Je t'ai eu ! [PV]

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Seifer et Orwell arrivèrent devant la cabane hurlante. Orwell fuyait Seifer. Ce dernier l'attrapa enfin en lui sautant dessus et lui sourit.

-Ca y est je t'ai eu !

Il resta dans l'herbe et regarda la cabane hurlante, non loin d'eux. Ca faisait longtemps que Seifer n'était pas allé dans ses environs.

Invité

Orwell esseya déchapper a Seifer mais celui-ci l'attrapa après quelques minutes. Seifer avait sauter sur Orwell alors celui-ci sa retrouva sur Orwell. Celle-ci le regarda et fit un sourire en même temps.Puis les deux jeunes gens regardérent la cabane hurlante. Orwell avait déja était a cet endroit il y a longtemps déja. Puis elle regarda encore Seifer puis elle lui dit:

- On y va?!

Invité

Seifer se releva et aida Orwell à faire pareil.

-Maintenant je te surveille, et plus de fuites !

Il lui fit un clin d'oeil.

-Allez on y va !

Il n'avait pas peur de ce qu'on disait sur ces fameux fantômes dangereux. De toute façon un fantôme ne ferait que passer au travers de Seifer et Orwell ! Même si la sensation n'était pas très agréable, ça ne faisait rien !

Les deux amis entrèrent dans la maison. Seifer se cacha dans l'ombre d'une porte et, dès qu'Orwell passa la porte, il la toucha brusquement.

-Bou !

Il éclata de rire.

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Orwell rigola un instant, puis celle-ci regarda la cabane hurlante. Seifer passa devant Orwell , celui-ci ouvrit la porte, alors Orwell le suivit mais au bout de quelques minutes Orwell avait perdu Seifer des yeux. Alors celle-ci commença a paniquer alors elle cria:

- Seifer! Seifer!

Puis, la jeune fille sentit quelqu'un la toucher alors elle se retourna et elle vit seifer sortir de sa cachette en lui fesant peur. Orwell sursauta, son coeur battait a 100 a l'heure. L'adolescente vit Seifer rigoler, alors celle-ci le tapa puis lui dit:

- T'ais vraiment bête quand tu t'y mets.

Puis les deux jeunes personnes avançérent dans la cabane hurlante, Orwell avait peur, elle vit seifer a côté d'elle alors pour être rassurer, elle lui prit la main.

Invité

Seifer sourit à Orwell. Il avait vraiment du lui faire peur ! Lorsqu’elle lui prit la main, Seifer se rendit compte qu’elle avait vraiment été terrifiée, aussi se promit-il de ne plus lui faire de frayeurs tant qu’ils seraient dans la Cabane Hurlante.

Ils marchèrent silencieusement. Les branches craquaient à chacun de leurs pas, faisant presque trembler toute la maison. Ils arrivèrent rapidement dans une pièce de taille moyenne avec un vieux lit miteux dans son coin. Seifer y fit asseoir Orwell puis il s’assit à côté d’elle. A présent, lui aussi commençait à avoir un peu peur, mais il ne le montra pas ; non pas par honte : il savait qu’Orwell ne se moquerait pas de lui, mais pour ne montrer aucun signe de faiblesse et ainsi rassurer le plus possible Orwell.
Il tourna la tête vers la jeune fille.

« N’aie pas peur… Je suis là, et puis les fantômes ne peuvent rien nous faire de plus qu’une sensation de liquide froid… Si jamais t’arrives à vaincre ta peur… »

Il réfléchit puis eut un sourire amusé.

« Je te promets que t’auras le droit de te venger pour le coup de frayeur que je t’ai fait y’a quelques minutes. »

Il lui fit un clin d’œil amical. Il essayait de détendre l’atmosphère.

Invité

Orwell avait vraiment eu peur quand seifer lui avait fait ce coup de frayeur. Elle ne lui en voulait pas car il voulait juste rire un peu. La jeune fille serrait bien fort la main de seifer. Elle avait presque envie de faire pipi tellement elle avait peur. Quand les jeunes gens marchaient, les feuilles et les branches craquaient sous leurs pas silencieux. Ils entrérent dans une piéce qui semblait une chambre. Elle contenait un lit dans un coin, une vieille lampe à huile a moitier cassée par terre et une harmoire toute délabrée. Seifer et Orwell s’asseyérent sur le lit miteux, Orwell regarda Seifer et posa sa tête sur l’épaule de celui-ci, puis, Orwell lui répondit :

- Je ne peux surmonter ma peur, j’ai toujours eu peur des fantômes et même si tu es la avec moi j’aurais toujours peur.

Orwell vit bien que Seifer essayait de détendre l’atmosphère mais Orwell avait toujours peur. Celle-ci versa une petite larme sur sa joue. Puis après avoir entendu la derniére phrase de seifer, Orwell se releva pour regarder le jeune homme, puis elle rigola. Après quelques minutes, Orwell reposa sa tête sur l’épaule de l’adolescent.

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Seifer regarda Orwell. Elle était vraiment terrifiée... Seifer n'aimait pas la voir ainsi. Elle semblait ne plus pouvoir réussir à se contrôler, c'était même comme si elle était malade... D'ailleurs, elle l'était... Malade de peur...

Seifer releva délicatement la tête d'Orwell avec sa main, se leva et l'aida à faire de même. Il continua de tenir sa main afin de lui prouver qu'il resterait là, puis il courra, entraînant Orwell à sa suite.

Les deux jeunes gens traversèrent ainsi la Cabane Hurlante. Au bout de quelques minutes, Seifer s'arrêta. Il croyait s'être perdu. C'est alors qu'un rayon de lumière vint du fond du couloir. Recommençant à courir, Seifer sentit son coeur battre avec encore plus d'intensité. Cette fois-ci ce n'était plus la peur qui le faisait battre, c'était le soulagement : ils étaient sortis...

Seifer s'assit dans l'herbe juste devant la maison et regarda Orwell.

« Je suis fier de toi. Ca se voyait que t'étais terrifiée et pourtant t'as même pas paniqué... Hey mais ça veut dire que tu peux te venger ! »

Il éclata de rire.

« C'est bon, t'as le droit... mais ne sois pas trop méchante, hein ? »

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Orwell était toujours sa tête sur l’épaule de Seifer quand soudain celui-ci se leva et aida la jeune fille a faire pareil. Orwell était vraiment terrifiée, tellement terrifiée qu’elle en tremblait. Orwell sentit que Seifer lui serrer la main, puis soudain le jeune homme se mit a courir et entraina Orwell. Celle-ci fut suprise de se départ un peu brusque mais elle s’avait que son ami n’allait pas la lacher en route. Celui-ci éssaya de retrouver la sortie de la cabane hurlante. Orwell vit un petit jour alors elle tourna la tête mais Seifer l’avait déjà remarquer. Elle suivit son ami, main dans la main, courant le plus vite possible pour sortir au plus vite de la cabane. Orwell avait très hate de sortir de cet enfer. Son cœur battait a vive allure tout comme celui de Seifer. Puis une fois dehors a la lumiére du jour, Seifer lui dit une phrase, la jeune fille se mit a rigoler puis lui dit.

- Ouis c’est vrai je peu me venger, mais….

Orwell lui sauta dessus, essoufler, pour commencer a faire des chatouilles a celui-ci. Mais malheureusement pour elle, Seifer avait plus de force, alors il l’allogea a terre et lui tenu les bras.

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Seifer vit Kristeina lui sauter dessus et le chatouiller. Eclatant de rire, il préféra l'en empêcher en l'allongeant par terre. Ce n'était pas pour lui qu'il avait fait ça, mais pour elle : en effet, Seifer avait déjà mis un coup involontaire à quelqu'un qu'il aimait bien lorsqu'il s'était fait chatouillé, et il n'avait pas envie que cela recommence à nouveau.
Il lui tenait fermement les bras, sans pour autant trop forcer afin de ne pas lui faire de mal. Il lui sourit.

« J'avais dit pas trop méchante ! Tu sais bien que c'est la pire des tortures ! Idiote vas ! »

Il lui tira la langue tout en lui relâchant les bras. Il s'allongea ensuite par terre à côté de son amie, tout essouflé de par l'effort qu'il venait de faire mais aussi de la peur qu'il avait éprouvée dans la cabane hurlante.

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Kristeina avait le coeur qui battait très vite au moment ou celle-ci faisait des chatouilles a Seifer. Elle était toute éssouflée tout comme le jeune homme. Soudain Seifer allongea Kristeina par terre en lui tenant fermement les bras. Celui-ci dit une phrase puis tira la langue a la jeune fille. Alors Kristeina fit de même, elle adorait vraiment Seifer et pourtant elle n'imait pas vraiment les Gryffondors. Elle sentendait surtout avec ceux de sa maison. Mais avec Seifer s'était vraiment pas pareil qu'avec les autres, elle se sentait bien en sa présence. Se rapprocher d'une personne était vraiment tout nouveau pour ellle, Kristeina n'avait jamais véçu cela aupparavant. Puis quelques minutes après avoir tirer la langue a Seifer elle lui dit gentillement.

- Tu sais, c'est la premiére fois que je suis aussi proche de quelqu'un appart mon frére.

Elle tourna la tête pour regarder Seifer, lui qui était devenu l'un de ses meilleurs amis. Puis juste après avoir fait se geste, elle lui dit encore.

- Et au faite, fait moi rappeler que je ne doit plus aller dans cette cabane avec toi. ok ?

Après cette phrase, Kristeina rigola doucement et mit ces mains le long de son corps quand sa main gauche toucha celle de Seifer.

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Seifer vit Kristeina lui tirer la langue. Il lui sourit, tout essouflé encore des chatouilles. Les deux jeunes gens se reposèrent alors quelques minutes, puis Kristeina rompit le silence. Elle expliqua à Seifer qu'elle n'avait jamais été aussi proche avec quelqu'un excepté son frère. Le jeune homme fut touché par ces paroles et un grand sourire s'afficha sur ses lèvres.

Il la regardait avec une gentillesse rare, même pour lui, qui était si sympathique avec tout le monde. Il fallait dire que les paroles de la jeune fille étaient si gentilles...

Kristeina lui précisa ensuite qu'elle n'irait plus dans cette cabane avec lui, puis éclata de rire. Seifer eut un rire.

« A ta place je n'en serais pas si sûre... Peut-être que je t'y obligerais ? »

De nouveau, il lui tira la langue, tel un petit enfant s'amusant avec un(e) ami(e). C'était un petit peu le cas, en plus grand.

[PAS FINI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ATTENDS AVANT DE REPONDRE ;)]

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Seifer vit Kristeina lui tirer la langue. Il lui sourit, tout essouflé encore des chatouilles. Les deux jeunes gens se reposèrent alors quelques minutes, puis Kristeina rompit le silence. Elle expliqua à Seifer qu'elle n'avait jamais été aussi proche avec quelqu'un excepté son frère. Le jeune homme fut touché par ces paroles et un grand sourire s'afficha sur ses lèvres.

Il la regardait avec une gentillesse rare, même pour lui, qui était si sympathique avec tout le monde. Il fallait dire que les paroles de la jeune fille étaient si gentilles...

Kristeina lui précisa ensuite qu'elle n'irait plus dans cette cabane avec lui, puis éclata de rire. Seifer eut un rire.

« A ta place je n'en serais pas si sûre... Peut-être que je t'y obligerais ? »

De nouveau, il lui tira la langue, tel un petit enfant s'amusant avec un(e) ami(e). C'était un petit peu le cas, en plus grand bien sûr.

Il vit alors la jeune fille mettre ses mains le long de son corps. Il sentit alors à sa main droite le contact avec la main gauche de Kristeina. Il lui prit.

« Tout va bien ? »

Il ignorait la raison de ce geste, et espérait que ce n'était pas par peur, comme dans la Cabane Hurlante. Il regarda derrière lui, au cas où il y ait un quelconque Mangemort ou créature ; il n'y avait rien, aussi se retourna-t-il pour écouter la réponse de Kristeina.

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Tout aller bien, Kristeina n'avait pas voulu toucher la main de Seifer mais cela elle ne pouvait maintenant plus revenir en arrivére. Elle sentit Seifer lui prendre la main, celui-ci pensait qu'il y avait quelque chose mais pour Kristeina il n'y avait vraiment rien ni personne. La jeune fille senti que ses paroles avait toucher Seifer même si celui-ci ne faisait mine de rien. Puis Kristeina regarda Seifer puis lui demanda gentillement.

- Seifer! Tu fais quoi pour le bal de fin d'année?

La jeune fille avait très envi d'aller au bal mais malheureusement elle ne savait pas avec qui alors elle avait penser a Seifer mais es ce que celui-ci va accepter ?! Mystére !

[ désolé c'est cour ]

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Seifer regarda longuement Kristeina. Celle-ci venait de lui demander de l’accompagner au bal. Le jeune homme avait déjà des vues sur une jeune fille, mais il ne la connaissait pas encore. Il se souvint, de sa réunion des préfets, que le thème du bal serait l’amitié, mais Kristeina, elle, ne le savait pas. Seifer avait l’impression qu’elle éprouvait des sentiments autres que l’amitié pour lui, pas parce qu’elle lui avait proposé d’aller au bal avec lui, non : c’était surtout ses façons de le regarder ; la proposition du bal n’était qu’un petit détail, mais ce n’était bien entendu pas ça qui voulait tout dire !
Un gros problème pour le jeune homme qui n’éprouvait pas de sentiments amoureux envers Kristeina. Pourtant, son amitié était forte, et il ne voulait pas la décevoir...

* Arrête Seifer ! Tu délires ! Elle te regardait normalement ! Et cette proposition du bal ne veut rien dire du tout ! *

C’était vrai ; à quoi bon se poser des questions ? Elle n’avait fait qu’une proposition pour aller au bal, ce n’était rien ! Et puis, ses façons de le regarder, n’étaient-elles pas normales ? N’était-ce pas Seifer qui s’était fait de fausses idées ?

Le jeune homme regarda Kristeina. Il était tout seul, pour ce bal.

« Pour le bal ? Bah je pense qu’il va bien falloir que j’y aille avec quelqu’un, ça te dit ? »

Il lui sourit.

« Euh par contre je sais pas trop si on va danser. En fait le bal a pour thème l’amitié, en gros peut-être que ça va plus être une sorte de boum pendant laquelle chacun fait ce qu’il veut et que y’a le basard partout. Enfin je me suis endormi pendant la réunion des préfets donc j’ai peut-être raté quelque chose. »

Il éclata de rire. Ce qu’il pensait avant lui revint alors en tête.

« Et euh... C’est de l’amitié que tu éprouves envers moi ? Dis-moi franchement. Je suis ton ami, je suis prêt à tout entendre. Je ne t’en voudrais jamais. »

Il s’allongea à côté d’elle et la regarda.

Invité

Kristeina se mit a rire après avoir écouter la derniére phrase de Seifer. Celui-ci aller sûrmnt ce demander pourquoi Krsiteina rigolait mais Seifer aller le savoir très vite. Kristeina rigolait parce que son ami lui avait demander si c'était de l'amitier qu'elle éprouvait pour lui. Alors Kristeina regardant toujours Seifer elle lui répondit avec un sourire.

> Ne t'inquiéte pas! C'est juste de l'amitier que j'éprouve pour toi. Tu es mon meilleur ami et tu le sais je te l'ai déja dit. <

Puis Kristeina se remit sur le dos pour admirer le ciel. Il commencait à faire nuit, les étoiles commençaient à apparaître et la lune commencait aussi a briller dans les yeux de Kristeina. Il y avait un petit vent léger mais pas froid. Seifer et Kristeina étaient encore près de la cabane hurlante, coucher dans l'herbe. Puis soudain, Kristeina regarda son ami puis elle lui dit.

> Tu me propose d'aller au bal avec toi? Bas... euh Je sais,pas quoi dire mais je vais accepter ta proposition! <

Krsiteina fit un sourire a Seifer. S'était vraiment un amitier forte entre lui et elle. Il se voyait presque tout le temps.

Invité

Seifer sourit à Kristeina, gêné de sa question, à présent. Elle devait vraiment le prendre pour un idiot pour avoir dit une telle absurdité, et pourtant... Il avait tout de même des raisons non ? Enfin, à présent, il la croyait. Elle lui avait dit éprouver de l’amitié, donc Seifer ne pensa pas le contraire : à quoi bon, après tout ? Il lui sourit.

« Oups ! Désolé... »

Il était assez honteux, mais préférait sourire plutôt que le montrer. Lorsqu’elle accepta sa proposition, Seifer lui sourit de plus belle. Elle se mit sur le dos et regarda le ciel, aussi Seifer posa-t-il sa tête juste à côté.

« Merci ! Je sens qu’on va bien s’amuser ! Vivement ce bal ! »

Il bailla.

« Et dire que notre rencontre a commencé par un déchirement de T-shirt. Ca prouve tout de suite lequel d’entre nous est le plus intelligent. Attends, certaines personnes sont si bêtes que le seul but dans leur vie c’est de détruire les affaires des autre... Nan mais t’imagine ? »

Il lui tira la langue puis lui mit son pull sur la tête.

« Et là qu’est-ce que tu vas faire de mon pull ? T’as pas intérêt à le déchirer, sinon crois-moi tu vas te souvenir de moi ! Grrrrrrr... »

Il prit un air menaçant puis, n’en pouvant plus, éclata de rire. Bien sûr si elle déchirait son pull, il lui ferait payer, mais dans un sens amusant. Il ne lui ferait aucun mal ; il la chatouillerait par exemple...
Quand même, elle avait bien le droit à sa petite vengeance vu ce qu'il venait de lui dire !