Diner [PV]

Arkana Kisara avait pretexté non sans-humour le besoin de protéger Séréna en cette soirée, elle s'était contentée de sourire. Tous deux avaient revêtus capes et manteaux pour se protéger du froid régnant dehors. Des flaques d'eaux tapissaient les pavés en cette fin de soirée, il fallait dire que l'orage avait ponctué les nombreux changements arrivés à Poudlard. Dumbledore avait pris en quelques sorte sa retraite, et venait d'être remplacé par una ancienne Médicomage prénommée Ishitzu Mégami. Séréna la connaissait vaguement mais lui devait déjà pratiquement la vie, et inversement suite à une longue soirée aux Trois Balais à combattre deux Mangemorts. Puis le Professeur de Défense contre les Forces du Mal, Alastor Maugrey dit Fol'Oeil, avait lui aussi démissioné du poste de professeur. Certainement le métier d'Auror lui manquait-il trop. Un autre professeur arriva donc à Poudlard. Ce professeur était Arkana Kisara, un Chasseur de Dragons d'après les dires d'Alastor.
La rentrée avait eu lieu une semaine avant ces evenements, et en ce court laps de temps tout fût chamboulé au grand desespoir de la Directrice des Gryffondors. Non pas qu'elle soit contre le changement, et les surprises, il fallait avoué que trop de changements pouvaient parfois la perturber. Mais Séréna decida de ne pas se laisser abattre après tout le Professeur Kisara devait se sentir bien seul lui aussi en cette première journée en Angleterre. D'après les brives de conversations que Séréna avait saisi, il avait passé son temps aux Etats-Unis, ce qui était sur que pour lui revenir en Angleterre devait être le dépaysement total. Séréna et lui marchèrent côte à côte en silence puis Séréna se décida à briser le silence alors qu'ils étaient dans les ruelles sombres mais animées de Pré-au-Lard.

Séréna- Celà vous dérange-t-il d'aller plutôt à la Tête de Sanglier? Car je trouve que les Trois Balais est beaucoup trop... Comment dire... Bondé. Ne me croyez pas agoraphobe, mais je vous avoue que j'ai besoin d'un peu de calme ce soir, et surtout de ne pas tomber sur certains de nos élèves, car comme nous sommes Vendredi il n'est pas rare que certains aillent manger là-bas.

Le jeune homme accepta la propositon de la jeune femme, à vrai dire Séréna étant d'une nature plutôt secrète et pudique avait surtout peur que les élèves ou bien certaines connaissances jasent au sujet d'elle et d'Arkana. Car les rumeurs à Poudlard allaient bon train...
Ils arrivèrent sans embuches dans la ruelle étroite menant à La Tête de Sanglier, l'endroit était fréquenté par quelques sorciers au comportements plus ou moins louches, mais à vrai dire Séréna préférait amplement aller là-bas au moins elle n'avait pas à subir les discussions des clients des Trois Balais. Un homme de grande taille, à l'allure frêle mais assez vicieuse, leur désigna una table au fin fond de la salle et leur souhaita une bonne soirée d'une voix grinçante. L'homme boitait legerement remarqua Séréna. Arkana et elle prirent donc place à la table, il commandèrent une spécialité de la maison, le Goulash, ainsi qu'un pichet de vin de sureau. Séréna trempa legerement ses lèvres dans le breuvage... Moins bon qu'Aux Trois Balais c'était clair, mais bon il n'était pas donné à tout le monde d'avoir une cave comme celle de Mme Rosmerta. Séréna passa un doigt sur ses lèvres fines, puis dit à Arkana.

Séréna- Alors qu'est-ce qui vous a donné envie d'abandonner vos dragons et d'enseigner à Poudlard?

Une faible bougie dans un verre éclairait la table, si bien que le visage d'Arkana était envahis d'ombres diverses. Celui de Séréna devait surement être pareil. On pouvait distinguer de légers reflets chatains clairs dans les cheveux du Professeur Kisara...

Arkana et Serena marchaient tout les deux, emmitouflés dans leurs capes. Après avoir accepté sa proposition, ils se dirigèrent vers la Tête de Sanglier. L'obscurité tombante de la nuit mêlée aux lueurs étincelantes des fenêtres ornant les maisons. Sur le chemin, ils croisèrent un tas de sorcier, tantôt grand, tantôt gros, tantôt bizarre... Mais peu importait, aucun d'entre eux ne leur adressait la parole, et c'était tant mieux. Arkana n'avait aucune envie de refourguer quelqun en ce moment.
Arrivés dans la ruelle où se trouvait la Tête de Sanglier, un miaulement, un grincement... Puis rien. La rue était plus que déserte... et en dehors des animaux présents et de l'écriteau annonçant l'emplacement de la Tête de Sanglier, il n'y avait aucun bruit.
En entrant, ils se dirigèrent vers la table que le réceptionniste, si on pouvait appeler ça comme ça, leur avait indiqué et s'assirent. On leur apporta rapidement ce qu'ils avaient commandé, et ils burent tous deux une gorgée du vin. Il n'était pas infecte maios pas délicieux non plus. Un léger arrière-goût de moisissure... Ou plutôt de passé... Peu important, les plats venaient d'arriver, et Serena entama la discussion.
- Alors qu'est-ce qui vous a donné envie d'abandonner vos dragons et d'enseigner à Poudlard?
- L'envie... On ne peut pas vraiment appeler ça comme ça... J'adorais mon métier... Quand je suis parti du Bureau des Aurors, j'avais une idée précise de ce que je voulais faire... Chasseurs de Dragons. Cependant, suite à un combat avec un des plus dangereux peuplant l'Amérique, je fus gravement blessé et j'ai dû arrêter. je suis de retour en Angleterre depuis peu, et on m'a mis assez vite au parfum en ce qui concerne ce qu'il se passait. On m'a aussi dit que Dumbledore recherchait un professeur de DCFM puisque Maugrey devait revenir aider le Ministère. Ne pouvant plus -ou peu- être sur le terrain, j'ai accepté d'avoir ce travail... Mais bon, je suis sûr que je m'y plairais...
Il commença à manger, puis retourna la question à Serena.
- Et vous ? Je vous connais d enom au ministère... Vous étiez Auror en même temps que moi. Comment êtes-vous arrivé à Poudlard ?

Arkana ne mit pas beaucoup de temps pour étudier la question de Séréna, et réponda instinctivement.

Arkana- L'envie... On ne peut pas vraiment appeler ça comme ça... J'adorais mon métier... Quand je suis parti du Bureau des Aurors, j'avais une idée précise de ce que je voulais faire... Chasseurs de Dragons. Cependant, suite à un combat avec un des plus dangereux peuplant l'Amérique, je fus gravement blessé et j'ai dû arrêter. je suis de retour en Angleterre depuis peu, et on m'a mis assez vite au parfum en ce qui concerne ce qu'il se passait. On m'a aussi dit que Dumbledore recherchait un professeur de DCFM puisque Maugrey devait revenir aider le Ministère. Ne pouvant plus -ou peu- être sur le terrain, j'ai accepté d'avoir ce travail... Mais bon, je suis sûr que je m'y plairais...

Le serveur aux habits miteux et au teint verdâtre vint leur apporter leur plats. De légères odeurs de légume bouilli en ressortait, malgrè l'odeur le plat était un délice, bien que les conditions d'hygiène de la Tête de Sanglier laissait, parait-il, plus ou moins à désirer. Mais Séréna n'était pas du genre à faire la fine bouche, bien qu'elle mange très peu. Question d'habitude, mais quand des missions dans la forêt duraient plus longtemps que prévu elle avait appris à manger ce qui se présentait. Arkana planta sa fourchette dans un bout de viande, les muscles de sa machoire se contractant quand il mordit dans l'aliment. Séréna ammena doucement un bout de carotte à ses lèvres. Puis Arkana reprit.

Arkana- Et vous ? Je vous connais de nom au ministère... Vous étiez Auror en même temps que moi. Comment êtes-vous arrivé à Poudlard ?

Séréna mise dans le même sac que ces Aurors bien souvent incapables de faire correctement leur métier? Elle eût un rire léger puis répondit d'une voix gaie.

Séréna- Moi Auror? Vous voulez rire... Non je travaillez effectivement au Ministère, mais pas vraiment dans le quartier des Aurors. J'étais sur le terrain pour servir un autre département, dit elle en évitant de préciser le dit Département, car elle était lassée des questions indiscrètes au sujet de sa carrière là-bas.
"J'y ai travaillé pendant quelques années, mais avant j'ai été journaliste durant deux ans pour la Gazette du Sorcier, juste histoire de trouver le financement pour mon livre sur les Créatures Nuisibles. A la fin de ma collaboration avec le Ministère, je suis partie en Transylvanie, un peu... à la recherche d'aventure. Je n'ai pas été déçue je peux vous le dire. Bien sur il m'arrivait encore de donner quelques services au Ministère là-bas, mais mes propres quêtes me prenaient beaucoup de temps. Mais voilà il y a quelques mois alors que je suis venue voir ma famille en Angleterre, Dumbledore un ami proche de mes parents, est venu me chercher pour le poste de Professeur de Métamorphoses, le professeur McGonnagal prenant sa retraite cette année. J'ai donc accepté, et voilà comment je suis arrivée à Poudlard. J'ai donné quelques cours cet été pour les élèves restants à Poudlard avant de me faire la main devant les classes entières...
Mais bon mon histoire à bien peu d'interêt. Racontez moi plutôt votre vie en Amérique?"

Machant son morceau de viande, pas très gouteux, Arkana posa ses couverts pour écouter le récit de Serena. Journaliste... Il avait de très mauvais souvenirs des derniers journalistes qu'il avait rencontré. Cependant, ce qui choqua plus Arkana, ce sont le début des paroles de Serena : "Vous voulez rire"...
Ainsi donc, ce qu'il entendait outre-Atlantique n'était pas faux : les Aurors n'étaient plus aussi performant qu'auparavant... Pire, ils étaient à la limite du pathétique.
L'autre partie du récit de Serena était tout aussi passionant : c'était une véritable aventurière, tout comme lui. Visiblement, ne rien faire de sa vie l'aurait profondémment ennuyée, et les différentes aventures rencontrées au fil du temps les avait tout deux expérimentés et faits devenir plus fort, intérieurement comme extérieurement.
Elle termina son récit par une nouvelle question...
- Vous savez, la vie en Amérique, au fond, n'est pas tellement plus palpitante qu'en Angleterre. La seule chose différente est qu'il y a plusieurs drgaons isolés à travers le pays, du fait de ces différents paysages et reliefs. J'ai énormément combattu, différentes sortes de drgaons, certains même que je n'avais jamais vu, même en photo... Bref, un dragon plus coriace que les autres a eu raison de moi... Bien que je l'ia terrassé, il reéussit juste avant de mourir de me porter un sale coup à la jambe...
Il marqua une pause, comme perdu dans ses pensées... Il attrapa la Gazette du jour qui trainait sur une table voisine, en mangeant une bouchée de légume...
Il lut les gros titres, et laissa échapper sa fourchette, ébahi...

Arkana lui parla brièvement des Etats-Unis.

Arkana -Vous savez, la vie en Amérique, au fond, n'est pas tellement plus palpitante qu'en Angleterre. La seule chose différente est qu'il y a plusieurs drgaons isolés à travers le pays, du fait de ces différents paysages et reliefs. J'ai énormément combattu, différentes sortes de drgaons, certains même que je n'avais jamais vu, même en photo... Bref, un dragon plus coriace que les autres a eu raison de moi... Bien que je l'ia terrassé, il reéussit juste avant de mourir de me porter un sale coup à la jambe...

Les dragons. Bêtes ignobles songea Séréna, et pourtant si passionnantes. Capables de tout détruire d'un seul souffle. Comme quoi souvent une vie ne tenait qu'à une seconde. A un souffle. Le pouvoir destructeur du Dragon était tout aussi fascinant que ses autres capacités. Comme par exemble sa vision assassine. Des yeux plus perçants que ceux d'un lynx ou d'un rapace. C'était vraiment ... époustouflant. A un moment donné, alors que la discussion était lancée, Arkana se saisit d'un journal à côté. C'était fort mal élevé de sa part, surtout que Séréna ne faisait pas souvent don de sa présence à une personne pour le moment inconnue. Elle toussota un petit coup pour montrer son désapointement. Mais Arkana semblait passionné par sa lecture, et fit un léger bond alors qu'il était perdu dans ses pensées.

Séréna -Mauvaise nouvelle je suppose?

On sentait que sa voix était pincée, mais legerement teintée de curiosité.

Impossible... c'était impossible... Sergei Redeew, le meurtrier de ses parents étaient de nouveau en liberté, et prêt à recommencer ces méfaits... Son visage... Il le regardait d'un regard perçant, un regard qui le dévisageait... Oui, il le narguait... Se moquait, même. Son visage, haineux, son front, sourcileux, son crâne, chauve... Tout... c'était le même qu'il y a trois ans, lorsqu'Arkana avait arrêté cet individu? Azkaban ne l'avait pas changé...
Les toussotements de Serena lui fit comprendre que son attitude de prendre le journal et ainsi couper court à la discussion était particulièrement déplacée... Mais il lui semblait avoir vu ce visage de loin, et il ne s'était pas trompé...
- Mauvaise nouvelle je suppose?
Arkana posa son journal, mis les coudes sur la table et joignit ses mains. Il regarda serena, le regard embué...
- L'assassin de mes parents s'est évadé d'Azkaban...

[J'ai fait cours çà permet de reprendre en douceur au moins :)]

- L'assassin de mes parents s'est évadé d'Azkaban...

La phrase tomba sans aucunes hésitations. D'une voix certainement voulue détachée, mais sous le poids des propos et le grave de sa voix on décelait une certaine émotion. Décidemment il se confiait peut-être un peu trop vite, mais celà en était presque touchant. Séréna fut désolée pour lui. Les yeux d'Arkana s'était allumé d'un désir de vengeance, et d'une lueur de tristesse. Séréna se saisit à son tour du journal, tout en le regardant dans les yeux pour lui montrer sa compassion. La jeune femme lit le titre du journal.

Sergei Reedew évadé d'Azkaban

Sergei Reedew? Ce nom lui disait quelque chose, surement une conversation surprise au Ministère. A moins qu'il soit un Transylvanien? Séréna chercha brièvement, puis replia le journal. Aucun souvenir ne lui était revenu. Tant pis. Arkana lui se jetait sur sa viande, par dépit, ou par rage. Séréna remit ses cheveux derrière ses épaules et sourit gênée. Elle prit une bouchée dans son assiette, puis lui dit alors:

-Vous êtes sur que çà va aller Arkana?

Séréna regardait l'homme, lui avait encore la tête baissée comme concentré sur le contenu de son assiette. Puis il la releva lentement, et Séréna attendit la réponse, en portant un verre de vin de sureau à ses lèvres...

Arkana était perdu dans ses pensées, mais il ne pensait pas vraiment à ses parents et à Sergei... Il pensait à cette personne, cette personne de lauqselle on lui avait tant parlé, cette personne qu'il avait rencontré il y a peu et qu'il lui avait rappelé tant de souvenirs...
Il avait oeuvré pour que tout le monde oublie. Il avait changé, physiquement et moralement, mais le find, lui était toujours présent. Et l'évasion de Sergei lui rappelait tout ce qu'il avait perdu ses derniers jours
Peu importait, au fond. Il devait s'en tenir à ça, du moins, pourle moment...
Il s'attaqua à un moirceau de viande : vraisemblablement, il n'avait plus du tout fin, et l'aspect piteux de sa nourriture ne lui mettait pas l'eau à la bouche...
Séréna lui posa une question, et pour la première fois depuis qu'il la connaissait, elle semblait un peu plus affective. Pas énormément, mais c'était un début.
- Oh oui... les coups durs, j'encaisse au cours du temps... juste que ça me fait bizarre de savoir l'assassin de mes parents de nouveau en liberté, alors que j'ai passé des années à le traqué...
Et en dépit des efforts eu je ferais, être professeur m'handicapera si je veux reprendre les recherches de ce mangemùort...

La mine dépitée d'Arkana, fit vite place à un visage plus neutre. Un visage tellement neutre qu'il aurait plus être vide. Un visage ampli d'un néant. Séréna regarda son assiette, puis à la vue de la bouillie y aillant pris place, la repoussa. Elle n'avait plus faim, et face aux malheurs de son collègue, une boule se forma dans son estomac, appuyant sur ses trippes, la faisant déglutir avec peine. Puis à la suite de la question de Séréna, le jeune homme sembla s'illuminer d'une lueur nouvelle, comme si il attendait depuis longtemps un brin de compassion de la part de Séréna. Beaucoup de gens cotoyant Séréna vous auriez dit qu'elle était une personne froide, sans scrupules voir avec de gros problèmes d'humanité. Pourtant Séréna était loin d'être la femme sans coeur pour qui on l'a faisait passée, c'était sur que sous sa beauté piquante et acide, avec ses grands yeux perçants, qui devisageaient, analysaient tout ce qui se passaient autour d'elle, on aurait pu envisager qu'elle soit une personne méchante. Mais non, la jeune Professeur de Métamorphoses, était une personne gentille bien que dotée d'une grande carapace, elle même couverte par des remarques aiguisées, et empoisonnées. Certes elle ne se laissait pas facilement marcher sur les pieds, et se réfugiait souvent dans le silence face aux malheurs des autres, et face à ses propres malheurs. Préférant les ignorer, ne sachant quoi dire, quoi faire.

Arkana- Oh oui... les coups durs, j'encaisse au cours du temps... juste que ça me fait bizarre de savoir l'assassin de mes parents de nouveau en liberté, alors que j'ai passé des années à le traquer...
Et en dépit des efforts eu je ferais, être professeur m'handicapera si je veux reprendre les recherches de ce mangemort...

Arkana, à peine arrivé, songeait-il à laisser en plan le corps professoral de Poudlard? C'était celà que signifiait ses propos? Non. Séréna ne pouvait le laisser dire de telles bêtises. Etre professeur n'empechait pas de traquer les Mangemorts, et loin de là... Etre professeur était la couverture idéale pour tout types de travaux se devant d'être discrets... Et çà Séréna le savait bien, même très bien. Non pas qu'elle l'avait appris au fil du temps, mais elle avait bien fait d'accepter la demande de Dumbledore, car depuis qu'elle avait rejoint les enseignants, personne ne la soupçonnait plus d'aucunes activités plus ou moins illégales. Séréna sourit à son collègue, son visage s'illuminait quand elle souriait, dans sa peau blanche se creusait des légères fossettes, ses lèvres finement dessinées d'un rose pale révélèrent des dents blanches et bien rangées.

Séréna- Un conseil, n'abandonnez pas Poudlard, car quoi qu'il puisse vous arriver dans le futur, cette école restera la meilleure des protections. Si jamais vous avez besoin d'une aide quelconque je serais ravie de vous aider..., elle ponctua sa phrase d'un regard pour le moins convaincant.