soyez imaginatifs, surprenez-moi ! »

Henri sortit sa baguette magique puis joignit ses deux mains au centre de son torse, sa baguette bien droite pointée sur le haut. Il concentra son énergie magique, en prenant soin de garder un certain contrôle de régulation ; puis il prononça la formule :

« Sofflo Protego ! »

L’air environnant se mit à tourbillonner autour du professeur, créant une sorte de carapace venteuse qui l’enroulait totalement, telle une sphère de tornade. Henri resta concentré, sans changer de posture, puis parla à nouveau :

« Ceci est ce que l’on nomme un Souffle protecteur, c’est-à-dire un bouclier formé par les vents ; très pratique pour des attaques physiques et contre un certain type de sorts. Je vais vous laisser tâter de cette protection, voir si vous pouvez la franchir. Soyez sur vos gardes, je ne vous préviendrais pas quand j’attaquerai…. »

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John regarda la jeune fille qui venait de monter sur l estrade de duel,il ne comprenait pas pourquoi celle ci venait dans leurs directions car les deux adversaires étaient déjà pret.Il la reconnut,c était Siam,il l avait déjà rencontré dans la salle des préfets lors d une réunion de préparation pour le bal de fin d année.Celle ci vint de placer au milieu des deux puis recula d un pas avant de leur annoncer qu elle serait l arbitre de ce duel.

Le professeur énonça deux qualités des maisons respectives de Siam et de John,c est a dire Gryffondor et Serdaigle.Ils faisaient tous les duex honneur a leur maison en acceptant le duel.Soudain,sans prévenir,le professeur murmura un sortilege après avoir mis ses mains devant son torse.Une petite tornade se mit en place tout autour de Henri,l cachant aux yeux de John et celui ci lui avoua que c était une carapace de protection.

*C est ce que l on va voir !*

John serra sa baguette dans sa main droite et visa le professeur,meme si il savait qu il n était qu eleve dans cette école,il avait déjà combattu plusieurs mangemorts donc il s y connaissait en duel.Il fit apparaitre de grandes torches enflammées jsute devant lui puis murmura

Waddiwasi

celles ci filerent a la vitesse d une balle de fusil vers le professeur

Non mais non mais non mais, elle ne s’était pas vraiment portée candidate! Et la voilà qui devait affronter elle aussi le professeur, drôle de surprise en ne souhaitant juste n’être qu’arbitre. Bon, le léger problème, c’était que si elle le faisait remarquer à présent, elle passerait sûrement pour une froussarde, ce qu’elle n’était pas. Bien qu’elle évite la foule et ses camarades de classe, elle avait sa fierté. Et celle-ci se trouverait extrêmement plus blessée si elle descendait de l’estrade maintenant, que si elle perdait face au professeur. Au pire, elle ferait semblant de perdre, pour ne pas avoir à se battre à pleine puissance.

Elle rejoignit donc John sur sa droite, et sortit sa baguette de sa poche. Levant la tête, pour faire face au regard que posait sur eux le professeur, elle le vit lancer son premier sortilège. ‘‘Sofflo’’... vent... hum... ok. Le professeur employait donc les éléments naturels, très bien. Est-ce qu’il les employait tous cependant? Cela n’étonnerait pas la jeune fille. Sans savoir vraiment pourquoi, elle avait l’impression que se dégageait de l’homme une aura de combativité.

*Bof, c’est un prof, normal.*

La gryffondor jeta un coup d’œil à John. Que connaissait-il du combat? Pas mal de choses vu son expérience. Mais que connaissait-il de la magie? Hum... ça elle le verrait bien assez tôt. De son coté, en sixième année, ils avaient étudié les sortilèges informulés, ce qui était un atout majeur, bien qu’elle les ait pratiqué dès sa cinquième année.

Bon, maintenant il fallait réfléchir à une stratégie, et vite. Ils étaient deux, et bien qu’elle n’aimait pas vraiment travailler à plusieurs, ils allaient devoir se serrer les coudes. Le professeur avait eu recours au vent... opposition de la terre. Cela sera donc utile d’exploiter ce fait. Face à une barrière de vent, c'est-à-dire, des remous rapides et instables d’une matière incontrôlable, il leur faudrait certainement du poids, pour contrer la légèreté de l’élément, et de la rapidité aussi.

Cette réflexion ne prit que trois secondes dans l’esprit de la jeune fille. Puis son attention se reporta de nouveau vers John.

*Hum... autant faire comme avec Ul’*

Elle croisa les bras, comme pour marquer un nouveau temps de réflexion. En réalité, elle cachait le fait que sa baguette, passée sous son bras, avait pour cible le jeune homme. D’un sortilège informulé, elle l’entoura d’une barrière infranchissable pour tous sorts, hormis les impardonnables et certains ayant trop de puissance pour elle. Elle y avait déjà eu recourt envers Ulrik, face au calmar et ce sortilège était plus que pratique. Il possédait l’avantage, de repousser ou plutôt de faire rebondir la plupart des sortilèges, comme pour le bouclier normal, mais en faisant preuve d’une durée, et d’une puissance nettement plus importantes. Cependant, pour balancer cet avantage sans pareil, il possède quelques inconvénients. Tout d’abord, pour fonctionner, il puise dans l’énergie du lanceur, et cela varie en fonction du sort contré. Et de plus, il n’est pas possible de le lancer sur soi même.

Siam l’avait trouvé en cherchant des moyens les plus catégoriques pour protéger ceux qui l’entourent, et elle en avait été grandement satisfaite.
Une fois le sortilège lancé, elle regarda le professeur droit dans les yeux. John ne savait pas qu’il faisait l’objet d’une protection supplémentaire, l’enchantement étant invisible à l’œil nu, tout comme l’aura qui s’en dégageait. Un sort puissant, pratique mais épuisant face à de véritables ennemis.

Pour le moment, il fallait analyser la force du sortilège lancé par le prof, et comme ce dernier était assez aimable pour les laisser tenter leur coup avant d’attaquer lui-même, autant en profiter. Elle lança un regard au professeur de duel, après un imperceptible hochement des épaules, comme pour l’excuser de ce qui allait se passer à sa classe par la suite. Elle avisa les deux chaises du premier rang de la pointe de sa baguette, et songea à ‘‘waddiwasi’’, le sortilège qui propulse un objet avec la rapidité d’une balle de fusil. Aussitôt, les chaises s’élevèrent et foncèrent vers leur cible... le professeur de sortilèges.

C’est à ce moment qu’elle entendit le sort jeté par John, et la surprise fut plus forte que le rire, parce qu’il était certain que si elle avait pu prévoir son coup, elle en aurait ri aussitôt. La même idée... comment allait faire le professeur à présent pour contrer le même sort alors qu’il était visé à deux endroits différents par deux matières différentes?

Hj: John, je n’ai pas copié, tkt pas. J’avais pas actualisé la page, et donc pas vu que tu avais répondu, donc, c’est juste un coup... du destin! xD

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[Pour les sorts, vous pouvez voir la liste, pratiquement achevée, qui est faite dans ce topic ]

Ainsi donc ça avait débuté. Les deux élèves n’avaient eu aucun problème à se mettre dans l’ambiance, et de toute évidence ils semblaient la situation très au sérieux. Tant mieux, il n’aurait pas aimé qu’ils se soient retenus face à lui, simplement sur le prétexte fallacieux qu’il était un professeur. Henri avait pour sa part l’intention de lui offrir toute sa panoplie de mignons petits sortilèges, en particulier les quelques petits trucs qui l’avaient aidé à conserver sa précieuse carcasse de sorcier. Bien sur pas question d’utiliser des sorts de très haut niveau avec eux : il était venu pour s’entraîner, pas pour faire un minable petit show en catapultant à terre des élèves. Ca amusait peut-être certains professeurs mais lui avait des aspirations plus hautes, et un enjeu important.

Un visage passa soudain dans son souvenir ; un beau visage respirant la puissance et la vaillance, quoiqu’aux traits gâchés par ce rictus de haine et de mépris qu’on retrouvait sur son sourire. Le visage du sorcier, du mangemort, qui l’avait défait à Azkaban. Celui-là un jour, très vite, il le retrouverait et alors il aurait sa revanche ; non, il aurait même beaucoup plus, il en était certain. L’homme qui se trouvait là-bas ce jour-là, ce jour d’évasion, était infiniment plus qu’un vulgaire mangemort et il avait le sentiment terriblement tenace que son destin et les réponses qu’il cherchait passaient inexorablement par cet individu. Le trouver serait déjà toute une quête, mais le combattre et le vaincre….
Autant être réaliste, il s’était fait puissamment maîtrisé quand il s’était retrouvait face à lui ; et pourtant leur différence de niveau ne venait tant pas de la puissance ou de l’intensité des sortilèges employés mais bel et bien de la rapidité et de la maîtrise d’exécution entre les deux combattants. Henri devait à peine être à la moitié du talent de cet homme. Mais il s’était entraîné depuis, beaucoup et durement et maintenant l’heure approchait de se mettre à la poursuite de ce terrible sorcier.
Mais avant, avant il testerait ses nouveaux talents avec Siam et John.

On pouvait sans doute se dire que faire un entrainement avec des étudiants était jouer la carte de la facilité, car après tout il serait bien extraordinaire qu’un professeur, de sortilège de surcroit, n’eut pu être à même de répondre efficacement à leurs attaques ; dans le cas contraire le professeur en question se révélerait être un incompétent de la pire espèce, du même niveau qu’un certain Lockhart…..
Pourtant, pourtant pour peu qu’on s’impose certaines contraintes il devenait très vite évident de voir toutes les possibilités que l’on pouvait tirer du talent et du potentiel de ces adversaires élèves. Les jeunes sorciers ont tendance à ne jamais lacher le morceau, à mettre un point d’honneur à se surpasser avec toute la fougue de leurs jeunes années ; et ils étaient originaux, cherchant sans cesse de nouvelles solutions là où un sorcier avec un peu de bagout aurait eu tendance à se retrancher sur certains sorts habituels. Pour résumer, il était particulièrement satisfait d’affronter deux préfets dont il était certain qu’ils allaient lui donner du fils à retordre.

Bien, au boulot donc.

"Waddiwasi !"

Henri envisagea d’un œil critique la situation. Première constatation : ces deux-là avaient de la cervelle ; utiliser un sortilège de lévitation pour transpercer une protection, voilà qui était un choix judicieux. Deuxième constatation : ils avaient tous les deux un bon esprit d’analyse, et le fait qu’ils aient lancé en même temps le même sortilège tendait à prouver qu’il s’entendrait bien pendant le duel ; car ils avaient intérêt à attaquer conjointement et il espérait bien qu’ils le feraient. Troisième constatation : tout n’était pas exactement aussi évident qu’il n’en avait l’air ; oh bien sur il ne pouvait nier qu’on venait de lui lancer deux sortilèges et qu’il lui faudrait peut-être un peu réagir un beau jour, mais un petit quelque chose l’intriguait. Il aurait pensé que Siam réagirait un peu plus tôt, du moins plus rapidement que John et simplement parce qu’elle était sans doute un poil plus expérimentée, or ce n’était pas le cas ; bien sur elle pouvait avoir choisi d’attendre le mouvement de son camarade mais…, mais elle avait choisi de croiser ses bras or personne n’adoptait une telle position en combat : on veillait toujours à avoir la possibilité du mouvement et à se tire on se méfiait comme de la peste des positions fermées, sauf si l’on souhaitait caché quelque chose….

Bon il s’occuperait de ça plus tard, en attendant il était largement temps de s’occuper de ces deux fameux sortilèges. Alors voyons… des torches enflammées et des chaises volantes ? Dommage qu’ils aient pris la précaution de le viser en deux endroits différents, sans ça il aurait leur lancer une contre-attaque frontale…. Tant pis, ils étaient doués après tout et il savait que ça en serait pas si facile.

D’abord les torches enflammées ; mhhhh, et bien qu’il y avait du vent autant l’utiliser. Il porta sa main vers les torches : le vent était l’un de ses éléments de prélédiction, sa baguette ne serait pas nécessaire pour cette fois.

« Vandor ! »

Sa protection soufflante vient s’enrouler autour du bras pointé dans la direction des torches, tourbillonnant et filant dans la direction des objets en feu ; le souffle vient frapper de plein fouet la crémation qui, de par l’effet de la vitesse des deux corps en opposition, fut privée d’air, étouffée et s’éteignit. Henri tourna de trois pas sur lui-même en portant sa baguette sur les chaises volantes qui étaient maintenant toutes proches de lui. Les torches éteintes lui passèrent à quelques centimètres, et il prépara sa riposte

« Lacornum Inflamare ! Repulso ! »

Cette fois-ci par contre il avait eu besoin d’utiliser une grande source d’énergie magique, et l’emploi de sa baguette était indispensable : vu qu’ils les prenaient au sérieux il ne ferait pas la demi mesure. Les chaises s’enflammèrent sous l’effet des boules de feu alors que le sort de repulsion les projeta dans la direction de ces adversaires. Par manque de chance, le sort de repulsion n’était pas connu pour sa précision et il doutait qu’il reussise à les toucher ; en revanche cela leur ferait temporairement perdre leur champ de vision. Henri en profita pour effectuer deux pas dans leur direction et se déplaçait vers le centre de l’arène : il n’aurait pas pu dire qui était le plus dangereux des deux et mieux valait ne pas prendre de risques stupides.

Et tant qu’à faire autant enchaîné les petits cadeaux

« Accio baguette ! »

Il avait visé John, car il était plus jeune et que ma foi ce petit truc en avait surpris des plus vieux et roublard. Ca ne servirait cependant sans doute à rien mais ça n’entraînait pas de grosses pertes d’énergie, et quelque chose lui disait qu’il y avait comme un mystère de ce coté-là….
Henri fut très surpris de sentir soudain sa propre baguette vouloir lui échapper des doigts ; une chance qu’il ait eu une poignée ferme.

Invité

Hj désolé j ai pas le temps en ce moment

John ne fut pas surpris que le professeur stoppe son attaque,celui ci éteingna ses deux torches emflammées puis mit le feu aux chaises lançaient apr Siam.Il était de toute évidance beaucoup plus puissant que les deux jeunes réunis avec son expérience,son pouvoir était plus important.Il envoya les deux chaises emflammées dans la direction des deux jeunes mais celles ci passèrent très loin d eux et s écraserent contre le mur derrriere eux.

Pendant ce temps celui ci s était faufilé jusqu au milieu de l estrade de duel,il lança alors un sort assez banal,un simple accio sur la baguette de John.Celui ci n eut aps le temps de réagir que le sortilege s écrasa contre une sorte de champ de force qui entourait le Serdaigle et renvoya le sort sur le professeur.John ne comprit pas ce que faisait ce champ de force mais il chercherait après autant attaquer,il lança un clin d oeil a la prefete pour qu elle attaque en meme temps histoire de donner du fil a retordre a Henri.

Serpensotia et ensuite Waddiwasi

Le serpent apparu puis grace au deuxieme sort de John,il fila a très grande vitesse vers le professeur.Le Serdaigle en profita pour avancer un peu.

La chose la plus importance certainement en duel, n’était autre que l’effet de surprise qui dépendait de la rapidité d’action et du choix de ses attaques. Un adversaire posé, sans présomption quant au résultat final d’un combat ne se laissait jamais distraire. Siam avait apprit cette règle au cours des derniers mois, comprenant l’importance qui en découlait. La possibilité de masquer ses émotions et ses pensées était un facteur crucial en ce qui concerne le quelconque dénouement.

Bien que son regard soit fixé sur le professeur d’enchantement, elle n’en restait pas moins concentrée sur le moindre fait et geste des personnes qui les entouraient. Ainsi, elle remarqua quelques lèvres bouger dans un murmure qui se voulait discret. Apparemment, les élèves présents ne doutaient pas de l’issu du combat. Pour eux, tout était joué d’avance. N’avaient-ils pas comprit? N’avaient-ils pas saisi ce qu’impliquaient leurs pensées? Se laisser aller à croire que tout était déterminé à l’avance équivalait à s’enfoncer un peu plus rapidement dans l’abîme de notre fin à tous. Et elle le savait.

Elle se demandait encore ce qu’elle pouvait bien ficher là. Ce n’était pas son genre de se montrer démonstrative, surtout ces derniers temps. Et elle avait inconsciemment peur de se laisser, elle aussi, aller à croire que le professeur avait gagné dès l’instant même où elle et John avaient levé leur baguette. Ce ne serait pas la fin de ce duel qui changerait sa vie, elle se fichait même du fait de perdre ou non. La jeune fille se sentait déjà bien loin de cette salle, où se regroupaient de nombreux élèves, dont les regards s’étaient posés sur elle et les deux autres protagonistes.

Sa fierté habituelle... elle avait su la dominer, bien qu’à de rares occasions, elle ne l’empêche d’agir comme elle le devrait. Ses yeux n’en reflétaient pas moins sa hargne de vaincre, mais ce n’était son professeur, qui était l’objet de ses pensées. Elle avait depuis longtemps, eu l’envie de laisser s’affaisser ses épaules en un signe d’abandon, mais elle ne pouvait pas. Tout en elle hurlait le contraire, et tant qu’elle ne serait pas apaisée, elle vivrait pour son combat. Et celui-ci n’était pas le sien.

La gryffondor restait droite et impassible. Son regard sombre analysait le moindre mouvement à proximité. Elle se fichait peut-être bien de perdre, mais elle ne pouvait faire semblant de se faire battre. Cela aurait sûrement été indigne de son côté combatif. Elle observa De Hurlevent avoir recours au vent... de toute évidence, il avait un penchant pour cette entité, qu’elle dirait, vivante. Il n’eut aucun mal à se défaire de leurs deux attaques, et lorsqu’il leur renvoya les chaises enflammées, elle ne bougea pas d’un pouce, tout en songeant au professeur de duel qui devait regarder ses pauvres chaises s’écraser contre le mur derrière eux. Peut-être demanderait-il à son camarade du corps professoral de lui en racheter deux autres. En temps normal, elle aurait sûrement souri à cette pensée. En temps normal...

Il tenta ensuite d’amener à lui la baguette de John. Celle-ci ne bougea pas, bien au contraire. Ce fut celle de l’enseignant qui fut prise d’une envie soudaine de lui échapper. Siam comprit ce qui se passait, à l’instant même où une légère pointe de douleur se matérialisa dans son corps. C’était loin de suffire pour la faire grimacer et encore moins pour la faire plier. Elle ne laissa rien paraître, préférant faire semblant d’ignorer le bouclier qui entourait John. Ainsi, le professeur ne pourra peut-être pas saisir qu’elle en était l’auteur. Cependant, elle devait baisser le niveau de puissance magique qu’elle accordait au sort de protection. Le lien qui les unissait était trop épais. Elle en avait prit connaissance lors de ce simple sortilège d’accio. Normalement, il ne fonctionnait que face à des attaques, c'est-à-dire des sortilèges ou enchantements offensifs. S’il avait un effet lors d’un sortilège aussi basique. Cela voulait dire deux choses. D’une, elle y était allée trop fort et de deux, elle avait progressé.

Ce fut cette pensée qui réchauffa le cœur, trop longtemps resté glacé et qui semblait ne battre dans sa poitrine que pour la laisser survivre. Elle entendit les paroles de John, et réagit à son tour. Ce qu’elle avait surtout acquit en s’entraînant, c’était sa vitesse d’action. Levant sa baguette, elle prononça d’une voix implacable le sortilège de répulsion dans la direction de l’enseignant.

Repulso Maxima.

Sans attendre une quelconque réaction, ni de la part de John, ni de celle de De Hurlevent et ni de son sort, elle songea avec détermination au sortilège Magnus Igni qui visait à envoyer en direction de son adversaire de nombreuses boules de feu d’environ dix centimètres. Pour finir, elle n’abaissa pas sa baguette, et d’une voix claire, annonça le sort suivant.

Lumun Solem.

A aucun instant, elle ne cria. Elle laissait simplement la magie découler de ses paroles et de ses mouvements de baguette sans la moindre forme d’animosité ou d’agressivité. Elle jouait sur l’effet de surprise. Ainsi, la lumière éblouissait, et elle songeait vaguement que contre un adversaire de ‘‘bas étage’’, elle aurait été témoin de l’impossibilité de contrecarrer les boules de feu. Cependant, pour accompagner le tout, elle s’était dit que le distraire avec le sortilège de répulsion n’était pas une mauvaise chose.

Invité

Bon, pas de panique.
Jusqu’ici tout allait bien : il avait toujours sa baguette, n’avait dépensé que peu d’énergie et finalement aucun des coups de ses deux challengers ne l’avaient atteint ; on pouvait être un minimum satisfait. D’un autre coté, il n’y avait guère de quoi pavoiser : il se battait contre deux élèves, doués certes, mais seulement depuis quelques minutes et ça aurait été bien le diable qu’il se soit déjà fait maîtriser en si peu de temps ; en outre il n’avait toujours pas repris l’initiative, la chance de du premier coup. Même si on pouvait estimer qu’ils lançaient tous leurs attaques plus ou moins en même temps, Henri devait admettre qu’à deux contre un il avait l’avantage et pouvait mener le jeu ; très dommageable cela : si l’on ne pouvait mener son adversaire alors on se faisait mener par lui. C’était une régle universelle en combat, et avoir la possibilité de décider du coup menant était une chose qu’on devait payer très cher, ou faire faire payer très cher le cas échéant.

Henri décida de miser sur sa rapidité d’exécution, et sur l’originalité de ses attaques ; pour l’instant il n’avait pratiquement utilisé que de la magie élémentaire car il n’avait pas l’intention de trop leur en montrer, pas avant l’instant décisif en tout cas. A deux contre un il eut été préférable de s’éloigner d’eux, afin de pouvoir envisager leurs attaques avec plus de recul et de temps de réaction ; mais il avait choisi autre chose, et lentement il se rapprochait de ces adversaires : chose étrange pour un sorcier, il avait développé pas mal de petits quelque chose avec le combat au corps à corps ; cela les surprendrait sans doute, et dans le pire des cas, quand il serait à coté d’eux, ils n’auraient plus leur avantage du nombre. Henri espérait secrétement qu’ils n’aient pas le temps de se coordonner et que leur double présence annule, dans un cercle restreint, leurs possibilités en tant qu’équipe. Jusqu’ici ils n’avaient toujours pas décider d’une action commune, du moins pas de ce qu’il en jugeait ; à lui de ne pas leur laisser le temps d’y remédier.

Une fois de plus ils lui avaient lancé une contre-attaque pratiquement en même temps, mais cette fois avec un éventail de possibilité plus importante. John venait d’innover de manière très intéressante : invoquant un serpent, ce qui était inhabituel pour un serdaigle, il venait de projeter celui-ci sur Henri en utilisant le « Waddiwasi » ; pas idiot du tout, la bête bougeait elle aussi et s’occuperait de l’attaquer sans en référer à son invocateur. Dans le même instant, Siam avait décidé de hausser le niveau, en utilisant un triple enchantement. Cette jeune fille était très calme, concentrée évidemment mais si l’on y prenait garde elle semblait presque indifférente au combat, et l’on aurait alors commis une grave erreur.

« Repulso maxima »

John et Henri s’était chacun rapproché de quelques pas, ce qui pouvait mettre le serdaigle dans une position plus offensive mais qui en même temps l’exposait davantage aux coups du professeur ; cela serait peut-être un pari gagnant pour l’un des deux. Henri envisagea le sortilège de repulsion, de même que le serpent qui filait vers lui : il aurait sans doute pu répondre aux deux sorts mais ça le laisserait exposer et quelque chose lui disait que la gryffondor ne se contenterait pas de ce simple enchantement. Il choisit donc d’encaisser le repulso alors qu’il se charger du serpent.

« Avifors ! »

Le serpent devint un oiseau, lequel commença à battre frénétiquement des ailes ce qui lui permit, consécutivement à la vitesse du sort, de s’envoler bien haut dans la salle. Henri reçut ensuite le sort de Siam, qui le projeta en arrière, mais dans le même temps il la vit utiliser un sortilège informulé et des boules de feu fusèrent de sa baguette pour venir l’atteindre. Il atterrit en retrait, ce qui lui offrit quelques secondes supplémentaires qu’il utilisa pour garder son équilibre suite à l’atterrissage. Le troisième sortilège vibra soudain dans l’air alors que Siam le formulait inflexiblement

« Lumun solem »

Henri avait, par chance, déjà point sa baguette sur les boules de feu ; le flash vint l’aveugler dans l’instant : il serait aveugle pendant quelques secondes ce qui ne lui permettrait plus d’envisager les mouvements des deux élèves. Tant pis pour la contre-attaque, il fallait s’occuper de plus pressé. Le feu…., et bien soit, on resterait classique.

« Bullitor ! »

Il ne vit pas l’effet de son sortilège, étant toujours aveugle, en revanche il prit le pari qu’il avait réussi à arrêter le feu ; la vision brouillée il pointa sa baguette vers l’endroit où il pensait que se tenait le serdaigle, car quelque chose l’intriguait avec ce dernier, et entonna son sortilège

« Hyado ! »

Enfin, il put ouvrir les yeux et retrouver sa vision, ce qu’il fit et Henri fut soudain très surpris de voir un glaçon de belle taille foncer sur lui ; d’un geste peu élégant il l’évita en bondissant, comprenant ce qui venait de se passer : son propre sortilège lui avait été renvoyé…..
Que diable était-ce que ce bazar ?

Invité

John continuait de s’avancer vers le professeur, tout en gardant sa baguette a la main prêt a réagir au cas ou le professeur redevenait dangereux mais la il allait être occupé car les deux élèves venaient d attaquer presque simultanément ce qui augmenter le danger pour Henri.Il en fut conscient car il se dépêcha de maîtriser le serpent envoyé par le Serdaigle pour le métamorphoser en oiseau puis il prit en considération les sortilèges lancés par la Gryffondor.

Le Serdaigle ne put qu être impressionné par les pouvoirs du professeurs ainsi que ses excellents réflexes,celui-ci réussit avant d être totalement ébloui par le sortilège de Siam, a maîtriser les boules de feu que celle-ci avait aussi lancé peu avant.Toujours aveuglé,il lança un autre sortilège sur le Serdaigle,un immense glaçon apparu et fonça dans sa direction.John fut surpris que le professeur réussisse a lancer un autre sortilège et en plus d une telle puissance.Il se prépara a lancer le charme du bouclier afin d’être protéger de l attaque mais il avait le sentiment que se ne serait pas assez pour arrêter le sort.

Protego

Au moment de l’impact,il fut stupéfait de revoir le glaçon faire demi tour et repartir en direction de son lanceur,John en était presque sur,son sortilège n y était pour rien dans le fait qu il ne fut pas toucher.Il détourna son attention du professeur,pour regarder Siam et il lui lança un regard surpris mais celle-ci ne paraissait pas impressionnée que le sortilège soit détournée ou alors c était l imagination du Serdaigle.Il ne voulait pas lancer un autre sortilège au professeur,il avait déjà beaucoup a faire et espérer que cela n’allait pas lui jouer des torts.Il était tant de mettre en place une stratégie entre les deux préfets.

Siam, continue à lancer des sortilèges ! Moi j’avance ainsi j aurais une meilleure précision.

hj: post pourri, je m’en excuse à l’avance.

Dj:

Le regard de Siam restait fixe sur le professeur mais quelqu’un qui la connaissait bien aurait pu voir ses pupilles absorber le moindre détail de la situation l’entourant. John s’approchait, tout comme le professeur. Celui-ci dévia ou encaissa les sorts lancés par les deux préfets. Avant d’être aveuglé momentanément, il eut le temps de lancer un propre sortilège, en direction du serdaigle. Siam savait ce qui allait se passer, et elle n’esquissa même pas une grimace quand elle sentit une fine pointe de magie s’échapper d’elle-même, pour renforcer le bouclier. A vrai dire, ce bouclier, l’obligeait à faire face à la fois, aux niveaux de défense et d’attaque. Cela ne la dérangeait pas, et puis pour le moment, elle pouvait se le permettre. Peut-être que John n’était pas du genre à apprécier sa manœuvre, et c’était d’une part pour cela qu’elle ne lui avait rien dit. D’ailleurs, il y avait aussi l’effet de surprise, et puis, c’était l’une de ses cartes secrètes, sans oublier le fait qu’elle ne pouvait s’en empêcher.

Elle tourna la tête à peine une seconde vers John quand il lui dit ce qu’ils devraient faire, puis reporta de nouveau son attention sur le prof. Son regard avait suffit à montrer son accord. Elle s’occuperait de l’arrière, pendant qu’il prenait les devants. Siam n’aimait pas cette perspective de voir un autre qu’elle devant le danger, mais, elle était rassurée par le sortilège qu’elle lui avait lancé.
La gryffondor leva sa baguette, réfléchissant rapidement. Elle ne devait pas en faire trop, ce combat là n’avait pas réellement d’importance à ses yeux. Qu’elle perde ou gagne, ce n’était pas vraiment grave. Mais, elle ne pouvait laisser tomber dès maintenant, ça, c’était hors de question. Elle enchaîna donc un maléfice de jambencoton puis un incarcerem à voix haute.
Mais, ces sorts restaient basiques, et pas véritablement utile pour John. Elle ferma les yeux un vague instant, et deux secondes plus tard, sans qu’elle n’ait eu la possibilité de voir le résultat de ses lancés, elle attirait à elle la vitre de la fenêtre derrière le professeur. Les éclats de verre après l’implosion de la vitre filèrent donc à toute vitesse vers elle, devant pourtant traverser De Hurlevent qui faisait obstacle à leur passage.

Hj2:
- Il y a un jambencoton plus un incarcerem, prononcés à voix haute.
- Elle ferme les yeux deux secondes, ne voyant donc pas ce qui se passe, pour se concentrer et faire exploser la fenêtre derrière Henri.
- Les morceaux filent vers elle, mais doivent traverser Henri pour cela.

Invité

Hj : je crois que j'aurais jamais écrit un truc aussi merdique ; venez écourter ma honte s'il-vous-plait

Henri vit John réagir de manière parfaitement sensé : un charme de bouclier, on avait beau dire mais c'était très souvent la meilleure chose à faire malgrés tout ; simple mais efficace, et rapide aussi. Par contre, ce sortilège là n'était absolument pas sensé lui renvoyer avec une telle puissance sa propre magie. Henri envisagea donc d'un oeil torve la glace qui lui fonçait dessus, glace qu'il avait pourtant invoqué sur le serdaigle.

Pas normal du tout ça, on aurait dit un charme de réflexion ; il n'aimait pas ça les charmes de rélfexion, que ce soit pour les utiliser ou les combattre. Le visage de John relfétait également une certaine perplexité ce qui tentait à prouver qu'il n'était pas l'auteur de cela ; le professeur des sortilèges ne croyait en effet pas que le jeune garçon soit capable de lui jouer la comédie en plein duel, surtout qu'ils ne se ménageaient pas. La jeune fille en revanche, la préfète Siam Kherin, conversait un impassible masque d'indifférence profonde : elle..., oui une sixième année aurait pu faire cela ; Henri voyait bien la jeune fille capable de lancer uen telle protection sur son camarade. Malgrés ses talents, John était de niveau légèrement inférieur, et il avait remarquer que les femmes se "sacrifiait" parfois un peu pour leur compagnon. C'était tout de même impressionnant si elle avait effectivement réussi à tisser un tel bouclier autour du serdaigle. Et dans ce cas précis, ça l'ennuyait passablement : intule de tenter de alncer des sorts importants sur John, le bouclier était uen sacrée protection ; et à moins d'y aller comme un furieux il ne viderait pas si facilement les froces de al gryffondor.

Tandis que d'un geste il se débarasse du glaçon à l'aide du sort informulé "Igni !", il vit le préfet de serdaigle s'approchait également de lui ; il semblait également qu'il se soit concerté avec Siam pour que celle-lui 'attaqua tandis qu'il s'avançait aisni à "couvert".
Parfait, très bonen initaitive mes enfants
Henri était plutôt fier de deux élèves : leur tactique était une excellente idée, il était en effet tout à fait perienent, quand on était deux, que l'un couvra l'autre afin que celui s'approcha plus près et assène sa puissance à l'instant voulue ; et si en plus ils étaient de niveaux différents, mieux valait que le moins forts de deux s'avança en premier, avant d'avoir la meilleure opportunité.

Mais cela satisfait pleinement Henri : il ne pouvait que difficilement s'attaquer à John, et la gryffondor ne le laisserait pas s'approcher facilement. Si ces sorts rebondissaient sur le serdaigle, il n'en serait rien d s attaques physiques et si en plus celui-ci se rappochait de lui.... ; restait à savoir si il serait l'un et l'autre assez rapide.

"Protego !"

Ce qui marche pour l'un marche pour l'autre et Henri avait tout confiance en son bouclier, surtout qu'il y mettait la puissance ; Siam n'allait surement pas l'épargner poru que John puisse s'approcher ou il avait besoin de rester cocnentré. Le sortilège fut bloqué, en revanche la fênetre derrière lui explosa et il put voir des mroceaux de verres se projetaient sur lui. Merde, elle ne plaisantait pas ! Cette fois-ci il ne s'en tireraient pas avec des demi-mesures

"Vandor !"

Il mit une forte puissance magique dans son sort, assez pour écarter les bris tranchants de son corps : quelques uns le survolèrent pour partir près de ces adversaires. John continuait à s'approcher, il n'atait plus très loin maintenant. Et bie, il était temsp de se ménager sa propre fenêitre d'pportunité.

Il visa Siam et prononça, calmement :

"Raiden !"

Invité

Siam avait compris ce que le Serdaigle venait de lui dire,lui allait tenter de s’approcher au plus près du professeur ainsi une puissance magique inférieure a la préfete car celle-ci étant plus âgée que lui et elle harcèlerait leur adversaire de sorts afin qu’il soit assez occupé.John avançait toujours,il avait dépassé la moitié de l’estrade et il croisa le regard du professeur avant que le glaçon ne soit sur lui.Il venait de comprendre ou résidait la protection magique qui immunisait le jeune Serdaigle et il prit une nouvelle tactique en lançant des sorts sur Siam laissant ainsi John s’approchait sans mal.

John s’activa quand même,il pensait que la jeune Gryffondor même très douée ne résistera pas très longtemps aux maléfices lançaient par le professeur de sortilèges.Siam avait fait exploser la fenêtre derrière Henri,celui-ci s était protégé par le charme du bouclier et John n’eut pas a le faire car la protection le fit a sa place,ce qui avait cesser d’étonner le Serdaigle,il avait compris que sa coéquipière y était sûrement pour quelque chose,il lui devait donc une fière chandelle et il devait pour cela poursuivre son avancée laissant a contrecoeur sa partenaire sous les sortilèges adverses.

Il devait dissimuler sa position au professeur,il pouvait utiliser le sortilège que Siam s’était servi tout a l’heure en éblouissant le professeur mais il choisit une autre tactique.Il visa le professeur,il n était plus qu’à quinze mètres de lui et il lui fallait s’approcher encore.

Spero Patronum murmura-t-il.

Un aigle Royal sortit de sa baguette et s’éleva dans les airs, il le reconnut immédiatement, c’était la réplique de son animal de compagnie, Mika.Il dirigea sa baguette vers le professeur et l’aigle constituée de fumée blanchâtre fonça en vers Henri en passant au travers de tout obstacles se présentant a lui masquant ainsi l’avancée du préfet, celui-ci visa son ennemi du jour a moins de dix mètres de lui.

Incarcerem dit il a voix basse

Après avoir lancé le sort, il se mit à courir en direction de son adversaire, baguette à la main, prêt à attaquer si le professeur parvenait à s’en sortir.

Siam vit, comme au ralenti, les morceaux de verre s’élancer dans sa direction. Ils n’eurent, cependant pas le temps d’atteindre le corps du professeur, une bourrasque de vent s’était levée, pour les en empêcher. La gryffondor n’émit pas un geste d’étonnement, ça aurait été le contraire qui l’aurait certainement surprise. Cependant, cela confirma ses soupçons. Le professeur avait un faible pour la magie de l’air... peut-être un ancien joueur de quidditch, qui sait?
Laissant ses divagations sportives sur le coté, elle fit un léger geste de la baguette pour déplacer les restes de vitres qu’il avait repoussé et qui se trouvaient sur sa trajectoire.

Elle observa ensuite les yeux de l’homme.

Réflexion...

Elle jeta un rapide coup d’œil à John.

Et soupira.

Ils avaient comprit.

Tant pis, l’effet de surprise avait déjà marché, c’était au moins ça. Pour ce qui était de garder sa magie secrète, c’était bien foutu, en effet, mais comme elle ne risquait pas de se battre avec eux ou contre eux, dans le futur, normalement. Elle n’avait pas à s’en faire. Pour le moment, la tactique était bonne. John s’approchait, protégé par le bouclier de Siam, qui ‘‘divertissait’’ leur adversaire. Il pouvait attaquer le serdaigle, et bien sur épuiser la jeune fille, mais comme c’était elle qui se trouvait à l’arrière, cela ne lui apporterait rien.
Cependant, il mit rapidement une autre stratégie au point... tant qu’à utiliser sa magie, mieux valait ne pas le faire inutilement, et viser directement l’arrière. Ainsi le front ne serait plus protégé. Siam serra légèrement sa baguette quand elle le vit, la viser. Oui... c’était à son tour maintenant d’être attaquée. Il avait choisit d’investir dans un sortilège rapide. En effet, à peine avait-il prononcé la formule, qu’un vif éclair fonça vers Siam.

Un éclair... elle avait déjà fait face à cela, mais ne s’en était pas vraiment sorti. Quelques mois auparavant, elle avait été électrocutée dans le dos, et n’avait pas pu réagir à temps. Rien qu’à y penser, le souvenir de la douleur qu’elle avait ressenti afflua dans ses membres. Une lueur de frustration traversa son regard et elle se crispa.
Juste avant de n’être touchée, la jeune fille plongea sur le coté, pour ensuite, se redresser vivement. Certaines personnes oubliaient qu’un combat ne se contentait pas de faire appel à la magie, loin de là... pour tenir la distance, il fallait également avoir une bonne forme physique.
Derrière elle, à présent... il y avait un joli trou dans le mur, pas très profond certes, mais bordé d’un halo sombre, qui n’était pas pour rassurer les personnes présentes dans la pièce.

Tandis qu’elle se redressait, elle entendit distinctement le sortilège que John venait de lancer, et elle tourna vivement la tête vers lui. Un patronus... elle ressentit un picotement au cœur lorsqu’elle vit la fumée argentée s’échapper du bout de la baguette de son partenaire. Un patronus aigle...

*Serdaigle jusqu’aux bout des ongles* songea-t-elle, une pointe d’ironie intérieur.

Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas essayé de jeter ce sortilège. Elle savait qu’inconsciemment, elle avait peur de le faire, elle n’osait pas s’avouer en face, que ce n’était pas la magie qui lui ferait défaut... Elle eut une pensée pour son patronus loup. Dans le passé, elle aimait à croire qu’elle pouvait faire appel à lui quand elle se sentait seule, et cela lui arrivait parfois de rester de longs moments avec lu à ses cotés, en silence, simplement réconfortée par la présence de l’animal. A présent, quand serait-il si elle tentait le coup? Il ne fallait pas se leurrer, elle avait peu de chance d’y parvenir... elle sentit son cœur lui faire mal à nouveau.

*C’est pas le moment.*

Oui, ce n’était pas le moment. Plus tard, les pensées parasites, là, il fallait terminer ce duel. Elle en avait déjà assez. A force de n’être pas réellement intéressée, son esprit finissait par divaguer, et tous ces souvenirs l’agaçaient. Elle n’avait pas envie de réfléchir pour le moment.
Elle vit du coin de l’œil, le serdaigle s’approcher, vaguement camouflé par son patronus. Celui-ci avait beau être compacte, il n’était tout de même pas assez large pour soustraire son maître à la vue du professeur. Le garçon jeta ensuite le sortilège de ligotage, et elle leva la baguette our accompagner son action.

Impedimenta.

Une fois le sortilège d’entrave lancé en direction du professeur, elle leva la baguette vers le plafond, juste au dessus de lui, et prononça distinctement sa deuxième formule.

Destructum

Elle avait dans l’idée de décrocher ‘‘quelques morceaux’’ du plafond et les laisser tomber. ( :D)

Invité

(Hj : Riri, joueur de Quidditch ? toi tu n’as pas lu ma fiche )

John continuait à s’avancer résolument vers lui, concentré et efficace : guère plus de 10 m-tres les séparaient désormais. Encore heureux que maintenant qu’il cessait de l’attaquer pour se concentrer sur son soutien, John ait réussi à s’approcher autant. Allez mon petit, avance encore, viens faire quelques pas de plus…
Mais le serdaigle n’était pas un idiot, ce qui aurait été un comble pour lui ; visiblement il avait lui aussi compris que son habileté à repousser les sortilèges d’attaqsue du professeur n’étaient que le fait de ses propres capacités. Plutôt que de disserter à l’infini là-dessus il avait pris le pari d’en faire son atout et de jouer cette carte à fond : si il s’agissait bien de ce dont Henri croyait il pouvait en effet s’avancer sans crainte vers lui. Cela dit, John semblait vouloir prendre quelques petites précautions supplémentaires : prudent celui-là.

Henri fut surpris de le voir invoquer un patronus ; ce n’était pas en soi l’exploit qui le génait, car après tout il avait compris qu’avec ces deux-là il avait affaire à du haut niveau, mais plutot la tactique employée : il n’avait rien d’un détraqueur et le patronus le traverserait sans lui causer le moindre dommage, d’autant qu’il n’était pas spécialement effrayant.

Les attaques suivantes en revanche étaient beaucoup plus sérieuses : ses adversaires lui lancèrent conjointement un sort d’entrave agrémenté d’un charme de blocage. John commençait à être très proche de lui (distance : 5 mètres), et ça serait difficile d’éviter son « incarcerem » ; plus loin, il avait Siam se jetait à terre pour éviter l’éclair qu’il lui avait envoyé : si il réussisait à l’occuper un tout petit peu et à amener John en confiance près de lui alors….

Henri ramena son bras droit contre son corps, plaçant sa baguette vertiaclement contre ses cotes et recevant le sortilège du serdaigle alors qu’il tendait son bras gauche en paume ouverte vers Siam. Le sortilège le frappa, et des cordes magiques vinrent le ligoter et l’immobliser cependant il parvint à conserver son équilibre.
Désormais dans un état de faiblesse, il gageait que le serdaigle s’enhardirait à s’approcher encore davantage, mais avant il fallait qu’il occuppe un peu la gryffondor. Il concentra son énergie dans sa main gauche, et se prépara à lui lancer un sort élémenaire : ses capacité en magie de l’air lui permettait l’utilisation de quelques sorts simples sans sa baguette.

Manque de chance, l’ « impedimenta » de Siam le frappa avant qu’il ne prononça son incantation : le sortilège d’entrave commença à agir et à bloquer son flux d’énergie. Merde, impossible de contre-attaquer pour l’instant. Et en plus, John se rapprochait….

Pour ne rien arranger, Siam venait de fixer le plafond avec une certaien idée en tête. D’un nouveau sort elle commença à endommager l’immbolier et à faire tomber quelques pierres sur Henri et John….

(hj : « destructum » ne permet pas de faire cela Siam, utilise peut-être autre chose comme « bombarda » )

Invité

John ne put s'empecher d'etre admiratif en voyant la façon par laquelle Siam avait évité de se faire toucher par l'éclait lançé par le professeur et celle ci continuait a envoyer des sorts afin de neutraliser le professeur et donc leur permettre de gagner leur duel.

Le professeur adopta ensuite une tactique étrange,il se laissa toucher par le sortilege du Serdaigle,les cordes vinrent s enrouler autour de lui mais lui laissant une main libre grace a laquelle il pouvait lancer des sortilèges de base mais redoutables quand meme.

Le sort d entrave lançait par Siam le toucha aussi,reduisant ainsi sa capacité a lancer des maléfices au fur et a mesure que le serdaigle attendait,il était a moins de quatre mètres du professeur.Il aurait pu lui sauter dessus si il voulait mais il lui semblait étrange que le professeur se laisse prendre par les cordes aussi facilement.

la Gryffondor lança alros un sortilege en direction du plafond,de nombreuses pierres ainsi que des poutres d assez grandes tailles furent touchés,elles menaçaient de tomber sur lui et le professeur.John visa de nouveau le profeseur avec une idée en tete,le faire tomber mais il n avait plus le temps de se concentrer assez,il devait intervenir

professeur,attentiooooooon

Son instinct l emporta sur la prudence,John ne pouvait laisser Henri sans protection meme si il était son ennemi d aujourd hui,il se rua sur lui et le fit tomber a la renverse.Il se mit au dessus de Henri,de façon a encaisser le choc.Le sortilège de Siam le protégerait mais il préférait quand meme lançé le charme du bouclier afin d etre sur que les deux en sortiraient indemme

Protego

Les pierres ainsi que les poutres se décrocherent et n'étaient qu a quelques metres des deux hommes.

Hj: ‘‘destructum’’ parce que je me fis au nom. Bombarda, c’est plus pour des bombes, et Siam n’est quand même pas une terroriste xD

Dj:
Siam vit avec, une légère surprise, qu’elle dissimula, le professeur accuser les deux sortilèges d’affilés. John n’était plus très loin, et arrivé à deux ou trois mètres de l’homme, le rayon de la baguette de Siam atteignit le plafond. La poussière fut la première à se décrocher, puis vint quelques morceaux de plus en plus gros. Elle n’y avait pas mit non plus sa pleine puissance, mais le trou ferait bien un ou deux mètres. Elle eut une vague pensée pour son professeur de duel, qui devait regarder les dégâts occasionnés sur sa salle d’un mauvais œil.

*Qu’est-ce...*

Aucuns des deux ne leva sa baguette, et elle comprit trop tard ce qu’allait faire John.

*Merde*

Elle leva la baguette, mais n’eut pas le temps d’agir que déjà les morceaux du toit s’affaissaient sur les deux hommes. Elle serra les dents lorsqu’elle sentit sa magie s’échapper d’elle-même, tandis qu’elle allait renforcer le bouclier qui entourait le serdaigle. Heureusement d’ailleurs, que celui-ci avait eu l’idée de s’en servir.
Elle resta droite, la mince impassible attendant que la fumée se pose sur le sol. Pour le moment, on ne voyait pas grand-chose sur l’estrade. Après un soupir, elle baissa la tête puis, la releva et redressa sa baguette.
Un mince filet d’air s’échappa de sa baguette et commença son travail, qui consistait à disperser la brume blanchâtre qui s’était répandue.
Tandis que peu à peu, la fumée s’estompait, elle fit quelques pas, tout en restant à une distance raisonnable et prudente. Elle finit par discerner les deux hommes entourés des morceaux du plafond qui avaient glissé sur le bouclier ou rebondit plus loin.

Ben là, au moins, c’est fini... murmura-t-elle.

Oui, au moins, le duel était terminé à présent. Elle s’en voulait un peu de ce qui arrivait aux deux garçons, et elle espérait les voir sans égratignures. Son regard restait fixé sur la masse légèrement difforme qu’elle commençait à distinguer à travers la masse de poussière.

Invité

[Hj : Fini ? Noel c’est dans 4 mois ]

La fumée se dissipait lentement, comme si elle prenait plaisir à entretenir le suspens. Allai-t-on découvrirait les corps écrasés des deux jeunes hommes ? Ce simple duel deviendrait-il célèbre pour son caractère meurtrier ? Ou bien serait-on agréablement surpris.
L’attente finit par se terminer, et l’on peut distinguer le lieu de l’effondrement ; on vit d’abord de la poussière, une poussière épaisse qui entourait deux ombres. Les ombres se tenaient debout et finirent par prendre els traits du professeur De Hurlevent et du préfet de Serdaigle Sheppard. Tous les deux étaient saufs et n’avaient rien, si l’on exceptait une certaine saleté et quelques coups de blessures qui n’avaient pas sans doute que peu de relations avec l’effondrement du plafond.

En apparence rien n’avait guère changé, si ce n’est une certaine attitude menaçante et la colère qui s’épanchait du coté des combattants. Le professeur de sortilège n’avait plus sa baguette, mais tenait à la place une courte épée, guère plus grande d’un long poignard, qui pointait sur la peau de la gorge du serdaigle combattant. Leurs deux regards étaient très graves.

******

Quelques minutes auparavant…..

Henri vit le Serdaigle se précipitait vers lui, oubliant toute prudence élémentaire et indispensable dans un combat ; de toute évidence il craignait pour la vie du professeur et ne songeait qu’à venir en aide à celui-ci. Très louable intention, et ce dernier ne put qu’en éprouver uen certaine reconnaissance. Les lourdes pierres s’étaient détachées du plafond et tombaient maintenant sur lui alors que son bras droit était attaché contre son torse, sa baguette toujours verticale. Il aurait été faux de dire qu’Henri avait prévu tout ça, ou qu’il avait un plan où cas un tel scénario se produirait ; à vrai il ne pensait pas du tout que le duel atteindrait de telles proportions, et là….

John le renversa sous le choc de son élan, ils se retrouvèrent tous les deux à terre alors que le préfet de serdaigle lançait un puissant sortilège de protection. « Protego »…., pas bête, mais face à des blocs de deux cents livres cela risquait d’être insuffisant. Henri décida d’utiliser son plan, qu’il réservait initialement pour son élève mais tant pis : mieux valait se découvrir que mourir. D’une intonation, il transforma sa baguette en une courte épée et de part la position verticale, il put trancher ses liens rapidement ; se relevant d’un bond, il tendit sa main gauche, déjà en position pour Siam suivant le plan de départ, et invoqua le sortilège qu’il avait travaillé quelques jours plus tôt dans la forêt. Sans baguette, la puissance serait bien moins importante mais il n’avait pas besoin de mettre le feu au château.

« Auromanerus ! »

Le cylindre de feu en fusion s’échappa de sa main et vint frapper les pierres qui n’était plus qu’à moins de dix centimètres de sa tête, les réduisant en une épaisse poussière qui les recouvra, lui et John. La visibilité serait moindre pour eux pendant les prochaines secondes, et Henri remarqua que le serdaigle se relevait, heureux d’avoir réussi à les sauver ; il s’approcha de lui, et lui porta sa lame à la gorge.

*****

John serait sans doute furieux qu’il lui ait joué un pareil tour de cochon, d’autant qu’il lui avait indéniablement aidé : son bouclier avait offert de précieuses secondes à Henri. Mais l’on était dans un duel, et un professeur se devait de faire apprendre certaines choses à ses élèves.

« Bien, bien ; excellente démonstration Miss Kherin : évitez cependant de trop casser le mobilier. Monsieur Sheppard, je vous remercie de m’avoir porté secours ; sachez cependant que vous vous êtes ainsi mis en danger et que, duellement perdant, vous avez agi stupidement. Je devrais sans doute vous éjecter….. »

Il lui fit un clin d’œil.

« Allons, ne faites pas cette tête : je ne suis pas serpentard à ce point. Vous allez reprendre votre place à coté de Miss Kherin, à condition que celle-ci ôte la protection qui vous entoure : je ne peux pas vous laisser repartir sans un handicap, vous comprenez »

Ce n’était vraiment pas gentil, il le savait pertinemment, mais pour la suite du duel il les voulait qu’ils soient un peu sous tension : Henri était sur que ces deux-là allaient l’épater, pour peu qu’ils soient poussés dans leur retranchement. Désormais seul de son coté, faisant face au serdaigle et la gryffondor, il reprit

« J’espère que ce duel vous aura montré tout l’intérêt de la métamorphose…. » il eut un mouvement des doigts, et retransforma son épée en baguette « comme j’ai envie de vous faire honneur je vais passer à la vitesse supérieure »

Il concentra de nouveau sa magie, mais cette fois il ne prononça aucune parole : plusieurs boules de feu d’intensité moyenne, provenant d’un sortilège « Igni » de faible puissance, foncèrent sur les deux combattants ; Henri avait diminuer sa force magique pour en privilégier le nombre de lancement de sorts. Au totale, c’était une dizaine de boules de feu pour chacun des sorciers qu’il avait invoquées.

Invité

John était au dessus du professeur après l’avoir fait basculé au sol,il mit sa baguette verticlament et lança le charme du bouclier en voyant les pierres commençaient a se détacher du plafond.Il savait pertinnement que le professeur était attaché sauf sa main gauche dénouée de baguette était libre donc il ne pouvait normalement pas se défendre mais alors que les premieres roches s’écrasaient contre les deux hommes,Henri métamorphosa sa baguette en une épée et trancha ses liens sous les yeux ébahis du Serdaigle qui ne pouvait rien faire sous peine de rompre le bouclier.Le professeur n’en resta pas la,de sa main valide sortit un cylindre enflammé qui brisa les dernieres pierres qui allèrent les toucher,les réduisant en poussière.

Pendant que John se relevait,rassuré qu il ait pu éviter au professeur de finir écrabouiller,il croyait ce duel terminait mais en fait non alors qu il enlevait la poussière qui s était déposé sur ses vetements,il sentit une lame se mettre en travers de sa gorge.Il se demanda tout d’abord qui aurait pu faire une chose pareille puis il se rappela que seule une personne dans cette salle portait une arme blanche,Henri de Hurlevent.Il sentit la colère,la rage montait en lui,comment un professeur pouvait faire un acte pareil,John venait de l’aider a ne pas finir écraser et celui-ci le prenait en traitre.Il lui lança noir mélé a un profond dégout pourtant il avait toujours bien aimé le professeur de sortilège mais après un coup pareil.

Il n’écouta pas les paroles de Henri quand celui-ci retira la lame de sa gorge,il était furax,il marcha droit vers Siam et se plaça a coté sans dire un mot,il l’entendit dire juste que la jeune Gryffondor devait lui retirer le bouclier qu’elle avait crée pour protéger le Serdaigle our selon lui,lui mettre un handicap.John n’avait qu’une hate que le duel reprenne,il voulait montrer au professeur que ce n’était pas en trichant qu’on gagnait un duel.Henri ne tarda pas a attaquer,sans meme ouvrir la bouche une dizaine de boules de feu se précipitèrent a grande vitesse vers lui et il vit qu il en était de meme pour la jeune sorcière a coté de lui.Il se concentra et murmura tranquillement

Aguamenti

Aussitôt un grand jet d’eau sortit de sa baguette magique,il le dirigea vers les boules de feu qui n’étaient aps très grosses,celles-ci se refroidissent immédiatement au contact de l eau,John en profita pour viser le professeur mais il savait très bien que cela ne serais pas suffisant pour l’avoir.Il pointa sa baguette vers la table la plus proche de l’estrade et s’exprima

Dragonifors.

Ce sort n’était pas de son année mais il n’était pas un Serdaigle pour rien,la table se transforma en un grand et puissant Maygar a pointes qui se mit a hurler un terrible cri perçant dans la salle.

Hj: Mouais, faudrait pas non plus pousser mémé dans les orties, hein! La métamorphose d’aussi grand être vivant commence effectivement en cinquième année (enfin je m’en doute) mais les dragons... c’est du ressort de... même plus que les septièmes années! Enfin bon, passons.

Dj:

La jeune fille suivit toute la scène, droite et froide jusqu’au bout des ongles. Elle avait gardé un périmètre de sécurité, mais s’était tout de même avancé dans leur direction. Et pourquoi? Par peur de ce qui aurait pu leur arriver? N’avait-elle pas confiance en sa magie pour prévoir une certaine possibilité d’action? Le bouclier était là. Elle avait senti sa magie s’échapper d’elle-même, alors pourquoi s’était-elle avancée?
Siam serra les dents devant sa faiblesse. Elle n’était pas encore parvenue à soustraire l’humanité qui habitait ses gestes. Son regard se fit davantage plus sombre, et elle observa d’un œil neutre la lame du professeur sous le menton de l’élève.

*Génial, et en plus, il serait mort dans un véritable combat!*

Sa main se crispa sur sa baguette. Elle n’aimait pas être aux cotés de quelqu’un. Elle n’aimait pas devoir suivre les mouvements de ses alliés, de peur, certainement, de ne pas être capable de leur venir en aide assez rapidement. La gryffondor préférait sans nuls doutes, faire face à des ennemis potentiels sans l’aide de personne. D’ailleurs, si elle n’était pas capable de se battre seule, elle ne serait bonne à rien, et il y avait trop de choses en jeu pour qu’il en soit ainsi.
Elle senti John se rapprocher et s’arrêter à ses cotés.
Les paroles de l’enseignement la laissèrent sans voix, et un éclair de frustration traversa ses yeux, qui s’étaient fixés sur De Hurlevent. A contre cœur, et surtout avec lenteur, elle fit un vague geste de sa baguette. Presque aussitôt, elle sentit un regain d’énergie parcourir son corps, et elle laissa échapper un soupir.
Son sixième sens la poussa à jeter un coup d’œil en direction du serdaigle, et ce qu’elle vit la fit tressaillir.

*Oooh, c’est pas bon ça, pas bon du tout.*

L’élève ne semblait pas vraiment apprécié ce qui s’était passé. Et qui ne l’aurait pas comprit? Mais ses mouvements, sa posture, l’aura qu’il dégageait (sans sens magique bien entendu), tout en lui reflétait la volonté de vaincre. Elle tourna la tête vers le professeur, puis fixa le sol un quart de seconde, légèrement perdue, laissant entrevoir une certaine expression sur son visage qu’elle tentait pourtant de convertir en celui d’une poupée vide de sentiments.
Elle sentit la chaleur des boules de feu, plus qu’elle ne les vit au départ. Sa main se serra davantage encore, et elle leva le bras dans leur direction, tandis que les flammes de ses souvenirs semblaient se mouvoir autour d’elle. Son cœur se mit à battre plus fort, et ce fut son esprit qui lança le sort, sa voix ayant momentanément disparue.

Repulso.

*Pense à autre chose. Rien de tout cela pendant un combat.*

Ses yeux, légèrement perdus dans le vide, brillèrent à nouveau et elle observa les deux hommes se faire plus ou moins face. John métamorphosa une table en un dragon. Elle resta une seconde interdite devant ce spectacle. Elle, qui était plutôt nulle en métamorphose, ne pouvait imaginer un jour pouvoir faire pareille chose. Elle reprit ses esprits, et avança d’un pas ou deux, tout en lançant un sortilège. Celui-ci avait pour effet de lier le poids d’un des gros blocs de plafond qui s’était décroché à la main du prof qui tenait la baguette pour l’alourdir de plusieurs kilos. Comme chacun le sait, on ne peut pas ensorceler une baguette, étant donné qu’elles sont protégées par les plus grands sortilèges, mais Siam pouvait toujours s’en prendre à la main qui lançait les sorts.

Invité

[hj :On commence à tourner un peu en rond là, alors disons qu’on s’achemine vers la fin ok ? John, t’abuses avec le dragon c’est du niveau IV ]

Un jet de flammèches s’épanche dans la salle des duels, qui commençait à prendre de plus en plus l’allure d’un véritable champ de bataille. Henri soupira intérieurement, en songeant aux réprimandes dont son collègues de duels allaient l’abreuver dès qu’il le rencontrerait : tous ces dégâts….., il allait hurler comme jamais.
Il prenait les choses avec philosophie : les deux élèves étaient mortellement sérieux, et c’était normal car ils semblaient décider à montrer leur puissance ; Henri aurait peut-être du leur dire qu’en ce qui le concernait il n’avait pas grand-chose lui prouver pour qu’il les estime, mais c’était agréable de les voir se défoncer à ce point. De son coté il essayait de leur faire honneur, mais il ne pouvait s’empêcher de garder une toute petite lueur de joyeuseté dans le regard : ce n’était peut-être pas la chose à dire, mais il était plutôt content de combattre contre eux, sans pour autant prendre ça à la manière d’une blague.

Cependant il était peut-être de commencer à mettre le holà : entre la destruction du plafond, ses boules de feu, et maintenant l’apparition d’un dragon ça devenait un sacré bordel. Un dragon…., Henri n’aimait pas trop les animaux ; comme tout bon sorcier il avait eu un hiboux, mais ses dix années dans les Carpates l’avaient amené à considérer toute créature animale comme une grosse source de problèmes potentiels. Depuis, tout ce qui ressemblait de près ou de lion à une boule de poil, ou le cas échéant une boule d’écaille, était envisagé d’un œil torve et méfiant, avec la baguette jamais très loin de lui ; état d’esprit suspicieux.
Bon un dragon donc…., sale bête, avec un fichu caractère en plus, et pas conciliante pour un sous ; pour ne rien arranger ces saletés avaient le mauvais goût d’être immunisé contre la magie, enfin jusqu’à un certain niveau.

John et Siam s’étaient débarrassés des boules de feu, ils avaient l’air en colère en plus, surtout John, Siam affichait ce qui semblait être une neutralité et une indifférence naturelle chez elle, encore qu’il lui sembla surprendre un léger frisson. Ca allait être difficile de s’occuper à la fois d’eux, et en plus du dragon : autant démolir le château immédiatement. Bon, voyons il pouvait toujours tenter ce fameux sortilège……, Henri s’était promis ne pas dépasser un certain niveau avec eux mais là il se sentait un peu obligé de faire un entorse à la règle, histoire de corriger le tir.

« Dragonifors. ! »

Un nouveau dragon apparut donc des débris des pierres qui n’avaient pas été détruites ; pas le modèle gigantesque, mais ça suffirait pour occuper celui de John. Voilà, on pouvait se concentrer sur les deux autres maintenant.

Henri leva sa baguette, notant que la distance que le séparait du serdaigle et de la gryffondor s’était réduite….., pas de doute on s’acheminait vers une hausse des enchères, et donc une conclusion. Son bras lui semblant soudain pesant, plus lourd et difficile à manier ; ce n’était pas sa baguette qui était en cause car son poignée restait léger, mais sur son bras il avait vraiment l’impression qu’on lui avait rajouté un poids pesant. Ca sentait le sortilège à plein nez ça, mais il ne comprenait pas comment il pourrait s’en débarrasser ; tant pis, il allait devoir faire avec : ça serait l’occasion de muscle le biceps ; sauf qu’il savait très bien qu’il ne tiendrait pas longtemps comme ça. Il était temps de se mettre à en finir.

Invité

Hj dsl pour le dragon mais j ai pas pu résister a l envi ^^ !! Ok on approche de la fin.

Pour maîtriser le Dragon qu’il venait de faire apparaître, John dû fermait les yeux pour pouvoir se concentrer de toutes ses forces pour qu’il soit toujours sous contrôle et cela lui demandait beaucoup d’énergie.Ce sort était au dessus de son niveau magique, il n’aurait normalement pas pu invoquer une telle créature mais il y était arrivé et il devait maintenant tout faire pour l’utiliser au mieux.

Le professeur venait lui aussi d’invoquer un Dragon de taille très appréciable dans les débris du plafond qui s étaient écrasés au sol, celui la servait sûrement a occupé celui du Serdaigle.Ce dernier gardait les yeux fermés pour se concentrer mais cela faisait de lui une personne vulnérable, le professeur pouvait lui lancer un sortilège mais il pense que la préfète le préviendrait si un danger se montrait menaçant.

Le dragon ennemi s’avançait vers celui de John, le Serdaigle leva sa baguette vers l’animal adverse et son propre animal attaqua.Il fallait qu’il reste les yeux fermait pour empêcher le dragon de s’intéresser a autre chose que l’animal adverse, il sentait sa concentration fléchir de plus en plus au fur et a mesure que le choc entre les deux monstres durait dans le temps car son énergie descendait en flèche en même temps mais il maintiendrait son dragon coûte que coûte.

Cela lui faisait peur de devoir laisser Siam presque seule fasse au professeur, celui-ci connaissant des sorts redoutables mais si jamais un sortilège lui fonçait dessus, il enverrai son monstre sur la trajectoire afin de la protéger.La rage, la colère qu’il ressentait pour Henry s’apaisaient au fur a mesure que le duel continuait mais il n’oublierait certainement pas ce coup de traître.

John ne put maintenir plus longtemps le dragon sous contrôle, il était épuisé, le monstre a la place de s’occuper de son adversaire a sa taille préféra tout de suite s’intéresser aux deux élèves mais le Serdaigle le visa de sa baguette et lança un sortilège qui le fit disparaître laissant l’autre dragon seul.

Finite Incantatem

Quoi? Même le prof s’y mettait? Ah ça non! Les trucs de machos pour ‘‘qui allait faire le plus beau dragon’’, ça allait mal finir. Siam soupira distraitement, baissant légèrement les yeux au sol, puis s’approcha en baissant sa baguette le long de son corps, sans la ranger bien entendu.
Le temps qu’elle approche des deux adversaires, le dragon de John avait attaqué. Celui-ci ne semblait pas dans son assiette, c’était incontestable, mais il faisait de son mieux pour maintenir sa métamorphose. Néanmoins, il ne fallait pas non plus exagérer dans ses capacités physiques et magiques. Il du le comprendre parce qu’il stoppa l’attaque et fit disparaître son dragon.
Elle se trouvait presque entre les deux à présent, et lorsqu’elle vit cela, hocha la tête d’un signe appréciateur. Il connaissait ses limites, c’était déjà ça. La jeune femme se tourna vers l’enseignant, et tout en le regardant dans les yeux, laissa les mots glisser sur sa langue.

Je crois qu’il est temps de stopper le duel.

Elle marqua une pause d’une demi seconde, à peine.

Vous comprenez...

Siam fit un signe de la tête discrètement en direction du prof de duel.

... il vaudrait mieux ne pas... hum... exagérer.

C’était le cas de le dire! Un trou dans le plafond, les débris au sol dont certains métamorphosé en dragon, un autre impact dans le mur, auréolé de cendre, sans oublier les traces d’eau, de feu, la vitre brisé, les débris de verre un peu partout, bref... valait mieux arrêter là :D
Elle dépassa ensuite le professeur d’un pas assuré, et se stoppa arrivée à l’endroit voulu. Elle visionna tous les débris de verre au sol, et d’un geste fluide, elle les obligea à reformer la fenêtre détruite. Celle-ci se retrouva comme neuve.
Elle murmura ensuite plus pour elle-même que ‘‘elle n’arriverait certainement pas à faire la même chose avec le plafond, et qu’elle devrait aller voir à la bibliothèque quel sort elle aurait pu utiliser’’.

Invité

[Allez, on arrete ici ; tu peux faire le post de conclusion si tu as envie John]

Toutes les bonnes choses avaient une fin, et il devenait urgent que celle-ci se termina sans que l’on fasse plus de degats, faute de quoi la salle des duels n’aurait de salle plus que le nom et son aspect general ferait plutôt penser a un champ de bataille généralisé.

Henri songea avec une certaine appréhension aux discussions houleuses qui allaient suivre quand on viendrait lui demander de justifier tout ce bazar ; c’était un coup a se faire interdire de duel ca, notez ca ne serait peut-etre pas forcement une mauvaise chose au vue de la dégénérescence du combat. Dans le genre « incontrôlable » et « n’importe quoi » on commençait a atteindre des sommets la.

Enfin, au moins l’un d’entre eux faisait un peu preuve de raison et de sens logique dans tout ca. Il vit assez soudainement Siam rompre le combat, apres que John ait fait disparaitre leurs dragons, et annoncait qu’elle en avait assez et qu’il valait mieux cesser devant l’etendue des degats déjà occasionnes ; il ne pouvait qu’etre d’accord avec elle.

De quelques gestes de baguette ils reparent et rangèrent un peu le chaos qu’ils avaient provoque ; bon, ca suffirait peut-etre a calmer la fureur de ses collegues. Encore des moments joyeux en perspective avec Dumbledore tout ca. Bah, ne soyons pas défaitiste : au moins son objectif était atteint et il pouvait etre satisfait de ce petit entraintement. Lors de son prochain combat face aux mangemorts, il aurait une pensee pour les deux prefets qui l’avaient tout compte fait aide.

« Bien, nous allons effectivement nous arreter ici. Je suis tres content de vos et de votre attitude : vous avez d’excellents reflexes et nul doute qu’en continuant a vous entrainer et a progresser vous deviendrez des sorciers tres interessants. » il marqua une petite pause, et leur sourit « Pour vous encourager je vous attribue 20 points chacun pour vos maisons respectives. Tant que j’y suis, penser a aller faire un tour a l’infirmerie »
Sur ce, il les salua avec le respect du aux combattants et s’en repartit pour la salle de bain, encore, car il était plutôt evident qu’une douche et un bon decrassage s’imposaient dans son esprit comme une priorité certaine.

» Henri de Hurlevent
» Lord De Hurlevent et sa cravate